La Ronde De Nuit Rembrandt

fermées ; et, à gauche les haies d’arbustes, le long de la rive, terminaient des jardins, que l’on distinguait à peine. Mais, du côté de Paris, la grande route descendait en ligne droite, et des prairies se perdaient au loin, dans les vapeurs de la nuit. Elle était silencieuse et d’une clarté blanchâtre. Des odeurs de feuillage humide montaient jusqu’à eux ; la chute de la prise d’eau, cent pas plus loin, murmurait, avec ce gros bruit doux que font les ondes dans les ténèbres. Deslauriers s’arrêta

fermées ; et, à gauche, les haies d'arbustes, le long de la rive, terminaient des jardins, que l'on distinguait à peine. Mais, du côté de Paris, la grande route descendait en ligne droite, et des prairies se perdaient au loin, dans les vapeurs de la nuit. Elle était silencieuse et d'une clarté blanchâtre. Des odeurs de feuillage humide montaient jusqu'à eux ; la chute de la prise d'eau, cent pas plus loin, murmurait, avec ce gros bruit doux que font les ondes dans les ténèbres. Deslauriers s'arrêta

réalité.»62 Les licornes, les chevaliers de la Table Ronde et d’autres figures de fiction ne ressemblent à personne, mais sont surtout classées selon leurs descriptions. La ressemblance n’a pas de sens si l’on s’interroge sur la structure sémantique des images dont le sujet est le même : par exemple, les images de la Vierge dans l’iconographie catholique du Moyen Âge et l’iconographie orthodoxe, dans la peinture de Raphaël, dans la peinture de Rembrandt, etc. Bien qu’on puisse discerner un objet qui ressemble

tous à des heures différentes selon les endroits où ils se trouvent et qu’on pourrait rêver d’une même heure pour tous. Réponses aux questions 1. La sculpture que nous voyons est composée d’horloges superposées. Ces horloges ont toutes une forme ronde et un cadran blanc. Les aiguilles, les chiffres et les tours des cadrans sont tous de couleur noire. Ces horloges se différencient par leur taille et la forme de leurs chiffres, tantôt romains, tantôt arabes. Étudier des textes et des images

sont leurs ombres que d’abord il regarderait le plus aisément, et, après, sur la surface des eaux le simulacre des hommes aussi bien que des autres êtres ; plus tard, ce serait ces êtres eux-mêmes. À partir de ces expériences, il pourrait, pendant la nuit, contempler les corps célestes et le ciel lui-même, fixer du regard la lumière des astres, celle de la lune, (b) plus aisément qu’il ne le ferait, de jour, pour le soleil comme pour la lumière de celui-ci. – Comment n’en serait-il pas ainsi ? Finalement

3 Il faut être bien audacieux pour entreprendre l’ascension des sommets de l’Himalaya lorsqu’on n’est pas un professionnel de la montagne. 4 La police procède à l’arrestation de l’agresseur des vieilles dames, qui sévissait surtout à la tombée de la nuit. 5 Les adolescents sont une des cibles privilégiées des publicitaires. 6 La fréquentation de la piscine municipale est en hausse depuis qu’un nouveau bassin, chauffé grâce à des panneaux solaires, est à la disposition de ceux qui craignent l’eau trop

particu­ Parasites inconnus Mais la description ne varie guère d’un continent à l’autre : il mesurerait en­ viron trois mètres, son corps serait recouvert de poils et il adopterait la dé­ marche d’un singe. Les premiers récits re­ montent à… la nuit des « Démon » HIMALAYA. La trace d’un yéti (à gauche) en 2008 ? PHOTO AFP lièrement dans la région népalaise. En 1959, le milliardaire américain Tom Slick rap­ porte de son voyage des excréments qu’il attribue au yeti. On y trouve des parasites

spectacles et de nouveaux témoignages, tant écrits qu’oraux, les inciteront à donner leur avis sur une œuvre et à pratiquer l’art subtil de la critique. Ils écriront le compte-rendu d’un spectacle pour un journal francophone et participeront à une table ronde où les opinions seront très diverses. Enfin ils se poseront la question de savoir si dans tout objet, quel qu’il soit, il y a une œuvre d’art en puissance, et qui décide de ce qui est artistique et de ce qui ne l’est pas. Dans OUTILS POUR, ils examineront

mort, et que le regard s’engage dans la ruelle du Doyenné, l’âme a froid, l’on se demande qui peut demeurer là, ce qui doit s’y passer le soir, à l’heure où cette ruelle se change en coupegorge, et où les vices de Paris, enveloppés du manteau de la nuit, se donnent pleine carrière. Ce problème, effrayant par lui-même, devient horrible quand on voit que ces prétendues maisons ont pour ceinture un marais du côté de la rue de Richelieu, un océan de pavés moutonnants du côté des Tuileries, de petits jardins

mort, et que le regard s’engage dans la ruelle du Doyenné, l’âme a froid, l’on se demande qui peut demeurer là, ce qui doit s’y passer le soir, à l’heure où cette ruelle se change en coupe-gorge, et où les vices de Paris, enveloppés du manteau de la nuit, se donnent pleine carrière. Ce problème, effrayant par lui-même, devient horrible quand on voit que ces prétendues maisons ont pour ceinture un marais du côté de la rue de Richelieu, un océan de pavés moutonnants du côté des Tuileries, de petits jardins