La Trahison Dans Confessions Dune Femme

    Depuis qu'il était homme, on ne lui disait plus : "Regarde Jean et imite-le !" mais chaque fois qu'il entendait répéter :     "Jean a fait ceci, Jean a fait cela", il comprenait bien le sens et l'allusion cachés sous ces paroles.     Leur mère, une femme d'ordre, une économe bourgeoise un peu sentimentale, douée d'une âme tendre de caissière, apaisait sans cesse les petites rivalités nées chaque jour entre ses deux grands fils, de tous les menus faits de la vie commune.     Un léger événement, d'ailleurs

Depuis qu’il était homme, on ne lui disait plus : « Regarde Jean et imite-le ! » mais chaque fois qu’il entendait répéter : « Jean a fait ceci, Jean a fait cela », il comprenait bien le sens et l’allusion cachés sous ces paroles. Leur mère, une femme d’ordre, une économe bourgeoise un peu sentimentale, douée d’une âme tendre de caissière, apaisait sans cesse les petites rivalités nées chaque jour entre ses deux grands fils, de tous les menus faits de la vie commune. Un léger événement, d’ailleurs

les premières punitions codifiées aux désobéissances. On peut y lire que seront lapidés les enfants désobéissants et les femmes adultères. Les choses ont évolué. Pas tant que cela. En Iran, une sentence de lapidation a été prononcée contre une femme qui attend son exécution en septembre 2010. - 2/ Applications de cette réflexion A l’origine la société elle-même était religieuse : il n’y avait pas de séparation entre la société politique et la société religieuse. Les modèles les plus évidents

pouvons encore parler que de sa naissance. Je ne sais plus qui a dit que le siècle de Louis XIV avait été le cours de rhétorique du peuple français, et le XVIIIe siècle, son cours de philosophie. Alors, certes, peu d’enfans disent adieu au collège dune façon plus bruyante. Elle fut terrible l’émancipation du dernier siècle, émancipation peu originale dans ses formes, chacun le sait ; car notre révolution fut toute tachée de grec et de latin, comme l’érudition d’un jeune homme : sanglante preuve de

décoratives. Depuis qu'il était homme, on ne lui disait plus : Regarde Jean et imite-le ! mais chaque fois qu'il entendait répéter : Jean a fait ceci, Jean a fait cela , il comprenait bien le sens et l'allusion cachés sous ces paroles. Leur mère, une femme d'ordre, une économe bourgeoise un peu sentimentale, douée d'une âme tendre de caissière, apaisait sans cesse les petites rivalités nées chaque jour entre ses deux grands fils, de tous les menus faits de la vie commune. Un léger événement, d'ailleurs

décoratives. Depuis qu’il était homme, on ne lui disait plus : « Regarde Jean et imite-le ! » mais chaque fois qu’il entendait répéter : « Jean a fait ceci, Jean a fait cela », il comprenait bien le sens et l’allusion cachés sous ces paroles. Leur mère, une femme d’ordre, une économe 38 bourgeoise un peu sentimentale, douée d’une âme tendre de caissière, apaisait sans cesse les petites rivalités nées chaque jour entre ses deux grands fils, de tous les menus faits de la vie commune. Un léger événement,

Depuis qu’il était homme, on ne lui disait plus : « Regarde Jean et imite-le ! » mais chaque fois qu’il entendait répéter : « Jean a fait ceci, Jean a fait cela », il comprenait bien le sens et l’allusion cachés sous ces paroles. Leur mère, une femme d’ordre, une économe bourgeoise un peu sentimentale, douée d’une âme tendre de caissière, apaisait sans cesse les petites rivalités nées chaque jour entre ses deux grands fils, de tous les menus faits de la vie commune. Un léger événement, d’ailleurs

décoratives. Depuis qu’il était homme, on ne lui disait plus : « Regarde Jean et imite-le ! » mais chaque fois qu’il entendait répéter : « Jean a fait ceci, Jean a fait cela », il comprenait bien le sens et l’allusion cachés sous ces paroles. Leur mère, une femme d’ordre, une économe 38 bourgeoise un peu sentimentale, douée d’une âme tendre de caissière, apaisait sans cesse les petites rivalités nées chaque jour entre ses deux grands fils, de tous les menus faits de la vie commune. Un léger événement, d’ailleurs

décoratives. Depuis qu'il était homme, on ne lui disait plus: «Regarde Jean et imite-le!» mais chaque fois qu'il entendait répéter: «Jean a fait ceci, Jean a fait cela,» il comprenait bien le sens et l'allusion cachés sous ces paroles. Leur mère, une femme d'ordre, une économe bourgeoise un peu sentimentale, douée d'une âme tendre de caissière, apaisait sans cesse les petites rivalités nées chaque jour entre ses deux grands fils, de tous les menus faits de la vie commune. Un léger événement, d'ailleurs

frappé par un mot de sa grand-mère, un mot qu’il avait jugé être le comble de la tristesse ; elle lui avait dit, et elle avait quatre-vingts ans : «La vie est si courte». Arrivé à cet âge, il «comprend» le sens de l’existence, et l’indique à une jeune femme de hasard, à l’arrêt de bus : «Je vais vous dire, pendant qu’il est encore temps… Vivez chaque seconde, ne perdez rien de tout ça. Jamais vous n’aurez rien d’autre, jamais vous - Il hésita un peu : Jamais vous ne recommencerez ça… Faites tout… Ne perdez