La Reine des fées

S’agit-il d’un pays réel ou imaginaire ? ………………………………………………………………………………………………………….. e) Comment les contes se terminent-ils presque toujours ? …………………………………………………………………………………………………………… Attention à l’orthographe du mot conte Dans cet étrange conte de fées, un comte se rend compte en faisant ses comptes qu’il n’a plus d’argent sur son compte. Les mots placés en gras sont des…………………………………… du mot « conte ». Note les définitions des mots ci-dessous : Le comte : ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

propos de M. de Nemours, de la reine dauphine et de Mme de Clèves. Invité à reconnaître qu'il a bien su deviner que sa cavalière était Mme de Clèves, M. de Nemours va le faire bien volontiers : « Pour moi, madame, dit M. de Nemours, je n'ai pas d'incertitude; mais comme Mme de Clèves n'a pas les mêmes raisons pour deviner qui je suis que celles que j'ai pour la reconnaître, je voudrais bien que Votre Majesté eût la bonté de lui apprendre mon nom ». C'est à la reine dauphine que s'adresse M. de Nemours

| | |Fiches 1,1 et Fiche 1,2 | |Séance 2 |Lecture de la deuxième et troisième partie du livret : les Burgondes et la reine Kriemhild, Brunhild et le | | |combat en Islande | | |Extrait du film de Fritz Lang : Brunhild et les trois

traditionnels britanniques et irlandais. Pour Lewis, le genre littéraire du conte est un moyen privilégié pour parler aux enfants comme aux adultes (lui même avoue dans sa correspondance que lorsqu'il avait dix ans, il se cachait pour lire des contes de fées, mais qu'à cinquante ans, il pouvait se permettre de les lire ouvertement !) car le conte est un genre universel, qui se fonde sur des archétypes communs à l'humanité. Il ne s'agit pas d'un genre mineur mais d'un genre à part. Mais d'où vient l'inspiration

enveloppe. Je suis la pile qui démarre la voiture. Je suis un ensemble de percussions. Je suis dans le portemonnaie. Je peux être la cuisine, la chambre ou le séjour. Je suis un morceau du puzzle. On m’achète chez le boulanger. Je suis l’outil des fées. Je suis le petit bâton qui frappe le tambour. Je sers à attacher mon gilet. J’apparais sur le corps quand tu as la varicelle. Je suis le bourgeon d’une fleur. https://fr.vikidia.org/wiki/Carte_%C3%A0_jouerVocabulaire CE

avec elle qu’il oublia son rang et s’endormit. Mais ce jour-là, beaucoup s’étonnèrent que le roi se levât et les quittât. Certains en furent importante, un roi aller dans sa chambre pour dormir ou se reposer. Mais il arriva ce jour-là que la reine Devant la porte de la chambre se trouvaient Didon, Sagremor, Keu et messire Gauvain. Près d’eux étaient aussi messire Yvain et Calogrenant, un chevalier très agréable qui commença à leur raconter une histoire, non pour sa gloire mais pour sa honte

conte de fées est un récit où des personnages en nombre limité, ne subissent pas d’évolution psychologique. Premier conte littéraire: Marie-Catherine d’Aulnoy, “L’Île de la Félicité” dans Histoire d’Hypolite, comte de Duglas (1690). Non plus le plus populaire aux 17e et 18e siècles, mais plus populaire que Perrault. Les personnages sont répartis en fonctions: Le héros/l’héroïne L’antihéros/anti-héroïne Le donateur/la donatrice L’auxiliaire/l’aide. => L’intrigue du conte de fées va d’un oubli/méfait

universités de Cambridge et Oxford The Ivy League – le groupe de 8 univesités célèbres du nord-est des USA To skip school / to play truant – sécher les cours School violence – la violence dans les établissements scolaires Tuition fees – les frais de scolarité ( à l’université ) Top-up fees – les frais de scolarité complémentaires ( à l’université) Ragging (GB AUST) / hazing ( USA ) – le bizutage To rag / to haze- bizuter A grant – une bourse A scholarship – une bourse To study –étudier, faire des études To

trompeur et l'ostentation de son indigne rivale. Cléopâtre est dans Shakspeare cette courtisane voluptueuse et rusée que nous peint l'histoire; comme Antoine, elle est remplie de contrastes: tour à tour vaniteuse comme une coquette et grande comme une reine, volage dans sa soif des voluptés, et sincère dans son attachement pour Antoine; elle semble créée pour lui et lui pour elle. Si sa passion manque de dignité tragique, comme le malheur l'ennoblit, comme elle s'élève à la hauteur de son rang par l'héroïsme

Strauss, sa prohibition donne la culture à l’homme en le faisant surpasser la nature³ ; je parle ici de l’inceste. C’est cette thématique qui émane du conte et c’est celle qui guide le film, étant son second élément déclencheur (après la mort de la reine). La morale professée l’est faite par son biais : en renonçant à une passion incongrue, tout le monde est récompensé. Mais le conte comme le film ne se veut pas tout blanc tout noir. Car l’accent est mis sur la sou�rance du roi, veuf solitaire qui