La Tristesse Du Roi

à cause de ses habits déchirés qu'il a mis par nécessité et non plus par art. Il était certainement clown avant et faisait rire mais aujourd'hui son costume fait plutôt pleurer. Néanmoins, son accoutrement n'est pas nécessaire pour déclencher la tristesse : son environnement seul aurait pu suffir. Sixième, septième, huitième et neuvième phrases : Notre personnage est comme le négatif de la fête puisque chacun des verbes qui reprend les actions de la foule est ici associé avec une négation : la

avec lui, par le feu, ce qui lui appartient et sert ses plaisirs : femmes, pages, chevaux, chiens et trésors. * La ligne de lumière qui traverse la diagonale du tableau éclaire l’acmé du carnage. Le haut de cette ligne présente Sardanapale, le roi de Ninive, impassible et serein, étendu sur une extravagante couche. Il assiste aux meurtres qu’il a ordonné et qui se perpètrent le long de ce segment lumineux pour aboutir au cœur de l’entreprise picturale : le sacrifice de la favorite qui préfigure

suivants. Les gens du village furent venus aussi pour ce cours et il semblait que M. Hamel voulait donner tout son savoir aux élèves d’un seul coup. La repentance du petit Franz et les actions des gens dans le village nous font sentir proprement la tristesse d’être les esclaves et d’abandonner la langue maternelle. Dans le siège de Berlin, l’histoire se passe à Paris. Cette fois, par l’égard du docteur V, un vieil homme, colonel Jouve, se présente devant nous. Ancien cuirassier du Premier Empire,

que ressent Baudelaire. Le spleen = tristesse inexpliquée + angoisse et abattement. Empêche Baudelaire d’écrire. -alchimie de la douleur « Tu me rends l’égal de Midas/Le plus triste des alchimistes/Par toi je change l’or en fer/Et le paradis en enfer » -évocation d’une alchimie inverse provoquée par le spleen, il empêche le poète d’écrire et de réaliser son alchimie poétique.-la fontaine de sang : -décrit également le spleen de Baudelaire, évoque la tristesse et l’angoisse provoquée. Le poète souffre

Valentinois c’est-à dire de Diane de Poitier la maîtresse du roi Henri II à sa fille qui se demande d’où vient l’attachement du roi pour une personne plus âgé que celui-ci. On peut considérer cette histoire comme une biographie de madame de Valentinois car on découvre le parcours de vie de celle-ci. En effet Madame de Chartres raconte l’ascension de celle-ci au rang de maîtresse du roi. Madame de Valentinois était la maîtresse du feu roi, puis elle fut délaissée au profit d’une nouvelle favorite la

de "sacrifice" reste fondamentale dans ce genre théâtral. Le héros est en but à un système si solide qu'il n'a aucune chance de le renverser. L'ennemi est rarement représenté par un homme car il pourrait alors être vaincu ( ou alors il s'agit d'un roi si puissant qu'il s'apparente à un Dieu "Britannicus", 1670, Racine ) il s'agit plutôt d'une "force occulte", divine, d'une fatalité. Le héros est face à un choix, un dilemme, la seule alternative du héros est de perdre sa vie, son honneur, sa capacité

gens exclus par la société mais aussi du poète exilé dans la ville. Il décrit le sentiment de solitude dans la multitude dans “L’Albatros” ou il se compare à l’oiseau. Même dans ce poème rempli de tristesse (boue), Baudelaire arrive à transformer la tristesse positivement (or). L’albatros était “le roi de l’azur” et il est devenu “le prince des nuées”. En conclusion, la “boue” devient “or” lorsque le poète, a l’aide du langage, introduit de la beauté, de la grandeur et de la noblesse parmi la souffrance

pièce Andromaque, que le jeune homme rencontra le succès. Les pièces qui suivront, comme Britannicus (1669.), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677), feront de Racine un grand nom du théâtre tragique. Par la suite, il fut nommé historiographe du roi Louis XIV, et décida d'abandonner le théâtre. Il a fait diverses poésies, onze tragédies dont Andromaque et une comédie. Il est mort les 22 avril 1699. Andromaque est une épouse fidèle, et une mère exemplaire, mais elle devient veuve de son mari, Hector

Harry Potter!). Un jour, M. De StColombe lui fit amener une petite viole confectionnée exprès pour sa petite taille. Le trio des StColombe était très renommé. Le Roi de France lui même en entendit parler et voulut faire venir St-Colombe à Versailles parmi ses maîtres musiciens. St-Colombe en ermite convaincu déclina avec ferveur l'offre du Roi et se confina dans ses appartements, à savoir sa cabane, pour continuer à jouer de la viole en paix. Parfois, lors de ces improvisations, il voyait son épouse

Le jeune roi ne put se marier avec celle-ci en raison du statut de cette dernière, et aurait alors versé des larmes lors de leurs adieux, ce qui est repris dans Bérénice. Pour écrire sa Bérénice, Racine s’inspire fortement de la Tite et Bérénice de Corneille. Racine, qui puise en général ses œuvres dans l’histoire antique ou dans la mythologie grecque, empiète ici sur les « plates-bandes » de Corneille, l’histoire romaine. Ce dernier le vit mal. Toutefois, la pièce reçoit l’accord du roi, et l’Académie