La Silhouette

Couture, taille différente. * Description : Une robe. De couleur sombre : noir. Elle peut être de différente taille, courte, longue ou mi-longue. * Sujet & analyse : Cette robe a une couleur noir qui laisse passer les formes et la silhouette. Elle peut selon les époques soit s’allonger ou se raccourcir. La robe en général apporte une touche de glamour. * L’auteur : Le couturier Christian Dior est né le 21 janvier 1905 à Granville. Il a ouvert une maison de couture et un parfum

l'arrière plan, on devine des silhouettes de grues ou de mats sur le port, des bateaux à quai, des cheminées d'usines.  Deux choses jurent avec le paysage : - le soleil qui se lève, orange, très coloré mais peu lumineux, avec son reflet dans l’eau - et les deux bateaux, silhouettes noires comme des ombres. On retrouve ici plusieurs thèmes chers à Monet : l'illustration de l'essor industriel du 19e siècle, la représentation de l'eau, l'inscription de la silhouette humaine dans le paysage. 

reconnaissables. Sa silhouette nous est familière : sa minceur, évoquée a travers le vers 4 « asperge », son aspect figé évoqué à travers la raideur vers 1 et 2 ainsi que son excessive blancheur (v.3) « une face imberbe au cold-cream » (.v25) « ils sont de la secte du blême ». La forme générale de sa silhouette est complétée par des éléments du costume (v.2) « une fraise empesée idem », (v.13) « leur cône noir », (v14) « le serre tête », (v.23) « leur costume ». Cette évocation de la silhouette du personnage

à coté de l’autres. Au-dessus de ces lavabos figurent deux inscriptions : « white » et « colored ». Le lavabo des Blancs est plus moderne et plus luxueux tandis que le lavabo des Noirs est assez petit. Un homme, noir, dont on ne distingue que la silhouette est en train de boire au lavabo qui lui est réservé. Celui-ci se baisse pour pouvoir boire et regarde le lavabo de gauche. Les panneaux reflètent les lois raciales qui interdisaient à un noir de se laver les mains ou de boire dans le meme lavabo

la pensée » autrement dit le rêve. Au premier plan du tableau on peut apercevoir une silhouette difforme avec une tête, une jambe, deux mains, deux pieds et un sein. Elle semble constituer deux parties, la première partie (en haut) : un pied, la tête et un sein ; puis la deuxième (en bas) : les deux mains et les bras. Les deux parties semblent se battre (nationalistes contre républicains). La silhouette forme un pays, l’Espagne. En arrière plan, on peut apercevoir un homme tête baissée, il

CCF ARTS APPLIQUES TRAVAIL 1 : L'EXTRAVAGANT Le travail que j'ai réalisé represente la silhouette d'un corps humain, couper en deux.L'un des côté est noir et l'autre pleins de mégots de cigarette. Pour réaliser ce travail jai tout d'abord imprimé une silhouette que j'ai divisé en deux et jai coupé l'une d'elle ( à l'aide des cuter) .Pour finir j'ai superposé cette silouette sur une image representant des mégots de cigarette. Mon travail est donc basé sur le tabagisme qui s'accroît de plus en

avec son désespoir alors qu’elle deviendra vestale. Enfin, au dernier plan, surgit de nulle part, une silhouette massive, un lourd glaive à la main, fracassant un cœur fragile, un peu plus à chaque fois. Tel est représenté Néron tout en lâcheté et sournoiserie. En effet, il arrive par derrière, armé contre un cœur pur et amoureux. Ici, le contraste est saisissant, ce qui rend le noir de la silhouette plus obscur que jamais. Aussitôt, le spectateur est effrayé par cette apparition monstrueuse comme Junie

en spectacle devant les officiers qui la surnomment « Coco », parce qu'elle a pour habitude de chanter « Qui qu'a vu Coco dans l'Trocadéro ? » Ce surnom ne la quittera plus. Admirée par une horde de jeunes garçons fortunés ou titrés, sa jolie silhouette séduit Étienne Balsan, un riche gentilhomme qui vient de rendre ses galons d'officier pour se consacrer à l'élevage de chevaux et aux courses. Il lui fait découvrir la vie de son château. Pendant près d'un an, elle apprend la vie de la haute société

Duchamp et Picabia, l'activité dada à New York (premiers objets, 1917). En 1921, il s'installe à Paris comme photographe (l'un des plus rigoureux portraitistes de l'époque) et se joint au mouvement surréaliste. Il invente, en 1922, les rayographes (silhouettes d'objets posés sur plaque sensible), tourne plusieurs films de 1923 à 1929 (l'Étoile de mer, sur un poème de Desnos), donne des séries de peintures d'une fantaisie très libre ainsi que des objets surréalisants qui sont autant de boutades souvent

graffiti sont des actes de vandalismes aux yeux de la lois. Et pourtant, personne n'arrivera à prendre l'artiste sur le fait durant tout ce mois. • Ouverture : Pendant ce mois, Banksy a peint différents type de Graffiti dont Silhouettes japonaises, où deux silhouettes de femmes en habits traditionelles japonais se croisent sur un pont qui est en fait un ancien encadrement de fenêtre.