La Princesse De Clèves Discours

savoir rester libre, à se méfier de tous les extrémismes, à être tolérant, et surtout à aimer la vie telle qu’elle est et à la goûter pleinement. ------------------------------------------------- 3. ROMAN DANS LE XVII SIECLE: DE L'ASTREE A PRINCESSE DE CLEVES Au XVIIème siècle (Louis XIV: la Monarchie absolue) le théâtre est le genre dominant (Corneille, Molière Racine); mais le Roman était si peu considéré que très peu d'écrivainss sont exclusivement romanciers et certains hésitent à avouer une

scolaire rouge, pp.93-108 Séquence 3 Genres et formes de l’argumentation : XVIIe et XVIIIe siècles -méthodologiques : maîtriser les formes d’argumentation, l’art oratoire, les genres de l’éloquence, les règles d’élaboration du discours -culturels : contextes historique et littéraire des XVIIè et XVIIIè siècles -littéraires : auteurs et œuvres représentatifs des XVIIè et XVIIIè siècles, connaissance des genres littéraires (fable, satire, conte philosophique, essai) En

Citations sur le roman 1. La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette : l’héroïne fait le portrait du duc de Nemours, un « prince » de la cour d’Henri II. Elle le présente comme « un chef-d’œuvre de la nature [...] l’homme du monde le mieux fait et le plus beau ». L’emploi des superlatifs élogieux, intensifiés par la précision « du monde », la métaphore hyperbolique « chef-d’œuvre », empruntée à la peinture, font imaginer au lecteur un héros singulier qui ne peut être égaler. Certains personnages

avoir le respect de cette femme qui déteste les jaloux ,ce qui est vraiment drôle mais des fois vrai et la phrase « tandis qu’en ce moment encore ,tant qu’il n’avait pas frappe ,peut-être ,même en le trompant l’aimait-elle »,approuve ce point. Après, le discours direct ironise la situation lorsque Swann dit « Ne vous dérangez pas ,je passais par la, j’ai vu la lumière ,j’ai voulu savoir si vous n’étiez plus souffrante »,il faisait comme s’il n’est pas dérangé par la situation ce qui n’est pas imaginable

: Lecteur en position d’attente : il attend que lui soit présentée l’héroïne éponyme. Il a lu la peinture en demi-teinte de la cour : monde des apparences et des manières policées, royaume des intrigues et des liaisons. Il ignore si la princesse de Clèves sera une reine de vertu ou au contraire une intrigante. I- Un portrait élogieux. 1) Un modèle de perfection. Série d’informations sur le personnage : - informations physiques : « beauté, extrême jeunesse, grande beauté, blancheur de

transition entre le baroque et le classicisme. Odes, 1596). Descartes, 1596-16650. Philosophe. En 1628, il s’installe en Hollande dont il apprécie la liberté d’expression et développe sa réflexion, qui accorde un capital à la démarche rationnelle. Discours de la méthode, 1637. Corneille, 1606-1684. Dramaturge français. Le Cid en 1937, sera à la fois un triomphe et un motif de scandale. En effet, Richelieu voit d’un mauvais œil l’excès des héros de la pièce. Elu en 1647, à l’Académie française, il

faire une idée du bonheur à chaque époque et peut être même de celui du XXIème siècle. A l’époque de la princesse de Clèves le bonheur était vertueux. Mme de Chartre apprend à sa fille à rester dans le droit chemin. D’aimer son mari, d’éviter les passions, souvent porteuses de malheurs. En opposition totale à cette vision du bonheur on trouve Mme du Châtelet qui prône les passions dans son Discours sur le Bonheur. Chaque passion apporte sa dose de malheurs, mais elle vaut le coup malgré toutes les souffrances

Mademoiselle de Scudéry. Aucun pourtant ne rivalisera avec la renommée atteinte par l'Hôtel de Rambouillet, salon mondain qui reçut nombre d'hôtes de marque. Ce phare aristocratique et littéraire, qui vit passer entre 1620 et 1665, Richelieu, la princesse de Conti, le chevalier Marin, le duc de la Rochefoucauld, Pierre Corneille, Voiture, le futur Grand Condé, Madame de Sévigné et La Fayette, fût tenu par Madame de Rambouillet. La santé fragile de cette marquise d'origine italienne ne lui permettant

galanterie devant les jeunes personnes pour les en éloigner » mentionne l'attitude habituelle des mères qui dissimulent les dangers de la séduction. La phrase longue qui vient après, composée de courts segments séparés de point-virgules déclare au discours narrativisé que Mme de Chartres, au contraire, ne cache rien à sa fille. L'anaphore de « elle lui » insisite sur l'implication de Mme de Chartres dans l'éducation de sa fille. Mme de Chartres oppose deux attitudes : d'une part, l'attitude des « hommes

le roman est particulièrement significative. Les paroles peuvent être rapportées telles quelles au discours direct. Le narrateur peut aussi les intégrer clairement à son récit lorsqu'il les transcrit au discours indirect. Enfin, ces paroles peuvent être rapportées au discours indirect libre : le glissement du récit du narrateur aux propos du personnage devient alors presque imperceptible. Le discours indirect libre produit un effet très naturel et permet souvent au narrateur de prendre une distance