La Raison A T Elle Toujours Raison

Philosophie ESSENTIEL A SAVOIR DEFINIR : absolu/ relatif abstrait/ concret cause/ fin contingent/ nécessaire/ possible en fait/ en droit expliquer/ comprendre identité/ égalité/ différence légal/ légitime objectif/ subjectif obligation/ contrainte persuader/ convaincre principe/ conséquence en théorie/ en pratique universel/ général/ particulier/ singulier Les auteurs : • Platon ; Aristote ; Épicure ; Lucrèce ; Cicéron ; Sénèque ; Épictète ; Marc Aurèle ; Sextus Empiricus ; Plotin ; Augustin ;

nous donne accès à la certitude. Or, faire de la certitude (la vérité) l’objectif fondamental de la science pose problème, car, l’homme est par nature un être limité ; un être dont l’ignorance est infinie, et dont la connaissance comporte toujours déjà des erreurs, parce que susceptible d’être remise en cause maintenant ou finalement. Tout le problème serait donc de voir si la vérité, entendue comme connaissance définitive et certaine est accessible à l’homme ; ce qui revient à montrer si elle peut

laisse le soin à vote imagination de trouver une accroche, ya l’embarras du choix (fontaine de jouvence, pierre philosophale, crème Q10, botox, etc. !) Pb : est-il raisonnable de vouloir rester jeune ? I – Le désir de rester jeune est raisonnable car c’est une tendance naturelle de l’esprit humain Vouloir rester jeune est un vœu propre à l’humain. En effet, les hommes sont seuls conscients de leur finitude précisément parce qu’il sont doués de raison. C’est donc la raison qui conduit les

désirs peuvent ils nous rendre malheureux ? Se demandait si nos désirs nous rendent malheureux reviendrait à se demander si notre existence ne serait pas nécessairement souffrance. L’Homme, intégré à un groupe social, qui se construit et évolue dans la société est par définition un être désirant, à la recherche constante de nouvelles satisfactions. Il vie de ses besoins et cherche à se surpasser en recherchant de façon permanente un idéal inaccessible. L’Homme est fasciné par cet insatiable objet

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la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi Site web: http://bibliotheque.uqac.ca/ Cette édition électronique a été réalisée par Jean-Marc Simonet, Professeur des Universités retraité, bénévole. Le texte a été établi d’après l’exemplaire de la Bibliothèque nationale, en modernisant l’orthographe, et en respectant la ponctuation de l’exemplaire original. Courriel: jmsimonet@wanadoo.fr A partir de : |[pic]

L'être humain a pour différence avec l'animal le fait qu'il ne se contente pas simplement d'assouvir des besoins primaires se répétant de manière cyclique (la faim, le sommeil...etc), il peut non seulement les différer mais peut également avoir des besoins indeterminés, c'est ce qu'on pourrait appeler le désir. Cela voudrait dire que ne nous désirerions que ce dont nous avons besoins, or l'Homme a cette capacité que l'animal n'a pas qui est de désirer l'inutile et le superflu. Ce désir étant une

Descartes, Les maximes de la morale provisoire, Le discours de la méthode, III ***** « Ainsi, afin que je ne demeurasse point irrésolu en mes actions, pendant que la raison m’obligerait de l’être en mes jugements, et que je ne laissasse pas de vivre dès lors le plus heureusement que je pourrais, je me formai une morale par provision, qui ne consistait qu’en trois ou quatre maximes dont je veux bien vous faire part. La première était d’obéir aux lois et aux coutumes de mon pays, retenant constamment

Métaphysique des mœurs , Kant cherche a savoir ce qui fonde la morale, plus précisément le devoir moral. Faire son devoir, c’est agir moralement, en s’orientant vers le bien. Alors, quel est le fondement de nos devoirs ? Ce qui fonde le devoir ne doit-il pas être aussi et surtout une volonté d’empêcher le mal plutôt que de faire le bien ? Se doit on , avant tout, de respecter la personne humaine en tout homme , c’est à dire de ne pas simplement l’utiliser comme une chose ? Que

adhésion à une idée, un dogme, sans vérification et sans preuves. Croire, c’est donc accorder son assentiment sans réflexion, donc sans l’aide de la raison. La croyance peut aussi s’appliquer au domaine de la foi religieuse: elle est adhésion complète et sans borne à l’idée de l’existence divine et aux paroles de l’Ecriture. La raison, quant à elle, est une faculté de réflexion entraînant un bon jugement, un jugement sûr et concerté. Par conséquent, la croyance ne semble pas laisser de place à la raison