La Poésie Est Elle étonnement

du désespoir ! J’entends dans le lointain des cris prolongés de la douleur la plus poignante. — Mon fils ! — Ah ! mère !… j’ai peur ! — Dis-moi vite si tu souffres. — Mère, je ne souffre pas… Je ne dis pas la vérité. Le père ne revient pas de son étonnement : — Voilà des cris que l’on entend quelquefois, dans le silence des nuits sans étoiles. Quoique nous entendions ces cris, néanmoins, celui qui les pousse n’est pas près d’ici ; car, on peut entendre ces gémissements à trois lieues de distance, transportés

fétiches hollandais » : tournés en dérision « D’une manière plus horrible » : une ironie qui laisse place à l’indignation -le nègre reste mesuré et poli : euphémisme. III) la révolte de candide : 1)La prise de conscience : -regard apitoyé, étonnement, douceur  « mon ami » : indignation à la fin, en colère contre Pangloss « larmes » -révolte : « o Pangloss ! »,  «  je renonce à TON optimisme » : ne partage plus ses idées, ton péjoratif, méprisant SON nègre : affectif : celui qui lui a ouvert

que l’œuvre de De Coster occupe dans l’histoire littéraire une place très paradoxale, et il en est conscient. Dans la littérature belge de son temps il y a deux grands courants littéraires ; le romantisme national d’une part, on le trouve dans la poésie, dans le roman, et le courant réaliste d’autre part. De Coster lui-même a écrit des précis réalistes, il emprunte en partie à ces deux genres pour écrire et notamment à travers son récit de fiction met en place un certain nombre d’éléments, il est

il faisait nuit noire. Le jour s’était levé à onze heures du matin. Le temps de prendre conscience de la lumière, le soleil s’était déjà recouché : il était deux heures de l’après-midi. Ce jour éphémère m’avait laissé une impression déchirante de poésie. Et mes chiens galopaient au travers des forêts enneigées, et j’étais émerveillé par ces splendeurs désertes. Vers sept heures du soir, je décidai de bivouaquer. Je préparai un feu : la nuit promettait d’être sublime. Je m’aperçus alors que je crevais

semblables : le personnage masculin retrouve, après une longue séparation, un ancien amour. Geoffroy, comme Frédéric, est surpris par les cheveux blancs de la femme qu'il a aimée : le « heurt en pleine poitrine » reçu par Frédéric fait alors place à un étonnement intériorisé : « C'est terrible, comme ça, tout d'un coup. » Toutefois, sa réaction est opposée à celle de Frédéric : ce dernier a du mal à « cacher sa déception », et se « m[e]t à lui dire des tendresses », qu'il finit par « croire ». À l'inverse

tempête, mais juste en goutte d'eau étincelante emportée par le vent ou le cri d'une mouette." Cette façon de revisiter les images traditionnelles, est constante chez Khadra, y compris lorsqu'il s'agit de comparaisons répertoriées dans le langage de la poésie précieuse. Ainsi pour la comparaison, chère à Voiture, entre la Belle et le Jour, que reprend Khadra dans Cousine K. "Lorsqu'elle se lève au petit matin, c'est à peine si elle laissait, quelque chose au jour." Même chose quand il s'agit de la comparaison

ces axes équivaut en fait à une question de lecture sur le texte à commenter. CNED  Seconde – Français conseils de méthode  Fiche méthode 2  Le commentaire de texte L’épreuve porte sur un texte relevant des divers genres littéraires (poésie, théâtre, roman, littérature d’idées...) Ce texte est accompagné de toutes les références et indications indispensables. Le commentaire est toujours organisé, composé : il faut donc dégager du texte deux ou trois points essentiels autour desquels

fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Arthur Rimbaud, “Le Dormeur du Val”, Poésies (1870) Objet d'étude : Le personnage de roman du XVIIème siècle à nos jours Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle

06/09/11 11:52 5. Le Satiricon de Pétrone est considéré comme le texte à l’origine du roman moderne. De jeunes voyous (Encolpe, Ascylte, Giton) ont des mauvaises mœurs et fréquentent une société romaine décadente. Le langage noble (éloquence, poésie, tragédie) est mis en scène dans des situations triviales et réalistes. 6. « Le monde est un théâtre » : l’incipit du Roman comique est placé sous le signe de l’illusion. Le conteur qui peut tricher dans sa représentation du monde. Ainsi la parodie

donc bien éloigné du vrai » . La réhabilitation de l’art Si Platon ne voyait la beauté que dans la nature, la moralité et le monde des Idées et non dans les arts qu’il condamnait sévèrement, Aristote réhabilite contre Platon l’éloquence et la poésie. Néanmoins, il limite son intérêt pour l’art à la musique et aux arts de la parole : pour les autres arts, comme Platon, il placera leur beauté en deçà de la beauté naturelle. C’est à Plotin (204-270) que revient le mérite d’avoir esquissé une théorie