La Terreur 1793 1794

successeur, son petit-fils Louis XVI, n'a rien eu de plus pressé que de rappeler les parlementaires et de les rétablir dans leurs privilèges. C'est le premier d'une longue série d'actes de faiblesse qui mèneront le roi à la guillotine ( le 21 janvier 1793, à Paris ) et feront perdre à la France son premier rang parmi les grandes puissances du monde. Le 7 juin 1788, la sédition tourne à l'émeute à Grenoble. Pendant la «journée des tuiles», les habitants bombardent de projectiles les soldats qui tentent

Convention. Cette période se divise en 3: a)La Convention girondine dominée par les députés qui viennent de cette région; elle est marquée par la victoire des armées révolutionnaires à Valmy sur les Austro-Prussiens (1792),l'exécution du roi en janvier 1793 qui provoque une coalition des souverains européens contre la France où la République a été proclamée.Les Girondins sont renversés par la Commune de Paris et les Montagnards, groupe politique de la Convention auquel appartient Robespierre. Ce dernier

rouge. Le 17 juillet, Louis XVI se rend à Paris pour reconnaître la nouvelle Garde Nationale. Il arbore la cocarde bleue et rouge à laquelle Lafayette, commandant de la Garde, a ajouté le blanc royal. La loi du 27 pluviôse an II (15 février 1794) fait du drapeau tricolore le pavillon national, en précisant, sur les recommandations du peintre David, que le bleu devait être attaché à la hampe. Lors de la Révolution de 1848, si le drapeau tricolore est adopté par le gouvernement provisoire

pontife. Mais, dès mars 1791, le pape Pie VI condamne toutes ces réformes visant l’Église de France. La Constituante a divisé la population en deux camps antagonistes. On compte environ 65 % d’ecclésiastiques non jureurs ou réfractaires. Le drame de 1792-1793 est en germe. La question religieuse aggrave le mécontentement d'une partie des Français déçus par la Révolution. Dès 1790, des troubles entre Protestants et Catholiques avaient éclaté dans le Midi. La question du serment dégénère en affrontement

tient sa mère et s’initie à la philosophie de ce courant de penser, elle commence donc à développer des idées d’émancipation libérale. De cette manière, elle formule son attachement à une République modérée, rejetant totalement la tyrannie de la Terreur (1793-1794) puis la dictature de Bonaparte (1899-1815). Madame de Staël est une des femmes auteures des Lumières, elle se bat pour faire ressortir les revendications «féministes» de l’époque pour l’égalité des femmes et des hommes. Dans « De la littérature

n'a pas pu rédiger des codes, n'a pas su ou n'a pas voulu. 1789 : la révolution veut rédiger des codes. Elle avance très lentement sur la question des codes. Trois projets de code civil, trois échecs mais un seul rédacteur : Cambacéres. 1793 1794 1796 En 1799, le premier consul Napoléon Bonaparte et le troisième Cambacéres qui font le lien entre les projets de la révolution et le code civil de 1804. Le code civil apparait comme la conclusion de la Révolution, il transpose les principes

la   Révolution   elle-­‐même   ait,   par   la   suite,   renié   certains   de   ses   principes   et   élaboré   deux   autres   déclarations   des   Droits   de   l'Homme   en   1793   et   1795,   c'est   le   texte   du   26   août   1789   qui   est   devenu   une   référence   pour   les   institutions   françaises,   notamment   dans   les   Constitutions

écrite et des publications mis en place sous l'Ancien Régime fut balayé à la veille de la Révolution française, alors que débutait la rédaction des cahiers de doléances par les citoyens, qui allaient prendre les armes et faire tomber la monarchie en 1793. L'article 11de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 178 stipule que « tout citoyen peut parler, écrire, imprimer librement ». La presse Française conquiert sa liberté sous la Révolution quand les autorités renoncent à la contrôler

moins 2 phases. Il y a d’abord une grande rupture dans la révolution française, c’est la chute de Maximilien ROBESPIERRE (comité de Salut public) en juillet 1794 Thermidor An II. De 89 à 94 c’est une phase d’accélération et de surenchère de la révolution sur ces propres principes puisqu’en effet dans cette période qui va de Mai 89 au 27 juillet 1794, elle va connaitre deux phases, une première de phase de réformation du royaume avec la mise en place d’une monarchie constitutionnelle. Avec cette monarchie

sommes à l’aube de la Terreur, période d’exécutions de masse), les clubs se radicalisent. Parmi les plus connues à Paris nous pouvons citer la Société Patriotique et de Bienfaisance des Amis de la Vérité ainsi que celui des Citoyennes Républicaines Révolutionnaires. Le premier, crée en mars 1791 par Etta Palm d'Aedlers n’est autre que le promoteur des clubs féminins, le club lutte pour l’éducation des filles, le divorce et les droits politiques. Le second, voit le jour le 10 mai 1793 grâce à Claire Lacombe