La Pléiade Zola

JOURNALISME ET ROMANCÉ À partir de 1852, de nouveaux écrivains émergent, issus du journalisme : Barbey d'Aurevilly, Daudet, Gautier, Maupassant, Sand, Vallès et Zola. Cette époque voit la naissance et l’établissement du réalisme duquel Daudet est ici le représentant, suivi du naturalisme dont Zola est reconnu par les critiques comme le chef de file de l'école de Médan, nous l'avons choisi de préférence à Guy de Maupassant, car selon Delaisement, il est très difficile de tracer les éléments journalistiques

Lefèvre d’ Etaples traduit la bible en français. Évangélisme : mouvement selon lequel il faut lire la bible à la messe et non l’étudier ou étudier des textes parlant de la bible, qui connut un essor grâce à la traduction de la bible en français. La pléiade : Ronsard, du Bellay • créer une poésie française • la poésie est le plus beau, le plus noble de tout les arts. • Vient de l’inspiration divine et du travail • Le poète est supérieur et doit guider le peuple dont il est au service. • enrichir la langue

poésie Rime : répétition d’un ou plusieurs sons Assonance : répétition voyelle Allitération : rép consonne Rimes croisées : ABAB / Rimes embrassées : ABBA Mètre : octosyllabe, décasyllabe, alexandrin(12) Un manifeste : ensemble de règles La Pléiade Crée par Ronsard en 1549 + Joachin du Bellay défend un nvl art poétique : l’inspiration doit être nourrie de l’imitation des anciens mais il faut introduire de nvl formes. Querelle Anciens-Modernes : La tradition, idée de renouvèlement Baudelaire

Louis et Alexandre La Pléiade Les auteurs: Ce groupe d’auteurs qu’est la Pléiade a d’abord été appelé la Brigade et le nom de Pléiade n’a été adopté qu’en 1553 par Ronsard. Ce nom de Pléiade a été repris du nom du groupe de sept poètes d’Alexandrie du IIIe siècle et ce nom de Pléiade est avant tout le nom d’un amas astronomique (de sept étoiles comme on peut s’en douter). Le fondateur de la brigade et meneur est Pierre de Ronsard et les premiers membres avec lui sont Joachim du Bellay et Jean-Antoine

(L’utopie) Erasme (Eloge de la folie) Rabelais (Pantagruel, Gargantua) Montaigne (Essais) Artistes : Leonard De Vinci (architecture, peinture, savant) Ambroise Paré (chirurgien) Etienne de La Boétie (Philosophe) PLEIADE (1550 – 1570) Contexte historique : Au XVIème siècle, le savoir s’étend en Europe et la vie intellectuelle s’intensifie. En France apparait une volonté d’unité nationale et linguistique. Ainsi, les écrivains privilégient la langue française à la

et les auteurs, il entretient des relations avec un ensemble d’œuvres passées ou même futures. On peut dégager de grands mouvements ou écoles au sein de la littérature. On peut discerner de nombreuses similitudes entre les œuvres des poètes de la pléiade, rassemblés sous l’égide de Pierre De Ronsard et Joachim Du Bellay. L’inspiration de la culture antique se retrouve dans beaucoup de leurs poèmes même si ils comptent parmi les plus fervents défenseurs de la littérature écrite en langue française

désir de connaissance, épicurisme indiscutable, renouvellement des formes et des thèmes en se distinguant de la littérature médiévale. La poésie compte comme auteur important Clément Marot, Jean de Sponde, Agrippa d'Aubigné, et les poètes de la Pléiade parmi lesquels figurent Ronsard et Du Bellay. Les romans les plus marquants sont ceux de Rabelais et de Marguerite de Navarre. Les Essais de Montaigne sont un important ouvrage situé entre la philosophie et l'autobiographie. Les Essais sont d'ailleurs

le latin, l'hébreu. Très jeune, il est témoin du martyre des suppliciés d'Amboise et, après des études à Genève et Lyon, s'enrôle à quinze ans dans les troupes protestantes. L'homme de guerre débute en poésie sous l'influence de la poétique de la Pléiade et compose 'le Printemps', qui lui est inspiré par Diane Salvati, nièce de la Cassandre de Ronsard. Mais ce recueil imprégné de pétrarquisme et d'une certaine violence ne sera édité qu'au XIXe siècle. Sur le champ de bataille de Casteljaloux, en 1577

ces langues. Ils relisent le philosophe Platon (ve-ive siècles av. J.-C.), qui était jusque-là négligé. Les œuvres littéraires sont elles aussi plébiscitées. Homère, Virgile et Horace infl uencent les auteurs, en particulier les poètes de la Pléiade qui critiquent les genres médiévaux (la ballade, le rondeau) et leur préfèrent l’ode, l’hymne. Ils reprennent également des sujets mythologiques. Mais ces auteurs s’inspirent également de la littérature italienne à laquelle on doit notamment l’invention

rapport social (musées, expositions, galeries) à celles du milieu du XIXe siècle (rôle prégnant de l’officialité, depuis les Prix de Rome jusqu’aux Salons). Voir les Goncourt (Manette Salomon) et Zola (L’Œuvre). • La critique d’art littéraire : spécifiquement française. De Diderot à Baudelaire, Gautier, Zola, Huysmans, de Proust à Breton, Malraux ou Bonnefoy, les écrivains-poètes ou romanciers ont une légitimité reconnue dans un domaine qui, après tout, n’est pas le leur. On peut travailler sur de nombreux