La Nuit étoilée

coeur ! (1802-1885) Victor HUGO Amour secretÔ toi d'où me vient ma pensée, Sois fière devant le Seigneur ! Relève ta tête abaissée, Ô toi d'où me vient mon bonheur !Quand je traverse cette lieue Qui nous sépare, au sein des nuits, Ta patrie étoilée et bleueRayonne à mes yeux éblouis.C'est l'heure où cent lampes en flammes Brillent aux célestes plafonds ; L'heure où les astres et les âmes Échangent des regards profonds.Je sonde alors ta destinée,Je songe à toi, qui viens des cieux, A toi, grande

proprement le sentiment de l'absurdité. Tous les hommes sains ayant songé à leur propre suicide, on pourra reconnaître, sans plus d'explications, qu'il y a un lien direct entre ce sentiment et l'aspiration vers le néant. TEXTE COMPLEMENTAIRE Si par une nuit d’hiver un voyageur de Italo Calvino, 1979 Le roman commence dans une gare de chemin de fer, une locomotive souffle, un sifflement de piston couvre l’ouverture du chapitre, un nuage de fumée cache en partie le premier alinéa. Dans l’odeur de gare

Etude du livre 3 : La Nuit et ses prestiges Prestiges : signifie une illusion attribuée à la magie, aux sortilèges. Par extension, c'est une illusion produite par des moyens naturels ( ex : illusion d'optique). Et enfin, c'est l'impression faite sur l'âme par les oeuvres artistiques. Prestige : autorité morale d'une personne et la séduction qu'elle exerce par les moyens de la beauté et de l'esprit. La nuit et ses prestiges signifie qu'il va se passer un certain nombre d'évènements fantastiques

venait toujours après la peine          Vienne la nuit sonne l'heure          Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse          Vienne la nuit sonne l'heure          Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente          Vienne la nuit sonne l'heure          Les jours s'en vont je

divinité. » Baudelaire, Le peintre de la vie moderne. B) « Élévation » Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par delà le soleil, par delà les éthers, Par delà les confins des sphères étoilées, Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde, Tu sillonnes gaîment l’immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ; Va te purifier dans

plateau du Vénérable Maître et les deux étoiles des deux surveillants, les lumières des trois piliers (Sagesse, Force et Beauté), les trois grandes lumières (le volume de la loi sacrée, le Compas et l’Equerre), le chandelier à trois manches, la voûte étoilée, le soleil et la lune, le Delta lumineux, etc. Les différentes lumières que l’apprenti reconnaît avoir vues lors de son initiation (le soleil, la lune et le Maître de la loge), sont toutes importantes. Chacune d’elles recèle d’éléments enrichissants

la fenêtre, elle s'était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. Depuis huit jours, au sortir du Veau à deux têtes, où ils mangeaient, il l'envoyait se coucher avec les enfants et ne reparaissait que tard dans la nuit, en racontant qu'il cherchait du travail. Ce soir-là, pendant qu'elle guettait son retour, elle croyait l'avoir vu entrer au bal du Grand-Balcon, dont les dix fenêtres flambantes éclairaient d'une nappe d'incendie la coulée noire des boulevards extérieurs;

wikipedia.org/wiki/Nyx" \o "Nyx" Nyx (la Nuit). « Donc, au commencement, fut Chaos, et puis la Terre au vaste sein, siège inébranlable de tous les immortels qui habitent les sommets du neigeux Olympe, et le Tartare sombre dans les profondeurs de la vaste terre, et puis Amour, le plus beau des immortels, qui baigne de sa langueur et les dieux et les hommes, dompte les cœurs et triomphe des plus sages vouloirs. De Chaos naquirent l'Érèbe et la sombre Nuit. De la Nuit, l'Éther et le Jour naquirent, fruits

ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui, pour tes grands yeux, tout aussitôt moururent Il n'y a pas d'amour heureux Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare Il n'y a pas d'amour heureux Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur

représentation non photographique du monde visible. Par leur stylisation de la réalité, ils sont parfois proche de l’abstraction. « Ce n’est pas une peinture, mais une impression » -> impressionnisme Deux œuvres du néoclassicisme: Commentaires La nuit étoilée, Van Gogh (1889) M’ont Sainte-Victoire, Cézanne (1905-06) Les œuvres impressionnistes = couleur pour exprimer la structure des objets,recours à la photographie. Sujes traités =la vie de leur temps depuis points de vue inhabituels.