La Tête contre les murs

Nous nous appuierons sur un corpus de 5 documents qui sont les suivants: le premier est un dessin réalisé par le dessinateur Soulas en 1988. Il met en évidence la curiosité des autres. Le second document est un ensemble de sérigraphies collées sur les murs de Paris et de la banlieue parisienne, réalisé par Ernest Pignon-Ernest; le troisième document, qui met en évidence l'indifférence des autres, est une photographie de Olivier Coulange. Le 4ème document est un poème de Jacques Prévert qui s'intitule

sur vos épaulesvous étiez saouls sans avoir rien buet votre moelle épinièrefaisait la folle et la fièredevant la caserne de la Pépinièrevous travailliez de la crinièrequand passaient les beaux cuirassierset la musique militairevous chatouillait de la tête aux piedsvous chatouillaitet les enfants que vous portiez sur vos épaulesvous les avez laissés glisser dans la boue tricoloredans la glaise des mortset vos épaules se sont voûtéesil faut bien que jeunesse se passevous l’avez laissée trépasser   Hommes

caméra lors de l'une de ses incursions de nuit dans un musée New-yorkais mais, étais-ce vraiment lui ? Qui est-il donc ? Une chose est certaine : ses graffitis ont commencé à apparaître à Bristol vers 1993. Dix ans plus tard, ses œuvres couvraient les murs du Royaume Uni, mais aussi de Paris, de Vienne, de San Francisco et de Barcelone, avec cette signature bien précise qui fait sa marque : le mélange d'un humour sarcastique et d'une pointe de « rébellion » bien typique chez lui. Comparé parfois à Jean-Michel

Bogart, les clous de son cercueil. Aucun autre lieu ne peut mieux le définir. C'est Charlotte, sa fille, propriétaire du petit hôtel particulier, qui a décidé de laisser tel quel ce qui peut apparaître comme un mausolée. Et, certes, le noir domine : murs tendus de tissu, noir, plafond, noir, dallage vénitien. Tout, ici, accentue l'aspect d'un luxueux catafalque. Rien de mortuaire pour autant, non, plutôt un écrin d'une sophistication extrême, où chaque oeuvre, chaque objet est éclairé, avec soin, d'un

plaidoyer contre l’abolition de la peine de la mort. Nous étudions aujourd’hui, le chapitre 12 du roman qui a pour sujet, le déchiffrement des traces des anciens condamnés, d ce qu’il appel des « hôtes de la cellule ». De conséquent, ces empreintes fait entrer le condamné dans un état psychologique grave. Alors, quelles sont les portraits des «  hôtes de la cellule ».Et, quel est l’état psychologique du narrateur ? Le condamné est emprisonné entre quatre murailles. Ces murs sont chargés

porte beaucoup d'importance sur son hygiène personnelle, mais il ne prend pas de bains. Par contre, il trouve que ceci est un sanitaire important dans une planification de salle de bain. Monsieur Gour rêve d'une douche sur mesure or de l'ordinaire. Pour atteindre les demandes du client, nous allons lui faire faire une douche sur mesure avec des portes en vitres, le plancher en carreaux de porcelaine puis les murs en carreaux de pâte de verre. Le plancher en porcelaine est un choix juste, car il a un

métal résonnant au fond de ce puits ne peut  qu'évoquer d'autres cris, d'autres images trop connues, celles des cohortes d'hommes yeux vides, bouches sans voix, poussées vers les chambres à gaz. * - axe de la mort :(un couloir étroit aux murs et au sol penchés qui débouche sur une porte, un gardien ouvre la porte et fait pénétrer le spectateur dans un autre espace : la Tour de l’Holocauste, tour de béton brut seulement éclairée par une maigre entaille à son sommet, espace sombre et

les airs ; Seulement La girouette en deuil criait au firmament ; Car le vent élevé bien au dessus des terres, N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires, Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés, Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt, Lui que jamais ici on ne vit en défaut, A déclaré tout bas que ces marques récentes

 Commentaire Chénier est un poète rigoureux, discipliné, qui a énoncé des principes et créé des formes. On les retrouvera dans toute son œuvre, jusqu'à ce dernier jour où sa tête, si bien faite, fut tranchée. Le théoricien érudit Il admirait les Anciens, Homère, Virgile, tout en s'en démarquant. Dans L'Invention, son grand œuvre théorique, il réfute l'imitation servile, entend exprimer les idées et les mœurs de son temps, mais en des vers dignes de l'art gréco-latin. « Sur des pensers

Anubis au dieu Hermès qui formèrent une nouvelle entité connue sous le nom d'Hermanubis. II) Les représentations. Il existe deux représentations distinctes du dieu Anubis : l'une sous forme de canidé allongé et l'autre sous la forme d'un homme à tête de canidé. Dans les deux cas, la partie canine est noire, couleur symbolisant la renaissance pour les Égyptiens de l'Antiquité (c'était en effet la couleur du limon déposé par les crues du Nil et qui permettait à la terre d'être fertile). Sous