La Pension Vauquer

Italo Calvino, Si par une nuit d’hiver un voyageur, 1981. 1- lutrin : pupitre. Texte D Madame Vauquer, née de Conflans, est une vieille femme qui, depuis quarante ans, tient à Paris une pension bourgeoise établie rue Neuve-Sainte-Geneviève, entre le Quartier latin et le faubourg Saint-Marceau. Cette pension, connue sous le nom de la Maison-Vauquer, admet également des hommes et des femmes, des jeunes gens et des vieillards, sans que jamais la médisance ait attaqué les

II Résumé du roman En 1819,à Paris, dans une très modeste pension tenue par Madame Vauquer logent différents pensionnaires : Mlle Michonneau, Victorine Taillefer Monsieur Poiret, Bianchon, mais surtout Vautrin qui se fait passer pour un ancien commerçant, Eugène de Rastignac venu faire son droit à Paris et le Père Goriot. Le Père Goriot est le plus âgé et le plus ancien des pensionnaires. Il avait, dans un premier temps, des revenus suffisants pour habiter au premier étage un très bel appartement

la vente de son fond à Muret après de longues années de veuvage, l’a poussé de se retirer à la Maison Vauquer surtout que ses gendres refusent de l’accueillir. A ce moment, il a encore quelques mille francs ce qui a mené Madame Vauquer à s’intéresser au veuf. Ponctionné par ses filles, Goriot demande à habiter le deuxième étage de la pension Vauquer (l’étage des pauvres). Dépitée, Madame vauquer commence à l’humilier. La même année, Rastignac l’a surpris en train de compresser des couverts en vermeil

Le père Goriot, vieillard de soixante-neuf ans environ, s'était retiré chez madame Vauquer, en 1813, après avoir quitté les affaires. Il y avaitd'abord pris l'appartement occupé par madame Couture, et donnait alors douze cents francs de pension, en homme pour qui cinq louis de plus ou de moins étaient une bagatelle. Madame Vauquer avaitrafraîchi les trois chambres de cet appartement moyennant une indemnité préalable qui paya, dit-on, la valeur d'un méchant ameublement composé de rideaux en calicot

prend place dans une logique narrative car il s’inscrit dans une présentation très complète des lieux et des personnages tel qu’on a l’habitude de les évoquer dans un incipit réaliste. Après avoir décrit la pension, le narrateur nous promène dans une véritable galerie de portrait où figure Mme Vauquer et à son tour Vautrin, seront évoqués également Eugène de Rastignac et le père Goriot. * L’enjeu thématique de ce passage semble bien tourner autour de l’art du portrait, un portrait pragmatique dans

héritage. Rastignac refuse de suivre Vautrin dans cette affaire criminelle. Il s’engage dans une relation amoureuse avec Delphine. Une enquête révèle que Vautrin est un ancien forçat, Jacques Collin. Le Père Goriot, qui croyait pouvoir quitter la pension avec Rastignac pour vivre auprès de sa fille Delphine, meurt en apprenant brutalement la situation familiale et financière désastreuse de ses filles, qui lui réclament son aide sans ménagement. Peu de temps avant, on lui avait diagnostiqué une grave

même travail avec l’Espèce Humaine. La méthode balzacienne La méthode balzacienne se résume en de multiples descriptions minutieuses, souvent exclusivement réalistes , dans un cadre qui peut être tout aussi bien luxueux ou sordide (la maison Vauquer / le bal des comtesses). Le portrait du personnage est aussi très important, Balzac consacre des descriptions détaillées d’un point de vue extérieur, au niveau des vêtements, du visage, du comportement… et accorde aussi une signification au nom du

de la pension Vauquier, il règne une atmosphère assez fraternelle, bien que chaque personnage ait plus d'affinités avec certains que d'autre et que tous s'accordent à mépriser le père Goriot. Dans l'aristocratie, les relations sont entièrement codifiées, réglées, et on sent une sorte de tension entre les personnages, malgré une amabilité de façade. 4 - L'histoire se déroule parallèlement dans deux milieux sociaux totalement opposés : dans les classes populaires, symbolisées par la pension Vauquier

Résumé Le roman comprend quatre parties. La première partie, intitulée « Une pension bourgeoise », présente les lieux aux confins du Quartier latin et du faubourg Saint-Marcel, rue Neuve Sainte-Geneviève, actuellement rue Tournefort. La sordide pension Vauquer est présentée par étages. Les lieux sont accordés au personnage de la tenancière, Madame Vauquer : « toute sa personne explique la pension, comme la pension implique sa personne ». Les personnages sont apparentés à un microcosme familial

subsisteront peut-être, alors que la plus grande partie des modèles seront morts et oubliés. » b) Résumé : à Paris, en 1819, dans la Pension Vauquer, une sordide pension bourgeoise, arrive un jour un jeune étudiant en droit, Eugène de Rastignac, tout droit débarqué de son Périgord natal. Rapidement, il fait la connaissance des habitués de la pension, dont Vautrin, un ancien forçat qui se fait passer pour un ancien commerçant et le père Goriot, le plus ancien des pensionnaires. Ce dernier