La Princesse De Clèves Esthétique Classique

épistolaire, le roman-mémoire, le roman libertin et le roman utopique rencontrent particulièrement du succès. (Robinson Crusoé ou Tristam Shandy.) 19e siècle ou le roman roi : À la fin du XVIIIe, le roman est parvenu à sa maturité. Sa forme et son esthétique ne changeront plus beaucoup jusqu'au XXe siècle. Le format des romans, le découpage en chapitres, l'utilisation du passé de narration et d'un narrateur omniscient forme une base que tout le monde utilise. Les descriptions et les pensées des personnages

ce qui est en vers ou fictif est identifié d'emblée comme relèvement littéraire. Littérature constructive et conditionnelle. Toutes les œuvres qui appartiennent à des genres sans visées esthétiques (discours historique, journal intime, autobiographie) institutionnalisés lais qui dès lors font une attention esthétique sont littéraires. Autres types d'écriture sont conditionnés. → épitexte qui donne matière à ouvrage de Sévigné → élément de poétisé, tributaire existant du genre épistolaire A) L'épitexte

------------------------------------------------- Classicisme Aller à :Navigation,rechercher  Pour les articles homonymes, voir Classique. Le classicisme est un mouvement littéraire qui se développe en France, et plus largement en Europe, dans la deuxième moitié du xviie siècle, de 1660 à 1680. Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’« honnête homme » et qui développent uneesthétique fondée sur une recherche de la perfection. La centralisation

raconter tout, pas tout de sa vie mais tout de son époque. Il retiendra de son histoire à lui que ce qui permet de recréer l’épopée de son temps. Le récit est chronologique (naissance vers ses dernières années), qui donne une structure très classique ; cependant, par cette valorisation de la narration on voit l’insertion de nombreux prologues qui sont présent de l’écriture et constituent des ruptures (X dans la chronologie car il n’y raconte pas son histoire, ils ne sont pas dans le récit (énoncé

convaincus de l’incertitude du devenir de l’homme, ils défendent l’exubérance des formes. Ils témoignent de la fantaisie et de la virtuosité de l’artiste. XVII LE CLASSICISME Idéal esthétique et humain (« l’honnête homme ») représenté par les écrivains de la seconde moitié du XVIIe : Les «Classiques». En réaction contre l’exubérance du Baroque, le classicisme cherche à créer des modèles, en fondant chaque genre littéraire sur des règles de construction claires et rigoureuses. Il revendique

collective, ce qui rend la notion d’ « auteur  » encore floue. Les Maximes (1678) de La Rochefoucauld, par exemple, sont le résultat d’un jeu de société pratiqué dans les salons mondains (rivaliser dans la création de sentences), et le roman La Princesse de Clèves (1678) est né de la collaboration de Mme de La Fayette avec le poète et romancier Jean Segrais. 2. Du point de vue de la fonction et de la notion d’auteur. Au XVIIe siècle la littérature n’est plus considérée comme un « sacerdoce »,

pire des conventions est celle du langage. Le principe premier du surréalisme est donc de remettre en cause cette convention et de créer de nouveaux rapports entre les mots. Il s’agit finalement de s’insurger contre le totalitarisme esthétique exercé par la beauté classique. Les surréalistes pensent que l’écriture est une entreprise collective. Ils inventent des jeux de langage reposant sur le hasard, dont le cadavre exquis ou encore les dialogues fictifs. Les figures du surréalisme Breton, André

trompe s’il pense que c’est pq il est amoureux d’elle qu’il va faire des éloges sur sa pers. Le pers confesse qu’il est l’amant, puis qu’il a aimé et enfin qu’il est devenu un amant trahi : rédrogradation. Le voc de la passion hérité de l’époque classique, XVII ème est négatif : « fatal poison », « rigueurs », « tourant continuel », « ingrate ». L’auteur est certain qu’il a été trahi, mais il est incertain sur la modalité de la trahison, car il interprète seulement les apparences. On ne sait

la fois un individu et une personne dotés de caractères exemplaires (le courage et la volonté pour l'essentiel) qui lui permettent d'incarner, en général à travers le conflit, des valeurs sinon dominantes au moins admises dans un moment historico-esthétique, voire de s'y opposer et de les subvertir comme Julien Sorel (Le Rouge et Le Noir, Stendhal) qui choisit l'authenticité de l'être contre l'ambition sociale. C'est donc normalement lui qui occupe la place de sujet (qu'il soit agent ou patient, voire

comme élucidation d’un rapport au monde faussé, fondé sur l’illusion du désir (désir triangulaire). * M. Robert : Roman des origines et origines du roman (1972) pour une approche psychanalytique de la théorie romanesque. * M. Bakhtine : Esthétique et théorie du roman (publication posthume en 1978) : théorie de la polyphonie narrative comme trait caractéristique du roman. Approches théoriques pour une définition : En France, pas de définition avant le XVIIe siècle. Pas de Poétique ou