La Parole Primordiale Au Theatre

deux extraits étant précédés d'un paratexte nous donnant au metteur en scène des informations primordiales sur le décor, les costumes des personnages et la situation de la scène. Ces deux textes sont caractérisés, tout d'abord, par leur nombre important de didascalies- celles destinées à être vues et celles destinées à être entendues. Cette utilisation notable contraste foncièrement avec le théâtre classique où leur utilisation était assez rare. Elle donne au metteur en scène des précisions

pratique du théâtre d’improvisation. Les personnages du roman se retrouvent dans un château qui devient l’espace idéal de libération et d’épanouissement par le jeu. C’est ici que les jeunes artistes apprennent à mieux se connaître, à développer leur faculté avant de revenir à la société. Ils vivent une expérience unique et riche qui les métamorphose. Sand présente son roman comme une « analyse de quelques idées d’art ». En effet, à travers le personnage de Boccaferri, qui devient son porte-parole, George

rélèvent du corps : la catharsis libère le corps et donc l’esprit des passions. A l’opposé, l’humour est fondé sur le corps, qu’il soit verbe ou situationnel, mais agit sur les pensées. Il y a donc un croisement : on part de la pensée incarnée par la parole pour influencer le corps (les passions sont basses et matérielles) dans la tragédie, alors que dans la comédie on part du corps (danse et chant) pour influencer les pensées et ce qui relève de l’esprit. Dans Le Rire

histoire sacrée, il relate un évènement qui a eu lieu dans le temps primordial, le temps fabuleux des communications » 2 Salluste (historien latin) dit « la relation d'un évènement qui n'a jamais eu lieu à propos d'une chose qui existe depuis toujours »3 Après la constatation de ces citations nous pouvons extraire une simple définition du terme qui vient du grec « Muthos » apparu au XIXème siècle, qui confond les notion de « parole » et de « récit », porté à l'origine par une tradition orale

Le théâtre prend naissance au Vème siècle avant Jésus Christ. Des auteurs antiques comme Aristophane, Euripide, ont contribué au développement de ce tout nouveau genre. Dès lors, le théâtre subit de profondes évolutions. Au moyen Age il quitte la scène théâtral pour être représenté sur le parvis des Eglises. A cette époque, sa fonction est purement religieuse, il est destiné à communiquer au peuple les idées théologiques du pays. Les dramaturges classiques du XVII siècle imposent au théâtre des règles

mariage légitime, moral v.5 périphrase le désignant, v.6 lois : légitime accepter par la soc., hymen=mariage, généalogie importante dans la tragédie v.26 insiste sur objet de sa confusion T. a été manipulé par P.v.30-32 il a détruit es liens primordiaux/essentiels Désigner périphrase v.35, non nommé elle a honte et sa préoccupation 1ère est Hyppolite v.7 T. représente stabilité/bonheur apparente seulement, allitération en [m] : douceur, rythme crée par la virgule v.34-36 : allitération

l’humanité qu’il est nécessaire de retrouver lorsque les hommes se déchirent. Qu’est ce qu’un mythe : Quelque chose de sacré, de religieux, transmit oralement Citation sur le mythe (Mircea Eliade) : « Le mythe est un évènement qui a lieu dans le temps primordial, dans le temps fabuleux des commencements » Il y a différents types de mythes : -Cosmogoniques (création de l’univers) -Théogoniques (apparition des premiers Dieux) -Antrogoniques (création des hommes) Electre appartient à la famille des Atrides

de la pièce de théâtre «L'île des esclaves» de Marivaux en 1725. Au fil de la pièce, Trivelin m'est apparu comme mon personnage préféré.Dans un premier temps, Trivelin est décrit comme le chef de l'île, il m’apparaît comme un leader. C'est lui qui initie les lois, il veille à ce qu'elles soient respectées.Je découvre chez lui de bonnes compétences en matière d'écoute et de communication. Cette posture de chef, leader me paraît importante, primordiale pour gérer un

récit qui met en scène des dieux ou des héros. Il a une dimension intemporelle, celle de l’Origine des choses. Mircéa Eliade1 en donne cette définition : « Le mythe raconte une histoire sacrée ; il relate un événement qui a eu lieu dans le temps primordial, le temps fabuleux des commencements. Autrement dit, le mythe raconte comment, grâce aux exploits des Êtres Surnaturels, une réalité est venue à l’existence … C’est donc toujours le récit d’une création : on rapporte comment quelque chose a été

que sous ces apparences se présente bien une réflexion idéologique qui en fait un instant de comédie « sérieuse ». Le théâtre tient une place à part au sein de la littérature et le jeu de scène semble essentiel à la compréhension de la pièce. En effet, les gestes, les postures scéniques ou encore les expressions corporelles des personnages sont primordiales car, contrairement au roman par exemple, la description est inexistante. Cette fermeture du texte théâtral sur lui-même provoque en