La Reine vierge

de Marie de Médicis, comprenant 21 toiles exécutées par Rubens pour la décoration d'une des galeries du palais du Luxembourg à Paris. Il s'agit d'une commande faite en 1621, le programme de l'ensemble fut élaboré par l'Abbé de Saint-Ambroise, La Reine elle-même, le Cardinal de Richelieu, et Rubens. Le tout se trouve aujourd'hui au Louvre. Ce cycle devait représenter les étapes importantes du règne de Marie de Médicis. Le tableau étudié illustre l'arrivée de Marie de Médicis au port de Marseille

conduite par le roi Xerxès en personne (un million d'hommes), la résistance est héroïque mais désespérée. Pendant ce temps, à Sparte, la reine Gorgô, épouse de Léonidas, tente d'obtenir une séance au sénat, dans l'espoir que la toute puissante assemblée accepte d'envoyer l'armée entière de Sparte au secours du roi et de ses hommes. Un ami de Léonidas avoue à la reine que sans l'accord du conseiller Théron, Gorgô n'aurait aucune chance d'obtenir la parole au sénat. Celle-ci invite le conseiller dans

de l’exposition universelle de Paris. Elle a été commandée par le gouvernement républicain espagnol. Elle s’inscrit dans le style du cubisme antérieurement fondé par Picasso. Cette œuvre est aujourd’hui exposer en Espagne, à Madrid au Musée de la reine Sofia. Elle a été longtemps conservée au MOMA de New York car Pablo Picasso refusait que l’œuvre soit exposé en Espagne tant que Franco serait au pouvoir. Partie B- I / Analyse de l’œuvre La taille monumentale du tableau fait que les personnages

sein de la société ? De plus, quelle est la place de la femme dans l'échiquier du pouvoir ? Des femmes, fussent-elles minoritaires, ont-elles eu accès au pouvoir ? I) La femme dans la société mérovingienne II) Les femmes et l'aristocratie III) La Reine un rôle à part Pour répondre à ces questions, j'ai utilisé trois ouvrages : le premier est celui de Régine Le Jan, "Les Mérovingiens", aux éditions Puf pour son aspect généraliste, l'article de Sylvie Joye "Destins de femmes" paru dans l'histoire n°358

il se produit comme une sorte de magie. Lorsque Chactas voit Atala pour la première fois, il tombe instantanément amoureux d’elle, c’est le coup de foudre. Il va même jusqu’à comparer sa bien-aimée à la Vierge des deniers amours : « Je crus que c’était la Vierge des derniers amours, cette vierge que l’on envoie aux prisonniers de guerre, pour enchanter sa tombe. ». Chactas est totalement sous le charme d’Atala. Quand Atala vient le voir pour la première fois, il l’écoute avec attention et admiration

mouvement de reine ”. 3. une sainte Tout au long du texte, et parallèlement aux passages qui font d᾿elle l᾿obscur objet du désir de Félix, Le narrateur n᾿a cessé, paradoxalement, d᾿insister sur l᾿innocence de Mme de Mortsauf, sa pureté, renvoyant par là au titre même du roman : Le Lys dans la vallée ( lys , parce que Henriette, bien que mariée, s᾿est toujours refusée à son mari, et est donc restée vierge). Le portrait

le voisin et on mange la galette de rois. L'école flamande de peinture ont peint des chefs d'oeuvre avec ses fêtes. Les paysans tenait a ses fetes de manière vicérale. 6 Février la chandeleur : tradition juive 40 jours après son accouchement la vierge redevient pure et peut revenir au temple car elle est redevenu pure. Mardi gras/Carnaval : pendant 3jours. Carnaval la dérision rigoler sur quelqu'un ou sur soi-même, apres il ya carème plus de viande et de beurre durant 40jours. 40 jours de hareng

elle-même, art redevient naturaliste : chapiteaux à feuilles d’érables et de chênes. Sculpture Portail royal de Chartres, mi-12e Iconographie : proche roman, théophanie. Prémices d’une évolution : pieds qui s’élargissent, structure qui s’ouvre, reine de sabbat habillée à la mode de l’époque, impression d’un portrait dans ses traits. Personnages très rigides et immobiles, associés à la colonne sur laquelle il sont représentes : « statues colonnes », rendu de surface avec un peu de modelé -> convention

ville dans son ensemble et les édifices qui la composent comme les palais et les portiques. Dans un second temps, il nous décrit l’enceinte de la ville et le fossé qui l’entoure. Il va ensuite dépeindre les bâtiments religieux et le culte voué à la Vierge Marie. Enfin dans un dernier temps, l’auteur brosse un portrait élogieux du contado de Milan. Au Moyen Age, l’Italie se trouve découpée en quatre ensembles. Il y a Venise qui restée indépendante. Ensuite, on trouve le Patrimoine de Saint-Pierre qui

de toutes, à travers la personne des souverains salomonides. Cette revendication est directement fondée sur la récupération dans le récit biblique de la visite que rendit la reine de Saba à Salomon. Le livre des Rois 1 (verset 1-10) relate brièvement l’entrevue de Salomon et la reine de Saba. Le Kebra nagast fait de la reine de Saba la mère du premier roi salomonien d’Axoum, Ménélik 1, et de yekounno-Amlak son descendant en ligne directe. Il relate que Saint Grégoire « l’illuminateur », patriarche