La Nuit En Plein Midi Aragon

et désarçonnent le lecteur en jouant avec les conventions du roman ; d’autres, par leur concision, leur force ou leur humour, l'utilisation inédite des conjugaisons, ont marqué les esprits et ont su rester dans les mémoires. Voyage au bout de la nuit, (1932), Louis-Ferdinand Céline : « Ça a débuté comme ça » Jacques le Fataliste, (1773), Denis Diderot : « Comment s’étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe? D’où venaient-ils ? Du

Flaubert, Mémoires d’un fou (posthume, 1901), chapitre X Texte B – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale (1869), première partie, chapitre I Texte C – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale (1869), troisième partie, chapitre VI Texte D – Louis Aragon, Blanche ou l’oubli (1967), troisième partie, chapitre 3, « Une mèche de cheveux n’est pas une hypothèse » Page 2 sur 8 10.FRLI.ME1LR1 TEXTE A – Gustave Flaubert, Mémoires d’un fou C'est à l'âge de dix–sept ans, en 1838, que Flaubert achève

met définitivement fin à sa carrière. Pauvre et oublié de tous, Lamartine meurt en 1869, laissant derrière lui une œuvre lyrique témoignant de l'esprit de l'homme romantique. Poème : Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette

Groupement de textes : (photocopies) Victor HUGO, « L’Expiation », Les Châtiments » 1853 Texte 1 : Arthur RIMBAUD, « Le Mal » Poésies, 1870 (Lecture analytique) Guillaume APOLLINAIRE, « La colombe poignardée et le jet d’eau », Calligrammes, 1914 Louis ARAGON « La guerre et ce qui s’ensuivit », Le Roman inachevé, 1956 Texte 2 : Robert DESNOS, « Ce cœur qui haïssait la guerre » Destinée arbitraire,1975 (Lecture analytique) Documents complémentaires : 1) Corpus I : « La poésie lyrique et amoureuse »:

Mémoires d’un fou (posthume, 1901), chapitre X Texte B – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale (1869), première partie, chapitre I Texte C – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale (1869), troisième partie, chapitre VI Texte D – Louis Aragon, Blanche ou l’oubli (1967), troisième partie, chapitre 3, « Une mèche de cheveux n’est pas une hypothèse » Page 3 sur 8 10.FRLI.ME1LR1 TEXTE A – Gustave Flaubert, Mémoires d’un fou C'est à l'âge de dix–sept ans, en 1838, que Flaubert achève la

bohémien,  Par la Nature, - heureux comme avec une femme.   Arthur Rimbaud. Psyché et l'Amour - Gérard François Pascal Simon, dit Baron Gérard Nous dormirons ensemble. Que ce soit dimanche ou lundi  Soir ou matin minuit midi  Dans l'enfer ou le paradis  Les amours aux amours ressemblent  C'était hier que je t'ai dit  Nous dormirons ensemble C'était hier et c'est demain  Je n'ai plus que toi de chemin  J'ai mis mon cœur entre tes mains  Avec le tien comme il va l'amble 

Femme noire Femme nue, femme noire Vétue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté J'ai grandi à ton ombre; la douceur de tes mains bandait mes yeux Et voilà qu'au cœur de l'Eté et de Midi, Je te découvre, Terre promise, du haut d'un haut col calciné Et ta beauté me foudroie en plein cœur, comme l'éclair d'un aigle Femme nue, femme obscure Fruit mûr à la chair ferme, sombres extases du vin noir, bouche qui fais lyrique ma bouche Savane aux horizons purs, savane qui frémis aux

II – La répression page 4 III – Photos Affiche Rouge pages 5-6 IV – Description de l’affiche page 7 V – Missak Manoukian 1 – Manoukian et son groupe pages 8-9 2 – Lettre de Manoukian à sa femme pages 10-11 VI – Biographie de Louis Aragon page 12 VII – Strophes pour se souvenir page 13 - 16 VIII – Biographie Léo Ferré page 17 IX – Analyse musique Affiche Rouge page 18 X – Biographie Bernard Lavilliers page 19 XI – Film L’Armée du Crime page 20 XII – Conclusion page

de la personne qu'elle aime. Cette chanson évoque donc la fuite du temps a travers l'intemporalité de l'amour. Soleils couchants Victor Hugo Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées; Demain viendra l'orage, et le soir, et la nuit; Puis l'aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ; Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit ! Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule Sur la face des mers, sur la face des monts, Sur les fleuves d'argent, sur les forêts

Femme noire Femme nue, femme noire Vétue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté J'ai grandi à ton ombre; la douceur de tes mains bandait mes yeux Et voilà qu'au cœur de l'Eté et de Midi, Je te découvre, Terre promise, du haut d'un haut col calciné Et ta beauté me foudroie en plein cœur, comme l'éclair d'un aigle Femme nue, femme obscure Fruit mûr à la chair ferme, sombres extases du vin noir, bouche qui fais lyrique ma bouche Savane aux horizons purs, savane qui frémis aux