La Philosophie Nous Detache T Elle Du Monde Reel

maison et traducteur à la Schaubühne de Berlin, un des plus prestigieux théâtres du pays. Ses personnages sont des autistes. Leur vie ressemble à une maladie mortelle, une décadence terrible. Ils n'arrivent ni à naître, ni à enfanter. Le monde n'existe pas pour eux, pas même la notion de famille. Ils ne regardent que leur propre néant, qui les dévore et les brûle. C’est ce qui les pousse au meurtre, à la violence ou au suicide. Dans Visage de feu, tous ces éléments sont présents. L’action

mineur dans sa philosophie. Si l’on désire savoir pour quelles raisons la question de l’existence semble ne pas se poser pour les Grecs, il faut remonter à Platon et à son identification de l’essence et de l’existence dans les formes intelligibles, dans les Idées. En effet, une chose sensible n’a pour lui d’ « être » que par sa participation à certaines Idées (ex : ce cheval particulier participe de l’idée du cheval), à des essences qui sont immuables, universelles, etc. La philosophie hérite de cette

l’égalité des convictions personnelles et la finitude animale des identités. Pourquoi notre guide, au regard de cette situation, est-il, depuis l’année dernière, Platon ? C’est que Platon a donné l’envoi à la conviction que nous gouverner dans le monde suppose que quelque accès à l’absolu nous soit ouvert, non parce qu’un Dieu vérace nous surplombe (Descartes), ni parce que nous sommes nous-mêmes les agents du devenirsujet de cet Absolu (Hegel comme Heidegger), mais parce que le sensible qui nous

seule signature de l’artiste qui fait autorité ? Si on définit une œuvre d’art par son projet, tous est entre les mains de l’artiste. A l’origine, l’artiste était soumis au mécène et devait peindre des scènes religieuses. Puis l’artiste s’en est détaché pour peindre des natures mortes. Ainsi, la peinture n’est plus un moyen mais deviens une fin : le peintre peint pour peindre. Pour Kandinsky dans du spirituel dans l’art, « cet étouffement de toute reconnaissance intérieure qui est la vie des couleurs

qui se cachent dans le monde, il veut comprendre son existence, son histoire, ses sentiments et sa réalité. Ainsi, chaque homme juge la vérité du monde selon ce qu´il construit, ou simplement selon ce qu´il écoute et apprend. De cette manière, nous apercevons que chaque homme, ou chaque groupe peut avoir un jugement différent de celui de la vérité, nous sommes constamment confrontés à une ou plusieurs opinions nous donnant diverses lectures de notre vie et de notre monde. Parvenir à une vérité

F. KAUSCH3 COURS : 1) Mêler art et pouvoir / esthétique et politiqueBibliographie : - Walter Benjamin « l’œuvre d'art à l'époque de la reproductibilité technique » 1939 Gallimard Œuvres, III (→ 3ème volume) PR LA RENTREE 2) Politique : cours sur la punition et le châtiment 3) Les sciences humaines à partir de Rousseau, entre autres.Concernant les lectures : travail « non scolaire » → toujours un livre ouvertINTRODUCTION sur le texte de Benjamin Avec le photographe Walker Evans

 Jean-Pierre Vernant est un historien français spécialiste de la Grèce antique, né le 4 janvier 1914. Il est major de l'agrégation de philosophie en 1937. Il devient dans les années d'après-guerre enseignant-chercheur. De 1957 à 1975 il est directeur d'étude à la VIe section de l'EPHE. Il est membre de « l'Ecole de Paris » comme Pierre Vidal-Nacquet, ou encore Marcel Detienne spécialistes de la société de la Grèce antique. Il adopte une approche anthropologique dans ses recherches et est proche

Philosophie Dissertation   Sujet : Faut-il perdre ses illusions ?     Dans le film Inception de Christopher Nolan, Dom Cobb et sa femme Mall sont heureux avec leurs deux enfants. Malheureusement, après une expérience de Dom sur la science des rêves, ils se retrouvent tout deux piégés dans un monde d’illusions, construit à partir de leurs rêves et leurs envies. Les deux protagonistes créent donc ce monde à leur goût pendant de nombreuses années. Mais Cobb découvre le moyen de s’échapper de

LA CONSCIENCE ● Multiplicité des usages du mot : {draw:frame} I- La découverte de la conscience 1) La conscience, invention de la philosophie moderne ? ● La conscience psychologique est au cœur de la réflexion philosophique depuis Descartes. Pour les Grecs, l’expérience de l’homme est plus tournée vers le monde extérieur que sur l’introspection et la réflexion sur soi (pas de mot équivalent pour désigner la « conscience »). Ce qui importe alors, ce sont les œuvres effectives et les

Rougon-Macquart. On peut cependant se demander si Nietzsche n’est pas influencé par son époque et ses recherches qui visent à critiquer l’ensemble des valeurs chrétiennes omniprésentes à cette période de l’histoire. Toujours est-il que Nietzche se détache finalement tout à fait de la pensée du mouvement Parnassien. Il utilise une métaphore pour montrer la contradiction de l’art pour l’art, « un serpent qui se mord la queue ». En effet la vision des artistes parnassiens n’est pas conforme à celle du