La Passion Amoureuse Manon Lescaut

Puccini et Massenet : de Manon à La Bohème. « Massenet a compris le fondement de la musique… il compose pour faire plaisir » sur ces paroles de Puccini, nous pouvons comprendre le lien qui unie les deux compositeurs : l’influence de Massenet sur Puccini. Partons de cette constatation pour étudier les points communs entre Manon : opéra comique de J. Massenet, et La Bohème de G. Puccini. L’opéra du compositeur de Madame Butterfly étant notre objet d’étude du semestre, nous étudierons en premier Massenet

l'Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut d'Antoine-François Prevost, le texte B, extrait de Domnique d'Eugène Fromentin et le texte C, extrait de L'Amant de Marguerite Duras. Chacun de ces textes présente à sa façon trois couples. Ces trois textes sont d'époques différentes, presque un siècle les séparent. Néanmoins, ils portent sur le même sujet: l'amour. Ainsi, Prévost dans le texte A, met en scène deux amants qui doivent se séparer de part l'exil de Manon; le narrateur utlise alors le champ

elle prétendit au conducteur que cet amoureux était son cousin et que, heureuse de cette rencontre, elle allait retarder son entrée au couvent au lendemain, et qu’elle allait souper avec lui. Il lui proposa une auberge d’Amiens. Mademoiselle Manon Lescaut, noble, tout comme lui, le trouva aimable. Ils ne trouvèrent qu’une solution afin d’appartenir l’un à l’autre: la fuite, tromper la vigilance du conducteur (qui est un domestique). L’amant ferait préparer une chaise de poste dans la nuit, il reviendrait

chevalier des Grieux et de Manon Lescaut, l’abbé Prévost, 1751 "Je ne suis pas étonné que ce roman, dont le héros est un fripon et l'héroïne une catin [...] plaise, parce que toutes les mauvaises actions du héros [...] ont pour motif l'amour, qui est toujours un motif noble, quoique la conduite soit basse."      Montesquieu  "Mémoires" Introduction : Scène de rencontre, de première vue entre des Grieux et Manon Lescaut. Pour autant, il ne s'agit pas scène de la première vue de Manon, qui a déjà été décrite

forme d’interpellation amoureuse : « Au plaisir de vous voir mon âme accoutumée / Ne vit plus que pour vous. Ignoriez-vous vos lois ». À partir de la question rhétorique des v. 11 et 12 qui incite son interlocuteur à réfléchir à son propre comportement, Bérénice accuse Titus de la folie de l’amour qu’elle lui porte : « À quel excès d’amour m’avez-vous amenée ! » (v. 13). Titus apparaît ainsi constamment dans la parole d’une Bérénice malheureuse, mais toujours amoureuse. L’image d’un Titus ému

Introduction : En 1753, Manon Lescaut, après avoir été condamné par deux fois pour attitude immorale à être saisi et brûler, Prévost publie une nouvelle version de ce roman. Cette fois-ci, il rencontre le succès du public et devient un chef-d’œuvre qui traversera les siècles pour que nous l’étudiions aujourd’hui. L’abbé Prévost (1697-1763) très instable, ne fait que de jongler entre l’armée et la vie ecclésiastique. Il est aussi obligé de se réfugier en Angleterre où il devient précepteur, il écrit

qui retrace toutes les étapes de la conquête amoureuse. Ces dernières prennent la forme de villages qui se succèdent, à une distance plus ou moins importante de la « Nouvelle-Amitié », et qui rendent compte de l'avancement de la passion. Seulement, ces villages mènent à la Mer Dangereuse, qui symbolise les troubles et la douleur auxquels la passion peut conduire. Justement, ce mot provient du latin « patior » qui signifie « souffrir ». Ainsi, la passion, qui est qualifiée d'élan affectif, est associée

survient à nouveau et il se rappelle du portrait de cette jeune femme. L’écrivain s’inspire aussi de l’histoire de Manon Lescaut, qui est l’emblème du mythe de la passion destructrice au 18e siècle, pour ensuite inventer l’histoire de Carmen. Explication du mythe : Carmen est en réalité l’histoire d’une femme fatale qui séduit les hommes pour les dépouiller ensuite. Elle tombe amoureuse d’un brigadier, Don José, qu’elle séduit ouvertement devant d’autres cigarières avec qui une bagarre éclate. Par

Né en 1697, l’Abbé Prévost mène une vie riche en péripéties. Le roman de Manon Lescaut , qui s’insère dans un plus vaste ensemble Mémoires d’un homme de qualité , est alors à forte composante autobiographique. L’auteur, mettant à profit son art du récit et de la mise en scène, y dépeint un « exemple terrible de la force des passions », dans lequel les deux protagonistes sont peu à peu entraînés vers la déchéance. Dans ce texte extrait

Analyse linéaire : Manon Lescaut, La rencontreIntro« Voir fiche »LecturePlanI/ l’annonce d’une passion fatale (L.1-8)II/ Le coup de foudre (L.8-13)III/ Le dialogue entre les deux personnagesProjet de lecture Nous nous demanderons en quoi cette scène laisse percevoir le destin tragique des personnagesI/ l’annonce d’une passion fatale (L.1-8)1.Une rencontre regrettée-L.1 « j’avais marqué le temps de mon départ » -> annonce que la rencontre qui suit va venir bouleverser la vie DG-Le narrateur est