La Poésie Ne Trouve Son Inspiration Que Dans Les Sentiments Et Ait Pour But Unique De Les Exprimer

française commence à exister réellement à côté d’oeuvres latines. Mais on peut parler d’une littérature médiévale qui serait unique et aurait les mêmes caractéristiques. Entre l’an 1000 et la fin du Moyen Age, soit 500 ans plus tard, la société, les mentalités, les productions littéraires vont beaucoup évoluer. Au Moyen Age, une oeuvre n’est pas le fait du travail d’un auteur unique. Des remaniements successifs, dûs autant aux jongleurs qu’aux copistes ou aux clercs. Ce sont des oeuvres “anonymes” :

........... 66 OUVRAGES POUR ENFANTS ................................................................................... 68 8.1 Les Albums, Contes, BD ........................................................................................ 68 8.2 Poésie, Romans ...................................................................................................... 75 8.3 Les CD Audio, Cédérom ........................................................................................ 77 8.4 Revue ....

Chinoise 3 TABLE DES MATIÈRES ANTHOLOGIE : Poésie — Roman — Théâtre — Philosophie — Histoire. INTRODUCTION Quelques mots préliminaires I — Les origines : Les dynasties des Tcheou et des Ts’in (2307-207) ♣ ♣ ♣ LA PHILOSOPHIE : Confucianisme : les ouvrages remaniés par Confucius — La philosophie de Confucius — Mencius — Siun Houang — Taoïsme — Lao-tseu — Yang Tchou — Tchouang Tcheou — École de Mo Ti : Mo Ti — Les logiciens : Houei Che. LA POÉSIE : K’iu P’ing. École LE ROMAN Lie Yu-keou — Tchouang-tseu

par le théâtre (drame plutôt que la comédie), les sports (jeux grecs ou romains), instauration des jeux olympiques : haut lieu de communication et de jeux. Comment est traitée la culture aujourd’hui ? Dans l’antiquité la culture servait, avait pour but de former les futurs citoyens, un art qui révélait l’intérêt d’être soi-même, de s’accomplir. A l’époque moderne, elle est traitée cependant comme un capital symbolique, sociologue Bourdieu qui reprendra ce terme. Cette la culture reste une valeur

toute personne, est matérialise par le sentiment d‟appartenance à un groupe. Et il n‟y a que dans la société que l‟homme peut avoir un compagnon ou une compagne, des amis ; afin de se protéger de la solitude. Ce sentiment d‟appartenance joue le rôle d‟antidote au sentiment de solitude. Désormais, l‟homme peut donc changer, faire des choses concrètes (réalisations d‟un projet par exemple) avec les autres, rire, chanter, tout ce qui procure un sentiment de complétude et qui rend heureux. La cité

BICENTENAIRE NERVAL ............................................................. 96 Marina MUREŞANU IONESCU (Roumanie) Théâtralité et discours. Eminescu et Nerval.................................... 98 Hisashi MIZUNO (Japon) La réforme de la poésie moderne ou les scènes musicales dans « Sylvie » de Gérard de Nerval..................................................... 110 5 II. LINGUISTIQUE ......................................................................... 128 Maria-Cristina OBAE

telle que la conçoit l’écrivain paraît souvent ambiguë, il semble que celle-ci soit double. La femme veut tout ; à la fois la dépendance amoureuse mais aussi une indépendance complète. En effet, si elle souhaite « posséder » l’homme et ressentir les sentiments de l’amour-passion, elle désire également plus que tout rester libre et redoute l’emprisonnement affectif qui entraîne la plupart du temps la souffrance. Vagabondes, libres, défaites de toute entrave, l’héroïne des romans de Colette représente

réflexion était le plus souvent un sentiment d'impatience devant le « naturel » dont la presse, l'art, le sens commun affublent sans cesse une réalité qui, pour être celle dans laquelle nous vivons, n 'en est pas moins parfaitement historique : en un mot, je souffrais de voir à tout moment confondues dans le récit de notre actualité, Nature et Histoire, et je voulais ressaisir dans l'exposition décorative de ce-qui-va-desoi, l'abus idéologique qui, à mon sens, s'y trouve caché. La notion de mythe m'a

Or c'est précisément cette force obligatoire des jugements logiques, cette nécessité des jugements de vérité, que nie le Pragmatisme. Il affirme que l'esprit demeure libre en face du vrai. Par là, le Pragmatisme se rapproche de l'exception unique à laquelle il a été fait allusion, à savoir de la Sophistique, qui niait elle aussi toute vérité. Ce rapprochement n'est pas arbitraire : il est avoué par les pragmatistes eux-mêmes. C'est ainsi que F. C. S. Schiller se proclame « protagoréen » et

indirectement, par le tuer : « La guerre même a augmenté le pouvoir que la poésie exerce sur moi et c’est grâce à l’une et à l’autre que le ciel désormais se confond avec ma tête étoilée. Douce poésie ! je regrette que l’incertitude des temps ne me permette pas de me livrer à tes inspirations touchant la matière de ce livre, mais la guerre continue », déclare-t-il au deuxième chapitre de son roman. C’est cette même poésie de la guerre qui, paradoxalement, inspire le jeune narrateur du Diable au