La Nuit Dans Les Tranchées

l'habileté. Le premier bombardement nous montra notre erreur et fit écrouler la conception des choses qu'ils nous avaient inculquée. » — Erich Maria Remarque, À l'Ouest, rien de nouveau, chapitre I4. Paul raconte les abominations de la guerre : les tranchées ne sont même plus en état d'être occupées, envahies de rats ou complètement détruites par les obus. Heureux d'avoir une permission, Paul rentre chez lui, mais n'est compris que de sa mère qui ne lui pose aucune question. De retour de permission,

aussi porter sur de nouvelles armes qui changent le visage de la guerre. Les avions sont très rapidement utilisés pour des missions d'observation : c'est grâce aux photographies réalisées à partir d'avion, que l'on peut dessiner des cartes avec les tranchées ennemies. Ces cartes permettent aux artilleurs de régler leur tir. Les avions sont progressivement armés (avec un dispositif de tir à travers l'hélice) et sont même utilisés pour bombarder des sites stratégiques (par exemple les gares de Laon ou

Elle roulait, elle approchait de la tranchée, avec cet oeil largement ouvert. Alors, il sembla qu'elle se mit à souffler d'un petit souffle court, ainsi qu'un cheval qui a peur. De profonds tressaillements la secouaient, elle se cabrait, ne continuait sa marche que sous la main volontaire du mécanicien. D'un geste, celui-ci avait ouvert la porte du foyer, pour que le chauffeur avivât le feu. Et, maintenant, ce n'était plus une queue d'astre incendiant la nuit, c'était un panache de fumée noire, épaisse

Sarajevo le 18 juin 1914 a servi d'élément déclencheur. Du début de la guerre jusqu'en 1915, c'était la guerre de mouvement. Mais à partir de 1915 jusqu'en mars 1918, il y a eut la terrible guerre de position où les soldats se sont enterrés dans des tranchées (voir fiches photo à la fin du livret) et où ils souffrait physiquement de faim, de soif, de rats, mais aussi du manque de permission et encore de la souffrance moral (dormir sur les cadavres de ses amis mort la veille, savoir qu'on peut mourir

Un long dimanche de fiançailles Samedi soir : C’est le premier chapitre du romain, qui présente la guerre des tranchées pendant l’hier 1917 qui à fait beaucoup de morts. On voit 5 soldats qui sont condamnés à mort en conseil de guerre pour s’être mutiler eux mêmes pour échapper à la bataille. Le nom de ce chapitre vient de la nuit du samedi 6 janvier 1917, date de leur exécution présumée. Premier soldat : Kleber Bouquet dit Eskimo. Matricule : 2124 Il a 37 ans. Il est d’un bureau de

La Nuit Description : L’œuvre s’appelle « La nuit ». Elle mesure 133 * 154 cm. La peinture date de 1918/19. Nous pouvons y voir des humains représentés de façon abstraite, leurs corps sont totalement déformés. Nous sommes dans un mouvement d'*expressionnisme. Trois personnages torturent une famille. Une jeune fille est emprisonnée dans les bras d’un homme. Elle a peur. Nous supposons que cette scène se passe dans une maison car nous remarquons à l’arrière-plan des fenêtres et il y a des bougeoirs

texte a été écrit en 1916,vers la fin de la guerre . 3. - Le récit est rédigé au présent de l'indicatif. - La valeur attribuer est le présent de narration. 4. - Les références spatio-temporel sont : "Lorsqu'on en a vidé les tranchées ou la plaine,pendant la nuit" et "Ils attendent quelques-uns depuis longtemps d'être nocturnement amenés aux cimetières de l'arrière". - Elles sont imprécises. - 5. - "On" est le pronom le plus utilisé. - II - Une description réaliste : 6. - La scène

surtout d’Afrique subsaharienne se développe et on assiste à un retour de la xénophobie. >Décrire et expliquer la guerre des tranchées comme une manifestation de la violence de la 1ère Guerre mondiale. La guerre des tranchées également appelée guerre de position est d’une grande violence. En effet les soldats appelés ‘’poilus’’ dans des conditions très difficiles. Les tranchées sont des fossés creusés par les soldats pour se protéger. Ils vivent donc dans la boue, l’humidité et le froid. De plus ils

Ensuite, la chanson est transformée pour évoquer le plateau de Champagne au cours de l'automne 1915. En 1916, elle devient une chanson sur Verdun 2-Paroles de la Chanson Quand au bout d'huit jours le r'pos terminé On va reprendre les tranchées, Notre place est si utile Que sans nous on prend la pile Mais c'est bien fini, on en a assez Personne ne veut plus marcher Et le c?ur bien gros, comm' dans un sanglot On dit adieu aux civ'lots Même sans tambours, même sans trompettes On s'en

chanson vient de la transformation progressive par des soldats d’une valse à succès de 1911, Bonsoir m’amour. Elle est constituée de 4 couplets entrecoupés d'un refrain. 1er couplet : Quand au bout d’huit jours, le repos terminé, On va reprendre les tranchées, Notre place est si utile Que sans nous on prend la pile. Mais c’est bien fini, on en a assez, Personn’ ne veut plus marcher, Et le cœur bien gros, comm’ dans un sanglot On dit adieu aux civelots. Même sans tambour, même sans trompette, On s’en va