La Tordue

la femme ne se calma pas. Elle était effrayée par l’idée de devoir marcher si ce n’est continuer à voyager encore un arrêt ; elle cria : Regardez mon pied ! Et elle ramassa sa canne. En raison de la surpopulation ils ne virent son pied courbé (tordu) .la canne était fine, d’un bois sec, et constituée de nœuds qui se superposaient (escalade) jusqu'à la poigné courbée. L’accès à la porte avant était bloquée, ainsi elle commença a pousser vers la porte arrière. Oh malheur a moi, dit-elle. Elle

spé mon fils c’est t’occuper... ….des drogués, des clodos, des ruinés, des claqués, des violés, des battus, des maltraités, des perdus, des disjonctés, des perdants, des illuminés, des délirants, des tarés, des mangeurs de caca, des taulards, des tordus, des accidentés, des inconscients, des pauvres, des très pauvres, des très très pauvres, des miséreux, des traînées, des qui se traînent, des malades, des condamnés, des sanctionnés, des fatigués, des suicidaires, des vieux, des jeunes, des familles

cinquante centimètres, qu'ils se trouvaient là comme aplatis entre le toit et le mur, se traînant des genoux et des coudes, ne pouvant se retourner sans se meurtrir les épaules. Ils devaient, pour attaquer la houille, rester couchés sur le flanc, le cou tordu, les bras levés et brandissant de biais la rivelaine, le pic à manche court. En bas, il y avait d'abord Zacharie; Levaque et Chaval s'étageaient au-dessus; et, tout en haut enfin, était Maheu. Chacun havait le lit de schiste, qu'il creusait à

négatives avec des verbes/vocabulaire de violence, péjoratif : « rages folles », « Tu crevais tes instruments à coups de pieds », « tu cassais tout », « En tuais-tu des oiseaux », « tu étais un vrai monstre… », « tu les as tous abattus ! », « tu leurs as tordus le cou ! », « En as-tu tué », « vous vous disputés », « un geste brutal »… « d’épouser une petite couturière que tu avais trouvé Dieu sait où », « Devions-nous te laisser compromettre ta vie introduire cette fille chez nous », phrase exclamative

Dans la rapidité des choses sitôt faites. Je suis fou. Je n’ai plus une idée en son lieu. Ma raison, dont j’étais si vain, mon Dieu ! mon Dieu ! Prise en un tourbillon d’épouvante et de rage, N’est plus qu’un pauvre jonc tordu par un orage ! Que faire ? Pensons bien. D’abord empêchons-la De sortir du palais. — Oh ! oui, le piège est là Sans doute. Autour de moi, tout est nuit, tout est gouffre. Je sens le piège, mais je ne vois pas. — Je souffre 

parties. La partie inférieure gauche montre des lignes droites, avec en arrière plan, sur la gauche, deux hommes. Cela pourrait être le monde réel, l'activité humaine, la civilisation... Alors que la partie supérieure droite dessine des lignes tordues plus conformes à un monde surnaturel, inquiétant, inhumain... A l'arrière-plan, le ciel occupe la moitié haute de la toile, avec des couleurs chaudes (rouge, jaune, orange) qui évoquent le coucher ou le lever du soleil ; des formes ondulantes

un terrassier. Loin des canons académiques et de tout souci d’élégance, Emil progresse de façon lourde, heurtée, torturée, tout en à-coups. Il ne cache pas la violence de son effort qui se lit sur son visage crispé, tétanisé, grimaçant, continûment tordu par un rictus pénible à voir. Ses traits sont altérés, comme déchirés par une souffrance affreuse, langue tirée par intermittence, comme avec un scorpion logé dans chaque chaussure. » (L9-3 p49-50) Mais aussi par sa capacité à battre les records

physiques et l’expression du visage de chacun d’eux ? Loin des figures longilignes et des corps idéaux des membres de la famille peinte par Willrich, la famille d’Otto Dix est représentée avec des corps imparfaits, rebondis, comme celui de la mère, ou tordus, comme celui du père. De même, leurs visages ne sont pas sereins : si la mère et la petite fille esquissent un sourire, le père comme le nourrisson affichent une figure grimaçante. 3. Quelle couleur domine dans ce tableau ? C’est le rouge qui domine

de retrait des végétations subit par l’auteur. Partie 3- St Peter’s- 1925-1928 (de neuf à treize ans) Chap. 1- Premier jour : préparation pour l’entrée à sa nouvelle école. Chap. 2- Lettres à ma mère : explication du système de correspondance tordu dans le pensionnat. Chap. 3- La surveillante : description de la surveillante, des punitions qu’elle inflige et des tours que lui ont joués les élèves. Chap. 4- Le mal du pays : stratagème pour rentrer quelque temps chez lui. Chap. 5- Une promenade

cette proposition n’est pas un argument convenant, il repose sur les confusions entre « idéal », l’idéal de bonheur dans la thèse, et « illusions » qui ici est égal au bonheur. En partant de l’idée que le bonheur est égal à l’idéal, on a peu à peu tordu ce terme afin d’en arriver à ce que le bonheur soit égal à l’illusion, en en arrivant là, cet argument a trahi l’idée directrice. L’argument b) « En poursuivant le bonheur, j’oublie de considérer la réalité de l’existence présente et je ne vis que