La Terreur Sous La Convention De 1792

l’âge de 73 ans. Origine sociale : Noblesse. Fonctions occupées (titre, métier …) : Officier de la marine Royale jusqu’en 1783, député suppléant sous la Convention en 1792, commissaire prés Barras (1755-1829) de l’armée d’Italie en 1792, membre du comité de la sureté générale en 1794, commandant de la force armée de Paris en 1794, président de la Convention en 1775, général en chef de l’armée de l’intérieure en 1795, membre du Directoire de 1795 à 1799. Actions réalisées : Paul Barras entre dans

forces politiques et principalement des partis politiques, dans un certain cadre institutionnel et juridique, compte tenu des données historiques, idéologiques, économiques et propres à cet Etat ». De ce fait, l’étude de la Vie politique sous la Vème République doit se faire dans la perspective de l’enseignement du Droit Constitutionnel. En effet, la Vie politique contemporaine a pour cadre les institutions politiques de la Vème République. On ne peut donc pas exclure de l’analyse de la

Romain de Sèze, 26 décembre 1792. Récapitulatif des évènements : En août 1792 le climat politique est très tendu autant à l'intérieur (crainte d'une trahison de Louis XIV) qu'en politique étrangère (les armées étrangères sont aux frontières). La journée du 10 août est une journée sanglante qui verra le Roi se réfugier sous la protection de l'Assemblée qui se retourne contre lui et le suspend et délègue son sort à une Convention élue au suffrage universel. La Convention, nom donné à l'Assemblée constituante

n’ont jamais les mêmes droits que les hommes. Leur statut diffère aussi profondément selon leur condition sociale. Tout comme les hommes, elles subissent ou profitent des privilèges des ordres dominants. « La fermière en corvée » La paysanne fléchit sous le poids du clergé et de la noblesse. Estampe, Paris, vers 1789 (coll. Déjà au 18e s., ces inégalités soulèvent des débats. Des philosophes sont convaincus de l’infériorité des femmes (Rousseau). D’autres soutiennent à des degrés divers l’égalité

1780’s. Certains auteurs avancent même le début de ce climat prérévolutionnaire aux 1750’s, à la suite de la publication en 1748 par Montesquieu de De l’esprit des lois. La Révolution ne s’arrête pas en 1789, Déjà Louis XVI reste au pouvoir jusqu’en 1792 et ne sera guillotiné que le 21 janvier 1793. Pour les historiens, la période révolutionnaire court jusqu’en 1799 et le coup d’Etat de Napoléon Bonaparte. Ce dernier proclame que la Révolution est finie, sachant qu’en 1799, il se présente comme le

synthèse entre les aspirations à la liberté et à l’égalité exprimées lors de la Révolution et le besoin d’ordre des Français. Y parviendra-t-il ? Pourquoi la RF est-elle la pierre d’angle de notre démocratie ? I la fin de la Monarchie Absolue 1789-1792 A) la contestation de l’Ancien Régime 1) contestation sociale • La crise sociale des années 1780 La population française est plus nombreuse (28 millions d’habitants), plus prospère (la peste, la guerre et la famine ont disparu, l’agriculture

La Convention La Convention Montagnarde (suite) juin 1793 - juillet 1794 La France sous la Terreur La situation sociale Dans les campagnes La récolte de 1793 fut médiocre en raison d'une année particulièrement sèche. Celle de 1794 fut compromise par de violents orages. De plus, les paysans refusaient d'envoyer leurs grains dans les villes en raison de la loi qui leur imposait un prix de vente maximum. Dans de nombreuses régions, faute de grains, la pomme de terre faisait son apparition. Côté

norvégien) Transparent : Prise de la Bastille 14 juillet : Prise de la Bastille qui n’est qu’un épisode mineur mais prend une très grande valeur symbolique par sa signification : le peuple en armes a pris un bastion de l’absolutisme. 16 juillet : Sous la pression populaire, Louis XVI rappelle Necker. Quelques soulèvements ont lieu en province dans les villes (révolutions municipales) et à la campagne (jacqueries rurales) visant en particulier les seigneurs. Doc 6 p.157 : Carte de la Grande Peur

issu d’une famille de la petite bourgeoisie. Adversaire de la déclaration de guerre en 1792, il s’oppose aux Girondins et passe au premier rang de la scène politique avec la chute du roi, le 10 août 1792. Elu député à la Convention, il réclame la déchéance de Louis XVI et devient l’un des chefs de file des Montagnards.Il est à l’origine de la loi du 22 prairial an II (10 juin 1794) qui instaure la Grande Terreur, ôtant aux accusés toute possibilité de défense ou de recours. Né à Arcis-sur-Aube en

La Convention La République Girondine Septembre 1792 - Juin 1793 Les débuts de la Convention Le premier président de la Convention fut Pétion. Il avait été nommé le 20 septembre lors de la séance de vérification des pouvoirs faite en séance privée. Seuls 371 députés étaient présents mais ils s'étaient tout de même constitués. Ce jour là, les Girondins tenaient la majorité, Pétion avait été élu par 235 voix alors que Robespierre n'en avait recueilli que 6. Tous les secrétaires élus étaient également