La Valette

intellect traverse siècle croyant et prône indépendance individu par rapport à toutes règles prédéfinies et extérieures à conscience• Héros a été une 1ère fois présenté comme 'épouseur à toutes mains, pourceau d'Épicure et grand méchant homme' par son valet, S.• Suite à remontrance permise de S, DJ se justifie et défend mode de vie fondé sur changement1) Eloge paradoxal de l'inconstance : a. Le thème de la fidélité condamné :• Image fidélité dévalorisante : 'se lie (enchaînement), 1er objet, piquer faux

qu’elle est agacée de savoir qu’il existe une autre femme. MOUVEMENT 2 :· Si Dorante est effectivement amoureux d’Araminte, le valet va tisser un stratagème autour de cet amour afin de le rendre plus intense et émouvant après qu’Araminte L11/12 lui demande d’élaborer sur la première fois où Dorante l’a vue « mais où m’a-t-il vue, avant de venir chez moi, Dubois ? » laissant au valet l’occasion parfaite d’introduire la première fausse

S. , un valet ridicule 1) Montrer qu'il vaut plus qu'un simple valet Importance de la mise en scène : déguisement de S. en médecin → donne illusion de changer de statut soc. Dc + assurance + liberté de paroles particulière permise entre les 2 hô, maître/valet S. profite d'un temps mort → prouver qu'il est capable de penser, former réflexion => convaincre de l'existence de Dieu => cherche respect et non le mépris de DJ => rivaliser ac son maître 2) Un valet qui affirme

qui attend un prétendant qu’elle ne connaît pas, Dorante, pour mieux le connaître décide d’échanger les rôles avec sa servante Lisette. Cependant Dorante fais la même chose avec son valet, Arlequin. Dans cet extrait, Arlequin avoue son statut social et ainsi met fin au jeu suivi de l’aveu de Lisette chez les valets qui s’avouent leur situation et état respectif. Mais comment Marivaux écrit il les révélations d’Arlequin et de quelle manière fait il pour les rendre théâtrales ? Nous l’étudierons

escorté de son valet et sans cesse poursuivit. Cette pièce a été jouée avec succès mais disparait suite à de nombreuses critiques sur son impiété. Elle renait au XXe siècle et connait un grand succès avec l’interprétation de Louis Jouvet en 1947. C’est pourquoi nous montrerons les relations maitre valet selon le plan suivant. Dans un premier temps nous étudierons une relation comique maître et valet et dans un second temps nous verrons le portrait d’un hypocrite. 1_ Relation maitre valet Sganarelle

début de l’acte II qui est marqué par la présence dominante des valets en scène. De façon logique, le jeu a été construit par Mario pour favoriser les vraies confrontations, respectant les conditions sociales. Suite à l’interrompu de Dorante, qui est venu pour réprimander Arlequin, les deux valets en déguise sont laissés à leur confrontation sur scène. Nous tenterons que l’enjeu de ce passage tient à comment à travers le duo des deux valets se joue un conflit sur la question de l’aveu de la circonstance

spectateur. En plus de d’installer une vision utopique de l’ile, l’auteur met en scène deux personnages principaux, stéréotypes des comédies françaises et italiennes. En effet, Arlequin appartient au type des zannis de la commedia dell'arte : c’est un valet spontané, joyeux, apparemment sans méchanceté. Il sauve du naufrage une bouteille de vin qui est un signe extérieur du « bon vivant ». Quant à Iphicrate, c’est un personnage qui appartient davantage au comique français : aristocrate sûr de sa position

du masque et qu’il ressent les blessures de la jalousie. Les valets ont beaucoup des droits des maitres. Ils peuvent à la fois conseiller, moquer ou réprimander leurs maitres. Mais pourtant, les manières du valet et de la suivante sont assez sottes et trahissent leur véritable classe sociale. Ils sont peu ou pas raffinés mais plutôt impulsifs et vulgaires… Les scènes d’amour entre Lisette et Arlequin montrent la bêtise des valets . Ils se préoccupent peu du badinage comme leurs maitres et, lorsqu’ils

jouent la comédie.
 A plusieurs reprises, Arlequin rit. Les rires sont signalés par des didascalies et des onomatopées. C'est essentiellement Arlequin qui fait rire, c'est en effet les personnage bon vivant par excellence de la commedia dell'arte. Le valet est simplement soucieux de ne pas ennuyer les spectateurs et lui-même. L'ennui est symbolisé par le verbe « bailler ». Les rôles sont répartis par Arlequin et Cléanthis. Celle-ci définit son rôle par celui de la coquette, et Arlequin devient son

comme "courrier de dépêches". Puis il convoque son valet "pour le sonder". Mais celui-ci entend la fin du monologue : "…s'il est instruit ou non de mon amour pour Suzanne" et se prépare, en aparté, à la joute : "Nous y voilà". Dès lors, chacun va mesurer son adversaire et l'attaquer pour mieux frapper. L'ancienne complicité du Barbier de Séville se transforme en rivalité, et, un noble ne pouvant se battre avec un roturier, en particulier avec un valet, le duel restera verbal. Etude I- La rivalité