La Petite Amie

lt ! Bon alors voilà je vous explique mon prob : (c'est très long) Ca fait 2-3 ans que je connais une fille, et je me suis toujours bien entendu avec elle. Au début c'était juste une personne avec qui je déconnais parfois... Et puis petit à petit je suis tombé amoureux d'elle. Elle a toujours eu une attitude un peu bizarre, avec moi, mais pas seulement. Pas mal de gens qui ne l'aime pas disent qu'elle est hypocrite en fait. Parallèlement à ça je me suis pris d'amitié pour elle... C'est

relaté dans le roman de Monsieur X, est une vie qui se veut mouvementée, troublée. L'étudiant en question montre son besoin d'aide, même si personne n'est vraiment à ses côtés pour le remarquer. Ses parents sont faux, et ne s'occupent de que leurs petites personnes tandis que ses professeurs exigent une autonomie abusive. Sous pression, triste et incompris, l'étudiant se réfugie dans l'alcool et dans la drogue, dans le sexe et la débauche. Il enchaine les conquêtes, pour les abandonner une fois le

Pacifique où elle donne la parole à un enfant plongé dans l’horreur de l’Intifada.Elle offre chaque jour de sa personne pour les petites personnes du monde: les enfants. L’oeuvre: Les personnages: Paloma: fille de Mélina, elle aurait disparu, elle a fort caractère. Mélina: mère de Paloma, faible, inconsolable, elle se sent impuissante face à l’adversité. Stella: amie de Mélina, elle la soutient et l’aide dans ses recherches. Pablo: père de Paloma. Nina: fille de Paloma. Fernando: ami de la

Il y a deux ans, alors que les derniers jours avaient été compliqué à l’hôpital, mon amie Lou et moi décidions d’aller passer quelques jours en Allemagne, dans la vielle maison que mes grands parents avaient abandonnés à leur mortL’ombre du lac Il y a deux ans, alors que les derniers jours avaient été compliqués à l’hôpital, mon amie Lou et moi décidions d’aller passer quelques jours en Allemagne, dans la vielle maison de mes grands-parents dans laquelle je n’étais pas venue depuis

charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés. Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique. Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille

charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés. Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique. Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de

et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés. Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique.     Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de

son futur mari M. Gercourt mais qu'elle ignore encore l’existence, La bas, elle rencontre 2 personnes importante pour elle : Dannecy, son prof de harpe et de chant et une amie de sa mère, Mme Merteuil. Mais cette dernière a d'autres idées en tête. Elle veut se venger de de son ex-mari, M. Gercourt, qui est le futur mari de la petite Volange. Pour se faire, elle demande de l'aide à son ex-amant, M,Valmont, pour qu'il forme Cécile De Volange à son futur mari, qu'il la pervertisse. Celui-ci refuse, car

habitants. Il ne restait plus qu’elle, au rez de chaussée, et sa vieille amie Jeanne MORSIN, au deuxième étage. Henriette entendit des pas lourds dans l’escalier. Elle reconnut la démarche de son amie. Elle qui n’osait pas bouger, trouva son amie bien imprudente de s’aventurer sur les lieux à présent désertés. Le cri qui déchira le silence, la sortit de son immobilité. La voix de Jeanne : ( Julie…Oh ! Mon Dieu ! Ma petite Julie…A l’aide ! Henriette DORSET ouvrit la porte prudemment. Il

charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d’employés. Elle n’avait pas de dot, pas d’espérances, aucun moyen d’être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué ; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l’instruction publique. Elle fut simple ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée ; car les femmes n’ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille