La Nuit des rois

montre la fin du dernier vers qui rejette le sujet de la phrase à la fin soulignant le rapprochement des plus grands et des plus humbles « rois et pasteurs ». Pour conclure, le poète est un être presque divinisé. Sa grandeur d’âme et sa lucicité en font un être exceptionnel. Le vers 8 souligne son essence paradoxale : " Homme il est doux comme une femme ». Dieu s’adresse à lui comme à la nature « Dieu parle à voix basse à son âme/ Comme aux forêts et comme aux flots ». On voit dans ce texte la place

l’arthrite. (Annotation de la main de Christophe Colomb en marge de son exemplaire) Le 28 octobre il accoste dans une baie de cette île qu’il nomme Juana en l’honneur du prince Don Juan, le fils des rois catholiques l’île est plus connu sous le nom de Cuba. Il pense connaitre parfaitement sa position sur le continent asiatique. Sur cette île lui et ses homes apprenne à fumer de grandes feuilles séchées : le tabac. Ce croyant à Cipangu(le japon), il

promouvoir une crème de la marque Cadum. Ainsi Le lecteur peut situer l'histoire dans le temps. « Jadis, les rois marchèrent dans la direction d'une étoile », en faisant référence aux rois mages à la vingt-cinquième ligne, l'auteur ajoute une connotation religieuse a son écrit. Néanmoins il se permet une remarque de la vingt-neuvième ligne à la trente et unième : « Si j'avais été l'un des rois, ô Jésus, tu serais mort au berceau, étranglé, pour avoir interrompu si tôt mon voyage magnifique », mais

porcelaine du monde. Elle échappa miraculeusement aux bombardements de la nuit du 13 février 1945. Elle représente l’histoire de la grande maison des princes électeurs saxe. En tout , 94 personnages sont représentés , 35 sont ses marquis , des princes et des rois de Saxe et 59 sont des économistes , des artistes , des ouvriers , des paysans et des enfants . Le Zwinger Son histoire : Le zwinger était le palais des rois Saxes, il fut construit à la demande d’4auguste le Fort par l’ architecte

L’animal : métaphore du poète Corpus : Document 1 : Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », 1835 Document 2 : Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal, « L’albatros », 1857. Document 3 : Tristan Corbière, Les Amours jaunes, « Le crapaud », 1873 Document 4 : Roubaud (né en 1932), Les Animaux de tout Le monde, « Le Lombric », 1990. * Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », (extrait) Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots

L’animal : métaphore du poète CORPUS : Document 1 : Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », 1835 Document 2 : Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal, « L’albatros », 1857. Document 3 : Tristan Corbière, Les Amours jaunes, « Le crapaud », 1873 Document 4 : Roubaud (né en 1932), Les Animaux de tout Le monde, « Le Lombric », 1990.  Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », (extrait) Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Lorsque le

Las de vaincre se réjouit Quand il la retrouva plus pâle D'attente et d'amour yeux pâlis Caressant sa gazelle mâle 8 J'ai pensé à ces rois heureux Lorsque le faux amour et celle Dont je suis encore amoureux Heurtant leurs ombres infidèles Me rendirent si malheureux 9 Regrets sur quoi l'enfer se fonde Qu'un ciel d'oubli s'ouvre à mes voeux Pour son baiser les rois du monde Seraient morts les pauvres fameux Pour elle eussent vendu leur ombre 10 J'ai hiverné dans mon passé Revienne le soleil de Pâques

le plus beau coffre à trésor du monde». Chant numéro 2, ou extrait. Le deuxième arbre regarda le petit ruisseau qui suivait sa route vers l’océan. «Je veux être un grand voilier, dit-il. Je veux naviguer sur de vastes océans et transporter des rois puissants. Je serai le bateau le plus beau du monde». Chant numéro trois, ou extrait. Le troisième petit arbre regarda dans la vallée au-dessous de lui, il vit la ville où les hommes et des femmes s’affairaient. «Je ne veux pas quitter cette montagne

L'homme, fantôme errant, passe sans laisser même Son ombre sur le mur ! (Recueil : Les feuilles d'automne) Que t'importe, mon coeur Que t'importe, mon coeur, ces naissances des rois, Ces victoires, qui font éclater à la fois Cloches et canons en volées, Et louer le Seigneur en pompeux appareil, Et la nuit, dans le ciel des villes en éveil, Monter des gerbes étoilées ? Porte ailleurs ton regard sur Dieu seul arrêté ! Rien ici-bas qui n'ait en soi sa vanité. La gloire fuit à tire-d'aile

La Découverte de l’ Amérique La Découverte de l'Amérique est l'expression couramment employée pour désigner la découverte du Nouveau Monde par un groupe d’Européens commandé par Christophe Colomb dans la nuit du 11 au 12 octobre 1492. Il aborde alors une île des Caraïbes du nom de Guanahani (San Salvador), avec moins de cent hommes répartis dans deux caravelles (La Pinta et La Niña) et une caraque, La Santa María, dont il était amiral. Ce moment marque la rencontre de deux mondes qui avaient