La Reine des fées

sanglante s’engage entre ceux qui soutiennent Arthur et ceux qui l’ont trahi. Finalement Mordred meurt, Arthur est sauvé par l’épouse de Merlin, la Dame du Lac. II-PRESENTATION DES PERSONNAGES Arthur C‘est le fils du roi Utha Pendragon et de la reine Igraine, remis par Merlin à une famille pour qu’il soit protégé et qu’il devienne, le moment venu, roi. Arthur est un grand roi aimé de son peuple et redouté par ses ennemis. Mais à plusieurs reprises, il fait preuve de faiblesses notamment lorsqu’il

votre foi et en voulant bien m’agréer pour épouse. J’espère que vous ne prendrez pas en mauvaise part que je vous prévienne par cette offre. Je vous ai déjà dit que je suis maîtresse de mes volontés ; j’ajouterai qu’il n’en est pas de même chez les fées que chez les dames envers les hommes, lesquelles n’ont pas coutume de faire de telles avances : elles tiendraient à grand déshonneur d’en user ainsi. Pour nous, nous les faisons, et nous tenons qu’on doit nous en avoir obligation. » Le prince Ahmed

loin ! Au loin ! Je volerai vers toi, Non sur le char aux léopards de Bacchus, Mais sur les ailes invisibles de la Poésie, Tout encombré pourtant de mon cerveau infirme : Avec toi, déjà ! Tendre est la nuit, Et il se peut que sur son trône la Reine Lune Se drape d'un essaim féérique d'étoiles ; Pourtant ici nulle lumière, Sinon ce qui nous vient des cieux avec les brises Et court sur les chemins moussus, dans les ténèbres. Je ne puis distinguer ni les fleurs à mes pieds, Ni l'encens délicat

séparée de la poupée par un « abime » qui nous montre l’inaccessibilité entre le personnage et la poupée. L’imagination de Cosette est aussi illustré par le vocabulaire de la rêverie : « un palais » ; « boutique fantastique » ; « paradis » ; « des fées et des génies » ; «  le Père eternel ». Le narrateur utilise également son propre point de vue afin de créer un contraste avec celui de Cosette. Le point de vue du narrateur est objectif contrairement à celui de l’enfant qui est subjectif : nous

du roi, ainsi que membre de la Commission des inscriptions publiques. C’est en 1671 qu’il est élu à l'Académie française. Mais cet écrivain et conteur célèbre est principalement connu pour avoir contribué à relancer le genre littéraire des contes de fées. On lui connaît une œuvre très réputée et courte en même temps : Les fameux Contes de ma mère l'Oye ou Histoires et Contes du Temps Passé de 1697, ainsi qu’un recueil de huit contes merveilleux. Cet enthousiasme pour les contes permet à Charles Perrault

heures — Alcmène fut d'ailleurs la dernière amante humaine du maître de l'Olympe. Amphitryon, de retour de son expédition, s'unit lui aussi à Alcmène, et les deux époux comprennent que c'est Zeus qui, la nuit précédente, a partagé la couche de la reine. Celle-ci porte bientôt deux enfants, l'un de Zeus, Héraclès, l'autre d'Amphitryon, Iphiclès. Alcmène, craignant la vengeance de l'épouse légitime de Zeus, la jalouse déesse Héra, abandonne l'enfant à sa naissance. Athéna le recueille et trompe Héra

de Cornouailles * Viviane, Nimue ou Charis, Dame du Lac Note 1,Note 2 * Morgane la fée * Morgause ou Anna ou Ana ------------------------------------------------- Autour des chevaliers[modifier] * Ban de Bénoïc, père de Lancelot * Élaine, reine de Bénoïc et mère de Lancelot qui a conçu Galaad * Bohort, roi de Gaunes, père de Bohort et Lionel * Antor, père de Keu ayant élevé Arthur * Do, roi, père de Girflet * Lot d'Orcanie ou Loth (venant de Lothian et Orcades), roi, père

Des diables viennent trois fois chercher son âme et se font prendre au piège. La troisième fois, le forgeron 21 « L’enfant promis à la sirène », in : DELARUE Paul et TENÈZE Marie-Louise, t. 1. op.cit., 270-274. cf. Raymonde ROBERT, Le conte de fées littéraire en France de la fin du XVIIème à la fin du XVIIIème siècle, Paris, Champion, 2002, 178. 23 On sait pourtant qu’il vient du recueil qui transposaient le plus de matière populaire. cf. Paul DELARUE, M.L TENEZE, « Introduction », op. cit

de ce que la musique fait partie intégrante de l'intrigue. Le Jeu de la feuillée met en scène Adam, le poète, vêtu en clerc, sa famille, ses voisins, et trois fées. Adam veut prendre congé pour aller faire ses études à Paris, mais se laisse entraîner à la taverne. Adam de la Halle mêle dans cette pièce le motif merveilleux du repas de fées, invitées sous la feuillée par les chrétiens, et le thème du congé, qui est traité sur un ton grinçant, dans un style vif et familier. Ce jeu riche et polysémique

C’est une œuvre humoristique. Le passage que j’ai choisi est celui de l’incipit, qui constitue le prologue de l’œuvre et la première partie du chapitre 1. C’est une sorte de mise en condition, les principaux personnages (la mère, cochon-neige, la reine) et le cadre spatio-temporel sont présentés. Lecture Raisons du choix de l’extrait : J’ai choisi cet extrait car il rappelle facilement le passage similaire dans le conte d’origine. Lu à des élèves, il permettra de faire directement le rapport