La Symbolique Des Fenêtres

L’ASSOMMOIR DE ZOLA 1- Le portrait des personnages 2- Les différents lieux d’habitations de Gervaise 3- La portée symbolique du récit 1-Le portrait des personnages. * Gervaise : Gervaise est le personnage principal, une femme plutôt belle, blonde et de taille moyenne.  Une brave femme mariée en première noce à Auguste Lantier, ce premier conjoint qui buvait et qui la battait dont elle aura 2 fils, Etienne et Claude. Puis, un second mari du nom de Coupeau, avec lequel elle aura

-Technique : peinture à l’huile 2) Description : Au premier plan : De gauche à droite : une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée à la main, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre avec une lampe à pétrole, une femme s'enfuyant, un personnage en proie des flammes dans une habitation. Au second plan : On peut voir qu’il y a des murs, donc des maisons mais on ne peut pas très bien comprendre s’ils sont à l’intérieur ou à l’extérieur

décrit la ville de Marseille. C’est l’aspect désertique qui est mis en valeur (cf. le titre du roman, Désert). Lalla ne croise personne « il n’y a personne dans les rues à cette heure là » (l.3) et les maisons semblent « abandonnées » (l.6) car les fenêtres « sont fermées » (l.4). Marseille est une ville endormie, déserte. Il semble qu’aucune âme n’y vive. Le lecteur comprend qu’il s’agit certainement de l’heure de la sieste. 2. Le personnage de Frédéric Moreau est heureux puisqu’il est épris de

La rampe figure parmi les éléments les plus présentatifs de l’architecture moderne. Tout comme la fenêtre en longueur, la toiture terrasse, les pilotis et autres éléments, elle est l’expression d’une certaine architecture, une partie de son vocabulaire, de son référentiel plastique et intellectuel. Mais elle est aussi beaucoup plus que cela. Bien avant d’acquérir ce statut, elle était déjà employée pour faire franchir des différences de niveau à tout ce qui ne pouvait emprunter un escalier : animaux

L'ETRANGER Lieux et leurs symboliques Le roman L'Etranger est un court roman moraliste écrit par Albert Camus, écrivain célèbre mais critiqué en 1942. Il a écrit Caligula et Le Mythe de Sisyphe qui ont eu un grand succès avec l'Etranger, ces 3 œuvres forment le « cycle de l'absurde ». C'est l'histoire de Meursault qui vient d'apprendre la mort de sa mère et ne semble pas attristé par cette nouvelle. Après l'enterrement nous le suivons dans la vie quotidienne, rencontre avec ses voisins

Les repères spatiaux : - lieux réels : les " buttes de Montmartre " - véritable emplacement des lieux cités par Saccard : la Madeleine, les Tuileries, la colonne Vendôme - les personnages sont situés dans la pièce : " table placée devant une des fenêtres " II - La vision de Paris Paris est comparé à un océan : - réseau lexical du comparant : " flots ", "bleuâtre", "lac", "fonds", "rive" - immensité de Paris fait penser à un océan. Immensité et multitude et traduite par "océan de toits

la lumière provenant d'une fenêtre située sur le côté gauche. Le cristal nous en montre le reflet amenant nos pensées vers un autre monde, de l'autre côté du miroir vers la mort. Le crâne, figure emblématique de la mort dont les trous noirs des orbites attirent le regard, le crâne se fait masque. Dans son oeuvre, l'artiste a voulu exprimer l'allégorie de la vie humaine. Philippe de Champaigne veut représenter la mort étant une idée abstraite par des objets symboliques. Etape 3 : J'ai bien aimé

observe une traduction du danger très franche. En effet, nous pouvons retrouver les termes « alla dans la forêt » à la ligne 4, traduisant un danger de l'inconnu, ainsi que « quelle crainte […] visage » (l 33-34) renforçant cette idée. Ensuite, les symbolique des étapes de l'amour dans les romans de chevalerie est prédominant de la ligne 3 à la ligne 7. Enfin, cet aspect chevaleresque atteint son paroxysme lorsque l'on comprend que la demeure de l'héroïne apparaît comme difficile à atteindre par la présence

à l’ultime promenade entre le père et le jeune enfant. Or, c’est la dernière fois que ce petit garçon voit son père, puisque celui-ci le conduit chez Madame Bufferand, une vieille amie, dès qu’il s’aperçoit que le pot de géranium n’est plus à la fenêtre de leur maison ; et il repart à la recherche de sa femme pour disparaître avec elle… 1) L’implicite du récit ou « …une promenade qui ne ressemblait pas tout à fait aux autres » Comme le petit garçon, le lecteur est interloqué par la teneur

c’est à dire gouverneur de la province. Il est du devoir de sa charge d’accueillir le roi, lorsque celui-ci se déplace dans son royaume, d’où la nécessaire présence dans sa demeure d’une salle d’honneur adaptée à la réception du souverain. _ la symbolique des lieux Cet espace dramatique a été conçu par Beaumarchais pour symboliser la structure sociale pyramidale de la société monarchique. L’intention apparaît clairement lorsqu’on rapproche la didascalie initiale des autres informations fournies