La Nuit Dans Les Tranchées

la réponse à la question. Etc. Thème 1 : Artistes et écrivains face à la Grande Guerre Quelques repères La guerre de 1914-1918, par son ampleur mondiale, par son enlisement dans les tranchées et par la nouveauté de ses armes, a inspiré écrivains et artistes. La plupart d’entre eux combattirent dans les tranchées françaises ou allemandes et y furent blessés. Leurs témoignages mêlent fiction et autobiographie pour les écrivains, recourent à des formes esthétiques nouvelles pour les artistes : ils

Avant d'aller à la guerre, tous ces soldats avaient un travail, une vie: il y en a qui étaient boulangers, épiciers, ou même prof de français... Ils avaient une vie paisible. Lorsque la guerre commença, les braves hommes partirent au front. Dans les tranchées, la vie était tellement difficile qu'ils auraient voulus travailler dans les mines plutôt que d'aller au front. Mais aussi certains soldats aimaient l'aventure, et ceux-là malheureusement, sont tous morts au combat. Le 3 août 1914, l'Allemagne

nominations au Oscar ainsi qu’au Golden Globe le film fera 4,400,000 entrées dans le monde. En réalisant cette fiction, Jeunet nous montre l’absurdité de la guerre, la violence de masse que la guerre a pu faire. Nous découvrons, la vie dans les tranchées dans des conditions terribles, les mutineries des soldats épuisés par cette guerre. Jeunet nous fait visualiser aussi l’amour, la force des sentiments, la ténacité et l’espoir autour du film. * Résumé : En 1919, Mathilde a 19 ans. Deux ans plus

défenses creusées dans la terre, les tranchées, reliées entre elles par des boyaux d’accès. Ils utilisaient pour se battre des fusils sur lesquelles était fixée une baïonnette, des mitrailleuses, des obus, des gaz… Les soldats vivent et meurent dans les tranchées, dans la boue, dans la vermine avec les rats et les cadavres. Ils vivent vraiment l’enfer d’où l’expression « l’enfer de Verdun ». Sur la route départementale de Verdun des milliers de camions roulent jour et nuit sans arrêt pare choc contre pare

taillis le soir, 1918, Alexander Young Jackson Félix Vallotton, Verdun, 1917 Village en ruine aux environs de Ham, Pierre Bonnard , 1917 Effet d’un obus dans la nuit, Georges Scott, 1915 Otto Dix, La tranchée, 1918 Marcel Gromaire, La guerre, 1925, musée d’art moderne, Paris Scott Georges Bertin, Une tranchée 1915-1917 Albin Egger-Lienz, Les sans-noms, 1916 Décembre, 1915, Baluschek Les chemins de gloire, 1917, Christopher Nevinson Otto Dix, Le marchand d’allumettes

|L’élève doit connaître : |- les grandes phases de la guerre | | |- les conditions de vie dans les tranchées | | |- les changements de l’Europe après la guerre | |L’élève doit être capable de :

terre est bouleversée, brûlée. Le paysage n'est plus que champ de ruines. Nous sommes dans les tranchées de première ligne. En plus des balles, des bombes, des barbelés, c'est la guerre des mines avec la perspective de sauter à tout moment. Nous sommes sales, nos frusques sont en lambeaux. Nous pataugeons dans la boue, une boue de glaise, épaisse, collante dont il est impossible de se débarrasser. Les tranchées s'écroulent sous les obus et mettent à jour des corps, des ossements et des crânes, l'odeur

né le 14 août 1950 à Tartas dans les Landes .Il est diplômé de l'IDHEC (institut des hautes études cinématographique). Résumé du film : En août 1914, avant de prendre le train pour rejoindre son régiment, le lieutenant Adrien Fournier passe la nuit avec Clémence, la jeune épouse d'un soldat. Quelques jours plus tard, Adrien est grièvement blessé par un obus qui lui arrache tout le bas de la figure. Envoyée vers l'hôpital du Val-de-Grâce à Paris, on l'installe dans la chambre des officiers. Le

c'est pour le Nord, vient ensuite le coup de vent de Verdun qui est poussé par celui de la Somme. De tout cela,je m'amuse un peu car, tu le sais, depuis fort longtemps, je ne me base que sur des ordress, c'estr encore plus sûr. » 3. les tranchées : « Ils faut le voir pour s'en rendre compte. Impossible de mettre sac au dos à cause de la flotte que l'on avait par-dessous et ce sans exagéreer jusqu'au ventre. » 4. faim, pain, prix des colis « Il y a 31 jours nous avaons eu pour tout dîner

discussion aux ordres. Ils peuvent aussi avoir l’obligation de tuer, souvent pour échapper eux-mêmes à la mort. L’expérience singulière de la guerre des tranchées doc 5p83 Cette modalité n’occupe qu’une partie de la Première Guerre mondiale, de la fin de l’année 1914 à la fin de l’année 1917. Mais elle en a marqué la spécificité. Les tranchées sont creusées dans la terre, d’environ 2 mètres de profondeur, reliées entre elles par des boyaux d’accès. Elles permettent donc aux troupes de s’abriter