La Tête contre les murs

François-Olivier et hubert Vanderschueren 4ème A A EN FAIRE TRRRREMBLER LES MURS !!!!!! Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier, par une nuit de décembre.Une vraie peur ! Celle qui vous fait trembler les membres de terreur, qui fait battre votre cœur par secousses violentes et saccadées... Comme je le disais, durant l'hiver 1878, poussé par une envie irrésistible de solitude, de vie à l'état sauvage en communion

Elle sortit. Les murs tremblaient, le plafond l'écrasait ; et elle repassa par la longue allée, en trébuchant contre les tas de feuilles mortes que le vent dispersait. Enfin elle arriva au saut-de-loup devant la grille ; elle se cassa les ongles contre la serrure, tant elle se dépêchait pour l'ouvrir. Puis, cent pas plus loin, essoufflée, près de tomber, elle s'arrêta. Et alors, se détournant, elle aperçut encore une fois l'impassible château, avec le parc, les jardins, les trois cours, et toutes

effet, entre le désastre et l’atrocité. Mais je détaille un enchaînement de faits et ne souhaite pas omettre un possible lien. Je visitai les ruines. Les murs, à l’exception d’un seul, s’étaient écroulés. Cette exception consistait en une cloison, pas très épaisse, qui se tenait environ au milieu de la maison, et contre laquelle était appuyée la tête de mon lit. A cet endroit, le plâtre avait en grande mesure résisté à l’action du feu, un fait que j’attribuai au fait qu’il avait été appliqué récemment

Plusieurs importantes personnes se sont battues toute leur vie contre divers faits et mœurs de la société. Un important écrivain de la littérature française, Victor Hugo, s’est battu durant plus de cinquante ans contre la condamnation à mort et des instruments utilisés lors des exécutions de celles-ci. En 1829, à une époque où il était normal d’assister à une exécution sur la place publique, Hugo écrit Le dernier jour d’un condamné. Dans cette œuvre, Hugo montre cet évènement sous un angle différent

qui grandit dans le ciel, une lueur pâle et jaune qui fait apparaître l'horizon, les roches aiguës, les branches des arbres nains.7 Le silence est grand. Tayar le perçoit pour la première fois. C'est un vide qui oppresse ses tympans, qui serre la tête. Il n'y a pas de chants d'oiseaux ici, ni de bruits d'insectes, rien pour saluer le jour qui arrive. Il y a seulement un peu le gémissement du vent qui souffle sur le haut-plateau calcaire, le vent qui va et vient comme une respiration glacée. Tayar

Europe habituée depuis les années soixante à « l’émancipation de la femme". Ce retour à la non liberté, où les jeunes filles doivent sortir voilées des pieds à la tête, a provoqué un choc aux libertaires et islamophile. Les différents types de voiles : Les voiles peuvent être divers et varié allant du simple foulard couvrant la tête mais gardant le visage visible le Hijab, en passant par le Nigab qui ne laisse que les yeux visibles, le Tchadri voile porté par les femmes afghanes recouvrant l’intégralité

chuchotant dans l'oreille, regard provocateur) Créon : Quel jeu joues-tu ? (la regardant s’en aller) Antigone : (Elle se retourne, son tempérament inflexible se dessin sur son visage ordinairement doux) Je ne joue pas. Créon : (En colère contre le comportement obtus de sa nièce) Tu ne comprends donc pas que si quelqu'un d'autre que ces trois brutes sait tout à l'heure ce que tu as tenté de faire, je serai obligé de te faire mourir ? (Puis faisant mine d’être pris de pitié pour elle, il tente

Elle habite dans une maison avec ces parents, dans un petite village nommé Berlioz. Mélodie a grandi entre ces murs, elle ne se souvient pratiquement pas de son enfance, mais elle garde en mémoire tous les délires qu'elle as eu avec son ami d'enfance Mélina. Elle se prépare pour prendre son car de 7h15, avant de partir elle regarde autour d'elle, dans sa chambre aux murs noir et rose , ses murs son remplit de poster et beaucoup de photo souvenir en partie au dessus de son lit. Mais son plus long mur

celle-ci se trouve une porte, par laquelle entrent et sortent tous les personnages en montant et descendant quatre petits escaliers. À l'intérieur de cette grande porte se déroule une fête, on a donc un espace hors scène. Il y a notamment sur deux des murs qui complètent le décor, des projections d'ombres diverses qui varient en fonction de l'action qui est en train de se dérouler. En conclusion, il s'agit d'un décor plutôt simple avec un éclairage faible qui accentue l'heure tardive à laquelle se déroule

>>, << longs>>, << ennuis», << noir », « triste ». B-Un effacement du poète (2ème et 3ème quatrain) Le deuxième quatrain poursuit la métaphore filée entre le monde et un espace carcéral : «< cachot >>, << murs »>«< plafonds ». << prison. << barreaux » (au troisième quatrain). Le monde devient ainsi une prison angoissante et sans issue. Le terme « Espérance » au vers 6 est une allégorie de l'idéal. Mais la « comme une chauve-souris »