La Petite Fille au bout du chemin

Electre II,8 : tirade de Clytemnestre « Oui je le haïssais (…) voilà le plus beau. » Egisthe a annoncé son mariage avec Clytemnestre. Il veut être roi pour sauver Argos. Provoquée à de multiples reprises par sa fille, Clytemnestre va révéler sa haine pour Agamemnon et donner une image peu valorisante du roi défunt. I - La déclaration de haine de Clytemnestre 1/ Les raisons de la haine ; Son mariage considéré comme un enlèvement, mariage forcé exprimé par l'hyperbole « arrachée »=

CONTES ET NOUVELLESLe papa de SimonSimon était un petit garçon de 7/8 ans. Il était un peu pâlot, très propre, avec un air timide, presque gauche. Sa mère est la Blanchote. Simon n’a pas de père du coup ses camarades le harcèle. Simon n’a pas de père car sa mère la eut sans être mariée du coup son petit amie la quitter. Ses camarades le harcèle et se moque de lui. Un jour l’un lui tira la langue et lui cria « Pas de papa ! Pas de papa ! »Alors Simon lui mit des coups et le monda. Il se fit une bousculade

l’Université, à l’entrée de l’église des GrandsAugustins, près du bénitier, auprès de la porte. Un grand et beau jeune homme au teint brun, aux longs cheveux et aux grands yeux noirs, vêtu avec une simplicité pleine d’élégance, et portant pour toute arme un petit poignard au manche merveilleusement ciselé, était là debout, et, par pieuse humilité sans doute, n’avait pas bougé de cette place pendant tout le temps qu’avaient duré les vêpres ; le front courbé et dans l’attitude d’une dévote contemplation, il murmurait

pas trop quoi faire mais tout va bien (10). Nulle infortune n’est trop dure à supporter tant que les hommes tiennent le coup. Le soleil devient moins rouge. (11) CHAPITRE II : TOM JOAD DANS LE CAMION DE L’OKLAHOMA TRANSPORT COMPANY . Devant la petite auberge (12- 15) : camion rouge et neuf de l’Oklahoma City Transport Company. L’unique client accoudé au comptoir parle avec la serveuse d’une connaissance commune, un brave gars quand il n’est pas saoul (12). Dehors un homme s’approche du camion

accablés, éreintés, incapables d’une pensée ou d’une résolution, marchant seulement par habitude, et tombant de fatigue sitôt qu’ils s’arrêtaient. On voyait surtout des mobilisés, gens pacifiques, rentiers tranquilles, pliant sous le poids du fusil ; des petits moblots alertes, faciles à l’épouvante et prompts à l’enthousiasme, prêts à l’attaque comme à la fuite ; puis, au milieu d’eux, quelques culottes rouges, débris d’une division moulue dans une grande bataille ; des artilleurs sombres alignés avec ces

ensevelis sous la neige qui monte autour d’eux, enveloppe, étreint, écrase la petite maison, s’amoncelle sur le toit, atteint les fenêtres et mure la porte. L’auberge C’était le jour où la famille Hauser allait retourner à Loëche, l’hiver approchant et la descente devenant périlleuse. Trois mulets partirent en avant, chargés de hardes et de bagages et conduits par les trois fils. Puis la mère, Jeanne Hauser et sa fille Louise montèrent sur un quatrième mulet, et se mirent en route à leur tour.

et ouvre plus d'horizons. » Zola va rapidement s'y employer en concevant un monument littéraire : Les Rougon-Macquart, La Conquête de Plassans est un roman d’Emile Zola publié en 1874, c'est le quatrième de la série. L’action se situe à Plassans, petite ville que Zola a imaginée en s'inspirant d'Aix-en-Provence, ville acquise à Napoléon III grâce aux intrigues de la famille Rougon (La Fortune des Rougon), est passée aux légitimistes. Un prêtre bonapartiste, l’abbé Faujas, y est envoyé par le pouvoir

 a épousé Hermione fille d’Hélène et de  Ménélas. Andromaque a donc dû quitter le lit de son maître.  Néoptolème vient de partir pour aller consulter la Pythie de Delphes. Pendant ce temps là,  Andromaque se bat seule contre Hermione qui voudrait la tuer, ainsi que son fils. Les deux  femmes  sont  en  guerre  ouverte  tant  Hermione  est  jalouse  d’Andromaque,  bien  plus  âgée  qu’elle pourtant. Et cette dernière ne dispose d’aucun allié sur place. Arrive Ménélas venu  rendre  visite  à  sa  fille.  Il  la 

‘’ a suscité chez moi beaucoup de questionnements et de curiosité. Plusieurs couleurs sont venues attirées mon regard et quelques détails m’ont démontré des sujets qui seront abordés dans le roman. Sur la première de couverture, il y a une jeune fille souriante et heureuse, accompagnée d’un garçon inconnu. J’ai tout de suite deviné qu’une histoire d’amour serait présente dans ce roman. Aussi, nous pouvons apercevoir que le bal de finissant aura lieu grâce à l’habillement des personnages sur la

LAFFONT/BOUQUINS/SEGHER (2013) Etiquettes: Roman Baptisé Turambo du nom de son village disparu, le héros est né dans l'Algérie coloniale des années 1920. Le récit de son parcours sentimental, marqué par sa cousine Nora, la prostituée Aïda, Louise la fille d'un homme d'affaires ou encore la fière et indépendante Irène, se mêle à celui de son ascension et de sa chute dans le monde de la boxe. DU MÊME AUTEUR Aux éditions Julliard Les Agneaux du Seigneur, roman, 1998 (Pocket, 1999) À quoi rêvent