La Nuit des temps

Ŕ1Ŕ René Barjavel La nuit des temps 1968 Ŕ2Ŕ Ma bien-aimée, mon abandonnée, ma perdue, je t’ai laissée là-bas au fond du monde, j’ai regagné ma chambre d’homme de la ville avec ses meubles familiers sur lesquels j’ai si souvent posé mes mains qui les aimaient, avec ses livres qui m’ont nourri, avec son vieux lit de merisier où a dormi mon enfance et où, cette nuit, j’ai cherché en vain le sommeil. Et tout ce décor qui m’a vu grandir, pousser, devenir moi, me paraît aujourd’hui étranger

Lecture cursive: La nuit des temps. Questions générales: 1-Etablissez le schéma narratif du roman. -situation initiale: Les membres des Expéditions Polaires françaises font un relevé du relief sous-glaciaire en antarctique. -élément perturbateur: Les membres découvrent que sous la glace, il y a un émetteur. -péripéties: =>découverte d’une cité de 900 000 ans sous la glace par les chercheurs du monde entier. =>certains chercheurs y pénètrent et découvrent

aurait volé le feu sacré. Zeus étant furieux d'avoir été volé et trahi a condamné Prométhée à être attaché nu au Caucase où un aigle (ou un vautour suivant les versions) lui dévore le foie tous les jours sa souffrance est donc infinie puisque chaque nuit son foie se régénère. Cependant, Héraclès (nommé Hercule dans la mythologie romaine) l'aurait délivré durant l'un de ses douze travaux mais pour ne pas enfreindre le serment de Zeus, le Titan dût porter toute sa vie une bague en fer provenant de ses

incroyable phénomène se produit : les appareils sondeurs enregistrent un signal : Il y a un émetteur sous la glace... Que vont découvrir les savants et les techniciens venus du monde entier qui creusent la glace à la rencontre du mystère ? La nuit des temps, c'est à la fois un reportage, une épopée mêlant présent et futur, et un grand chant d'amour passionné, traversant le drame universel comme un trait de feu, le destin d'Elea et de Païkan les emmène vers le grand mythe des amants légendaires.

Qui n’a jamais subit « La nuit des temps » de René Barjavel ? Ce roman de science fiction publié en 1968 est une de ses œuvres phare. René Barjavel est un écrivain et journaliste dont les romans abordent souvent des thèmes comme la folie de la guerre, le caractère éternel et indestructible de l’amour où encore la fin de certaines civilisations en raison des excès de la science. En effet, ce dernier constitue le corps de ce roman. Nous sommes au cœur du pôle Sud, en Antarctique. Un groupe de chercheurs

amour. Au dehors, un chercheur traduisant la langue de la civilisation passée, en essayant de garder les découvertes à des fins personnelles, détruit les documents. Il échouera à faire sortir les copies. Il ne reste des deux amants venus de la nuit des temps et qui l'ont traversé l'un à côté de l'autre, apportant une nouvelle technologie, que l'horreur qui hante le docteur Simon, et le regret amer de l'humanité qui n'a rien appris depuis la civilisation d'Éléa et Païkan, dont elle descend sans l'avoir

première personne du singulier : " Je " : Je le savais. Je regardais tes lèvres. Je les ai vues trembler d'amour au passage de son nom. Alors j'ai voulu te séparer de lui, tout de suite, brutalement, que tu saches que c'était fini, depuis le fond des temps, qu'il ne restait rien de lui, pas même un grain de poussière quelque part mille fois emporté par les marées et les vents, plus rien de lui et plus rien du reste, plus rien de rien... Que tes souvenirs étaient tirés du vide. Du néant. Que derrière

la première personne du singulier : Je le savais. Je regardais tes lèvres. Je les ai vues trembler d'amour au passage de son nom. Alors j'ai voulu te séparer de lui, tout de suite, brutalement, que tu saches que c'était fini, depuis le fond des temps, qu'il ne restait rien de lui, pas même un grain de poussière quelque part mille fois emporté par les marées et les vents, plus rien de lui et plus rien du reste, plus rien de rien... Que tes souvenirs étaient tirés du vide. Du néant. Que derrière

Schéma narratif de l’alchimiste Situation initiale : On rencontre Santiago le berger. Il passe la nuit dans une vieille église détruite avec son troupeau. Il avait maintenant rêvé le même rêve que la semaine précédente. Malgré qu’il soit berger, il est éduqué. Il voulait voyager depuis qu’il était tout petit. Élément déclencheur : Santiago est allé voir un gitan pour interpréter son rêve. Un vieil homme vint s’asseoir à côté de lui pour converser. Il dit de poursuivre la Légende Personnelle

qu’elle croit être Coban… Mais en réalité, ce n'est pas Coban qu'elle tue avec elle mais Païkan. Ne pouvant se résigner à vivre sans elle, il avait en effet tué Coban et pris sa place dans la sphère d'hibernation. Leurs cœurs cessent de battre en même temps. Simon s'en rend compte trop tard : il ne peut prévenir Eléa de sa méprise. Le leitmotiv du roman, indiquant l'amour d'Eléa pour Païkan est « Éléa : je suis à Païkan, Païkan : je suis à Eléa. »