La Révolte Dans Germinal

l'on juge composé de classes malsaines et dangereuses. C'est une réalité qui s'impose brutalement au début de la Monarchie de juillet avec dans l'espace de deux ans : en 1831 avec la découverte d'un risque social jusque-là inconnu, la révolte ouvrière (révolte des « canuts », ouvriers de la soie à Lyon) en 1832 avec les ravages (particulièrement dans les quartiers ouvriers) d'une nouvelle « peste », le choléra (depuis la peste de Marseille, en 1720, la France se croyait à l'abri des grandes épidémies)

Émile Zola, fondateur du naturalisme en littérature, et ayant écrit plusieurs livres tels que Germinale dont je vais étudier l’incipit est un écrivain français très célèbre du 19ème siècle .Ce texte se situe au début du roman, publié en 1885. Ce roman évoque les luttes sociales de la fin du 2nd Empire auxquelles s'ajoutent les événements de 1880 et 1884 (révoltes des mineurs). Le 1er chapitre débute avec l'entrée en scène du héros, personnage anonyme pour l'instant, dans un monde hostile. On le

pauvre. Cependant à l’époque, il n’y a aucune intervention du pouvoir politique concernant les problèmes sociaux. Ces derniers sont un rapport privé entre les patrons et les ouvriers. Mais très vite le prolétariat se révolte contre les conditions de vie détestables (germinal) La bourgeoisie développe alors des thèses capacitaires. Qui ont pour point de départ la pensée que les différences entre les hommes ne sont plus dues à la naissance. Mais un homme est bourgeois ou pauvre que parce

travaillent de très longues heures et vivent dans des conditions pas des meilleures. Les ouvriers des chemins de fer rappellent un peu les ouvriers de la mine dans Germinal. Ils sont en général taciturnes, frustrés, jaloux et rancuniers. Le train de vie insolent de l’autre classe sociale crée ce sentiment de frustration et cette attitude de révolte. Les patrons travaillent en général moins d’heures (opinion générale), se permettent les plus belles femmes et sont insensibles aux problèmes de la classe ouvrière

ouvriers tisserands de la soie sur les machines à tisser. Ils se trouvaient principalement dans le quartier de la Croix-Rousse à Lyon (France) au XIXe siècle. Même s'il s'agit d'une appellation typiquement lyonnaise. Les Canuts (en particulier leurs révoltes) vont influencer les grands mouvements de pensée sociale du XIXe siècle. Depuis le XVIIIe siècle, la Fabrique (c'est-à-dire à l'industrie de la soie) a fait de Lyon la première ville ouvrière de France. Au début du XIXe siècle, l'arrivée des métiers

portrait de la société du XIXème siècle qui nous permet de mieux la comprendre, dans Germinal écrit par Zola en 1885. Le livre nous fait une description détaillée des mineurs et des conditions de vie austères dans lesquelles ils vivaient. On voit la manière dont les bourgeois et les propriétaires des mines les traitaient, qu'on pourrait presque qualifier de cruauté. Ce roman décrit donc l'évolution de la révolte au sein des ouvriers, qui au final, ne changera pas les conditions dans lesquelles ils

des maladies et épidémies, les logements sont trop étroits pour accueillir les familles souvent nombreuses, ce qui entraine des bidonvilles dans les grandes villes industrielles. . On peut citer comme exemple de cette misére le roman d’Emile Zola Germinal publié en 1885 qui relate l’histoire d’Etienne Lantier, un jeune chômeur qui arrive dans les mines du Nord de la France pour y trouver un emploi. Cependant les conditions miséreuses des prolétaires s’opposent aux richesses des actionnaires de la

la peine capitale dans le dernier jour d’un condamné, journal d’un condamné à mort. A mesure que la perspective de l’exécution se précise, le lecteur partage de plus en plus vivement la révolte et l’effroi de cet homme auquel il s’est désormais totalement identifié. De la même façon, Zola dans son roman Germinal nous fait ressentir et comprendre avec d’autant plus d’efficacité son indignation face à la misère des mineurs qu’elle passe par un personnage de chair, dot nous partageons les souffrances

Gustave Flaubert par en 1857 et étant réaliste. Cette histoire confronte les rêves de petite fille d’Emma Bovary t la réalité ennuyeuse et sans attrait. Enfin la dernière œuvre est Germinal d’Emile Zola parue en 1884 et naturaliste. C’est un roman qui traite des conditions de travail effroyables des mineurs et de leur révolte sous l’impulsion d’Etienne Lantier. Au théâtre, nous pouvons nommer comme œuvres caractéristiques du XIX° les suivantes : - Antony d’Alexandre Dumas paru en 1831. Cette pièce

cherche, avant tout, à montrer les transformations lentes et profondes que les événements entraînent sur la société. Ainsi, dans L'Assommoir (1877), il nous entraîne dans les milieux ouvriers, aux prises avec l'alcoolisme ; Germinal (1885) explore le monde de la mine et des révoltes ouvrières ; Au bonheur des dames (1883) décrit l'apparition et la croissance irrépressible du commerce des grands magasins ; dans La Bête humaine (1890), Zola développe le thème de l'instinct de meurtre lié à l'instinct amoureux