La Préciosité Et La Galanterie

et de son l’époque……………………………………………………………………………….11 1.1 Madame de La Fayette……………………………………………………….... 11 1.1.1. La vie de Madame de La Fayette………………………………………… 11 1.1.2. L’époque vécue de Madame de La Fayette………………………………. 13 1.1.2.1. La préciosité………………………………………………………....16 1.1.3. L’inspiration de Madame de La Fayette………………………………….. 19 1.1.4. L’œuvre de Madame de La Fayette………………………………………. 20 1.2. Le Baroque…………………………………………………………………….... 23 1.2.1. Le baroque : l’étymologie et le sens

enfants "meilleurs et plus sages". Au XVIIe siècle où se développe ce qu'on appelle l'art mondain, les femmes jouent un rôle central et renouvellent l'art de vivre en société. Ce mouvement appelé préciosité reflète une véritable évolution des mœurs, témoigne du développement de l'instruction et impose une galanterie et un respect de la femme, allant jusqu'à revendiquer pour elle de nouveaux droits. Ainsi poursuivant la même perspective humaniste, on commence à s’intéresser à l’éducation des filles dans

supposer un grief personnel, une rancune particulière. Au fond, c'était de lui que Molière se moquait, lui qui, après avoir surveillé l'éducation de la toute jeune Armande Béjart, eut la faiblesse d'en faire sa femme, la voyait s'égarer dans la galanterie, les belles manières, le pédantisme, tout l'artificiel de la vie mondaine, devait constater l'échec de son mariage. Seule une blessure profonde, une amertume non cicatrisée peut expliquer ce raidissement. Ce fut la réaction d'un homme usé, d'un

d'amateurs en 1706 et édité en 1712[6]. Sa rencontre avec Fontenelle, et la fréquentation du salon de la très spirituelle Madame de Lambert[7], sont déterminantes pour sa formation. Il y rencontre des « Modernes » et s’y initie à une forme de « préciosité nouvelle »[8], qui donnera naissance au « marivaudage ». Il développe alors son observation critique, s’engage dans la bataille contre les classiques et s’essaie à de multiples genres : roman parodique, poème burlesque ou chronique journalistique

supposer un grief personnel, une rancune particulière. Au fond, c'était de lui que Molière se moquait, lui qui, après avoir surveillé l'éducation de la toute jeune Armande Béjart, eut la faiblesse d'en faire sa femme, la voyait s'égarer dans la galanterie, les belles manières, le pédantisme, tout l'artificiel de la vie mondaine, devait constater l'échec de son mariage. Seule une blessure profonde, une amertume non cicatrisée peut expliquer ce raidissement. Ce fut la réaction d'un homme usé, d'un

beauté, son intelligence, son honneur et sa galanterie. Autant de valeurs admirées et recherchées au 17ème siècle (bien que le roman ait pour cadre l’année 1558), mais qu’aucun homme ne peut posséder dans sa totalité. L’ensemble du livre, d’ailleurs, a pour protagonistes des hommes et des femmes plus vertueux les uns que les autres qui évoluent ensemble dans le cercle de la haute-aristocratie en respectant toujours les codes de l’honneur et de la préciosité. Ce genre de romans apporte une vision faussée

raison - La Colonie Le jeu de l'amour et du hasard - L'heureux stratagème Le petit-maître corrigé - Les Sincères L'Epreuve - Le préjugé vaincu Définition du marivaudage : affectation, préciosité, recherche dans le langage propos, manègede galanterie délicate et recherchée Arlequin personnage bouffon de la comédie italienne portant costume de pièces triangulaires barriolées, un masque noir, un sabre de bois Arlequinade : pièce bouffonne, action ridicule

complexe. Le passage que nous allons étudier se situe au début du roman, l'héroïne est présentée à la cour d'Henri II pour la première fois. Le lecteur la découvre également pour la première fois. Son portrait s'inspire du roman héroïque et de la préciosité mais relève du roman psychologique par l'importance accordée au portrait moral et surtout à l'analyse à laquelle se livre Mme de la Fayette pour expliquer les vertus dont est dotée sn héroïne. Il s'agit d'étudier en quoi ce portrait de Mlle de

de pages. Le passage que nous allons étudier fait partie de l’incipit, l'héroïne est présentée à la cour d'Henri II pour la première fois. Le lecteur la découvre également pour la première fois. Son portrait s'inspire du roman héroïque et de la préciosité mais relève du roman psychologique par l'importance accordée au portrait moral et surtout à l'analyse à laquelle se livre Mme de la Fayette pour expliquer les vertus dont est dotée son héroïne. Il s'agit d'étudier en quoi ce portrait de Mlle de

fille, également car son père meurt alors qu'elle n'a que quinze ans ce qui la place dans la même situation que la Princesse de Clèves dans son roman. De plus, on peut souligner le fait que Mme de Lafayette apprend les codes mondains et l'esprit de galanterie dans le salon réputé de sa mère comme quand Mme de Chartres faisait à sa fille des peintures de l'amour. Pour finir, Mme de Lafayette sa marie par convention et intérêt en 1655, avec un homme qu'elle n'aime guère tel que la Princesse de Clèves se