La Société Est Sauvée

fait, l’autre pour l'argent. 9. La doctrine de la prédestination veut que tous les êtres humains soient divisés à la naissance entre être sauvé et être damné. Le choix n’appartient qu'à Dieu seul, les actions qu'ont les humains dans leurs vies n'influencent pas leurs destins. Il n’y a aucun moyen de savoir si oui ou non on est élu pour être sauvé (aller au paradis) ou être damné (aller en enfer), même Calvin et ses disciples ne peuvent le savoir. C’est donc pourquoi les protestants sont

Andorra est un petit pays, qui vit en véritable paix, et qui attend avec angoisse l’invasion des Casaques Noires, les redoutables soldats de la dictature du grand pays voisin. Andorra est une société parfaite, du moins c’est ce prétendent fièrement ses habitants. Tous les Andorriens sont purs et aux bonnes moeurs, les façades de leurs maisons sont blanches comme la neige, et de plus ils tolèrent même les juifs. Donc tout à fait le contraire des barbares du grand pays voisin. Un juif habite effectivement

Baptistine et une servante, Madame Magloire. Ce religieux est un juste qui se contente du strict nécessaire pour distribuer le reste de ses économies aux pauvres. Doué d'un amour immense, il laisse sa porte grande ouverte et fraternise avec ceux que la société rejette. Il va connaitre notre héro principal, Jean Valjean. Ce dernier est présenté comme un homme n'ayant pu échapper à un destin tragique : dévoré par la faim, il en est réduit à voler un pain pour nourrir sa famille. Condamné initialement à cinq

La représentation de la société dans Dom Juan Dom Juan, écrit par Molière en 1665, est une représentation de la société du XVIIe siècle. En effet, on y rencontre des classes sociales très variées, allant de la paysannerie à la noblesse. Nous verrons dans un premier temps comment l’œuvre représente les classes dominantes telles que la noblesse et la bourgeoisie, et dans un second temps les classes dominées dans la société du XVIIe siècle : les serviteurs, les paysans et les pauvres. Tout

la patrie.  Selon Victor Hugo, c'est la faute de la misère, de l'indifférence et d'un système répressif sans pitié. Idéaliste, Victor Hugo est convaincu que l'instruction, l'accompagnement et le respect de l'individu sont les seuls armes de la société qui peuvent empêcher l'infortuné de devenir infâme. Victor Hugo attaque violemment l'idée de réalisme politique qui conduit à des massacres comme celui de Waterloo ou des émeutes de Paris. Jean Valjean (1769-1833) est l'un des principaux personnages

Baptistine et d'une servante, Madame Magloire. Ce religieux est un juste qui se contente du strict nécessaire pour distribuer le reste de ses économies aux pauvres. Doué d'un amour immense, il laisse sa porte grande ouverte et fraternise avec ceux que la société rejette. Son destin va croiser celui du personnage central de l'œuvre : Jean Valjean. Ce dernier est présenté comme un homme n'ayant pu échapper à un destin tragique : acculé par la faim, il en est réduit à voler un pain pour nourrir sa famille

entendre raison aux juges, et même aux dévotes : et c’est ce qui n’est arrivé que cette seule fois. Ensuite il alla prêcher la tolérance à Crotone ; mais un intolérant mit feu à sa maison : il fut brûlé, lui qui avait tiré deux Hindous des flammes. Sauve qui peut ! Voltaire, Aventure indienne, traduite par l’Ignorant. Texte B Insérée de même que Petite Digression dans le volume du Philosophe ignorant (1766), Aventure indienne se rattache par un autre biais à la chronique de l’ignorance

Yakouba est un album jeunesse écrit et illustré par Thierry Debieu, ce livre a été publié en 1994. Nous reconnaissons les caractéristiques de l’album jeunesse par l’omniprésence d’image, par son format au nombre de pages peu élevé ainsi que par la première de couverture cartonnée. Cette oeuvre est entièrement illustrée en noir et blanc, seule la première et la dernière de couverture sont recouvertes d’une couleur ocre. Ce livre nous conte l’histoire d’un jeune garçon du prénom de Yakouba. C’est

la faute ? » Selon Victor Hugo, c'est la faute de la misère, de l'indifférence et d'un système répressif sans pitié. Idéaliste, Victor Hugo est convaincu que l'instruction, l'accompagnement et le respect de l'individu sont les seules armes de la société qui peuvent empêcher l'infortuné de devenir infâme. Le roman engage une réflexion sur le problème du mal... Il se trouve que toute sa vie Hugo a été confronté à la peine de mort, il a vu des exécutions à la guillotine. Un des thèmes du roman est donc

sauvegarde les valeurs ethniques et l´humanité il faudrait respecter les autres. De fois pour faire le meilleur on este obligé de faire passer l´autre avant soi. Cela signifie mettre nos buts à part et favoriser les cibles d´autre en pensant à bien de la société donc on parle de l´altruisme. Mais est- ce qu´il est toujours possible de laisser passer l´autre avant soi ? La solidarité est- elle toujours nécessaire ? Peut- on appelé la solidarité de l´altruisme le vrai altruisme ? Pour répondre à ces questions