La Poèsie Permet Elle De S échapper à La Réalité Ou De S En Rapprocher

(1844-1916) Il est né à Metz, le 30 mars 1844, du capitaine Nicolas-Auguste Verlaine et d’Élisa Dehée. Enfant, il ne souffrit pas des fréquents changements de garnison de son père, car il était aimé, choyé par sa mère comme par sa cousine, Élisa Moncomble, qui, plus vieille de huit ans, était comme sa sœur adoptive. En 1851, les Verlaine s’installèrent à Paris, toujours avec Élisa. À neuf ans, le petit Paul fut interne à l’institution Landry, rue Chapsal. À partir de 1855, il suivit les

QUELQUES AUTEURS CONCLUSION INTRODUCTION Le courant ou mouvement littéraire désigne une tendance en littérature, qui permet de regrouper des œuvres autour de constantes qui s’en dégagent : thématiques abordées, style de l’auteur, genre littéraire privilégié. Les mouvements littéraires tout en bouleversant l’histoire de la littérature participent en même temps à son enrichissement. En effet c’est la diversité des courants littéraires qui fait la richesse de celle-ci. Actuellement l’on dénombre

A quoi reconnaît-on une œuvre d’art ? On pourrait penser qu’il suffit de se rendre dans des musées pour se faire une idée précise de ce qu’est une œuvre d’art. Mais c’est déjà présupposer que l’art n’existe pas en dehors des musées comme si le lieu d’exposition permettait à lui seul de conférer à un objet son statut d’œuvre d’art. Le monde de l’art est vaste et ses limites sont floues. Il apparaît difficile de savoir ce qui fait l’unité de l’art tant ses productions divergent les unes des autres

mystiques et symboliques. Né à Vitebsk et issu d’une famille juive modeste, aîné d’une famille de 9 enfants, Marc Chagall étudie la peinture à l’école des Beaux-arts de Saint-Pétersbourg, où il est notamment l’élève de Léon Bakst qui s’oppose à tout académisme. C’est à cette même époque qu’il découvre et admire les icônes anciennes, œuvres qui vont marquer définitivement l’homme et sa peinture. Il s’installe à Paris et vit de 1910 à 1914 à Montparnasse, puis à la Ruche, où il rencontre Guillaume

(1770-1831) ESTHÉTIQUE : Tome premier Traduction française de Ch. Bénard Docteur ès lettres, ancien professeur de philosophie dans les lycées de Paris et à l’École normale supérieure. 1835 (posth.) Un document produit en version numérique par Daniel Banda, bénévole, professeur de philosophie en Seine-Saint-Denis et chargé de cours d’esthétique à Paris-I Sorbonne et Paris-X Nanterre Courriel : mailto :banda@noos.fr Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" dirigée et

littéraire né en Angleterre et en Allemagne à la fin du 18ème S, à la suite du Siècle des lumières. Il se développera en France vers 1800, au moment de la prise de pouvoir de Napoléon Bonaparte et de l’avènement du premier Empire en 1804, riche en conquêtes et en faits d’armes qui exaltent l’âme des jeunes romantiques. On assiste à un remodelage de la société, à la fin des privilèges, à la naissance du prolétariat, à des bouleversements profonds à la fois sociaux, politiques, économiques et

vient du latin populaire miribilia, altération de mirabilia « choses étonnantes, admirables » c’est à dire qui provoque l’admiration. Il se rapporte au surnaturel, au monde de la magie et de la féérie. Au sens littéraire le terme "merveilleux" caractérise une oeuvre dans laquelle interviennent du surnaturel, des éléments féeriques, des opérations magiques, des événements miraculeux propres à enchanter le lecteur" Le récit merveilleux nous plonge dans un univers surnaturel logique, organisé

Le Moyen Age Le Moyen Age, âge moyen, c’est-à-dire âge intermédiaire. Il est perçu très longtemps de façon négative par les hommes de la Renaissance. Il est considéré comme sombre. C’est une période intermédiaire entre l’Antiquité (considérée comme une période vaste du point de vue culturel) et la Renaissance (retour à l’Antiquité, on parle de deuxième naissance). Alors que le Moyen Age montant a été considéré comme une période sans grande valeur. Cette vision s’est maintenue du 16ème

INTRODUCTION Quand Giraudoux affirme « L'essentiel du théâtre n'est pas l'auteur, mais le théâtre lui-même » (« L'Auteur au théâtre », dans Littérature, 1941), il s'oppose à l'idée reçue selon laquelle le théâtre ne serait que pur reflet de la pensée du dramaturge. C'est cette même doxa qui est remise en cause par Anne Ubersfeld en 1977 : « Parmi les nombreux faux problèmes qui jalonnent la réflexion critique sur l'objet paradoxal qu'est le théâtre, le pire est sans doute celui qui pose la question

vision et d’une forme. Saisir des significations à travers des formes. 2- Entrer dans une œuvre, c’est changer d’univers, c’est ouvrir un horizon. L’œuvre est tout ensemble une fermeture et un accès, un secret et la clé de son secret. Qu’elle soit récente ou classique, l’œuvre impose l’avènement d’un ordre en rupture avec l’état existant. Lecteur, auditeur, contemplateur, je me sens instauré, mais aussi nié. Certes la réalité n’est pas étrangère à l’art : mais l’art ne recourt au réel que pour l’abolir