La Philosophie Nous Eloigne T Elle Du Monde

LA PHILOSOPHIE DE PLATON (théorie des Idées) Cependant, quand on observe ces êtres changeants, on s’aperçoit qu’ils reproduisent dans la même espèce des caractères constants. Ces caractères se transmettent d’individu à individu, de génération à génération. Ils sont des copies de modèles universels, immuables, éternels que Platon appelle les Formes ou les Idées. Dans le langage courant, on entend par idée une modification, un acte de l’esprit. Dans le langage de Platon, l’Idée exprime, non pas

individu[1]. C´est alors à chacun d´entre nous de créer le sens de sa vie par les actes qu´on accomplit pendant la vie et c´est par nos actes qu´on se réalise aussi bien qu´on crée le sens de notre mort. Cette dernière conception provient de la philosophie des existentialistes qui ont conçu la mort comme la situation limite par rapport à toutes les autres (la honte, la culpabilité, etc.), comme la réalité absurde de l´existence. L´existentialisme conçoit chaque homme comme le créateur de lui-même

Philosophie présocratique Le chaos des apparences Depuis toujours, l’homme se questionne sur l’univers et essaie d’expliquer le monde qui l’entoure. Au tout début, les sociétés créaient des mythes pour expliquer ce qu’ils n’arrivaient pas à comprendre ou ce qui pour eux n’avait aucun sens. À l’époque de l’Antiquité, dans la société grecque, des philosophes ont commencé à chercher une explication qui utilisait la raison et la rationalité de l’homme et à mettre de côté les mythes. Ces grands penseurs

Zeus, dieu de la médecine, des arts et des sciences et par Hygie, déesse de la santé et de l'hygiène. Par la suite, les réflexions éthiques ont été développées par Aristote dans son livre Éthique à Nicomaque. Il s'agit d'un livre de philosophie morale dont l'influence sera très grande jusqu'au XVIII° siècle. Cet ouvrage d'une très grande richesse se comprend comme un traité pratique qui doit guider la politique dans son travail. Éthique et politique en effet sont inséparable

que la liberté de pensée a inspiré la révolution Française. Candide est le personnage principal du roman. C’est un jeune garçon naïf et « sa physionomie annonçait son âme ». Candide est simple d’esprit et il est convaincu que les propos et la philosophie de Pangloss sont totalement vraie. Il ne rejettera ces croyances qu’à la fin de l’histoire. Il est amoureux de Cunégonde et se fera jeté du château de Thunder-ten-tronckh à coup de pied. Il traversera beaucoup d’épreuves pour la retrouver. Pangloss :

revient à en démontrer la fausseté. Nous sommes alors dans le règne de la Raison, avec une majuscule. Il n'est pas question ici de nier la validité de la démarche scientifique, mais de noter que dans sa lutte contre l'obscurantisme religieux la philosophie des Lumières a hérité d'une majuscule, et qu'il y a là une contradiction flagrante. La Raison devient un Absolu, et le respect du processus scientifique se rigidifie en son adoration, établissant une nouvelle divinité à la place de l'ancienne. Il

laideur : Sarte est relativement laid ( strbisme, il s’en rend compte chez le coiffeur ). Beaucoup de conquetes féminines car = > en sortant avec elles , il s’approprie une part de leur beauté Licence en philo + agrégation : Va enseigner la philosophie pendant 20 ans => se considère + comme un philosophe qu’un écrivain. Simone de Beauvoir : Rencontre Simone de Beauvoir => la surnomme comme le castor. Relation libre : chacun a des histoires de son côté. Interlocuteur intellectuel qui l’aide

qu’il écrit est plus particulière ; ainsi, il garde le vieillard, mais en fait un personnage autre : Bougainville : «Un vieillard vénérable [...]. Il n’avait du grand âge que ce caractère respectable qu’impriment les ans sur une belle figure. Fort éloigné de prendre part à l’espèce d’extase que notre vue causait à tout ce peuple, son air rêveur et soucieux semblait annoncer qu’il craignait que ces jours heureux, écoulés pour lui dans le sein du repos, ne fussent troublés par 1’arrivée d’une nouvelle

qui va se propager progressivement en tâche d’huile dans toute l’Europe, le xvie siècle sera celui de l’Espagne, qui l’évoquera dorénavant comme son siècle d’or.1 2. La société de la Renaissance Si François Ier se montre très ouvert à la philosophie, aux arts et à la littérature humaniste, il demeure pourtant l'un des souverains les plus imbus de son pouvoir que la France ait connus. Avec lui, le pays voit le renforcement de l'aristocratie ainsi que le passage du régime de suzeraineté à un

valeurs humaines au cœur de ses questionnements. Redécouvrant les grands textes de l'Antiquité, le mouvement humaniste affirme sa foi dans les capacités de connaissance que possède l'être humain. L'humanisme insiste sur les « trois P » : pédagogie, philosophie et philologie, et affirme donc la valeur de l'éducation humaniste (à travers l'apprentissage des langues par exemple) ion monastique. Ce mouvement a lieu à l'époque de la renaissance. * Écrivains représentatifs : Pétrarque, Érasme, François