La Vendetta Balzac

Rouge et le Noir A. R. Lesage, Histoire de Gil Blas de Santillane TEXTE 2 H. de Balzac, Le Père Goriot D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 Rétif de la Bretonne, La Paysanne pervertie ANALYSE D’IMAGE G. Courbet, Un enterrement à Ornans TEXTE 3 G. Flaubert, Madame Bovary D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 D. Diderot, La Religieuse ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE G. Flaubert, Madame Bovary TEXTE 1 D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 HISTOIRE DES ARTS H. de Balzac, extrait du Père Goriot G. Courbet, L’Atelier du peintre E. Degas, Repasseuses

Chateaubriand Madame de Staël Romanticism Schools of poetry The Parnassian school Baudelaire Symbolism: the first phase xii CONTENTS Décadisme The Symbolist movement The evolution of Symbolism Post-Symbolism The Symbolist revolution Schools of fiction Balzac Realism Naturalism Literary criticism The press Foreign influences Literature Poetry Lamartine Vigny Hugo Other Romantic poets Gautier Leconte de Lisle Parnassian poets Baudelaire Verlaine Rebels of the 1870s Rimbaud Mallarmé Laforgue Poetry to 1914

coutumier. — III. Le renouveau des droits écrits. Marc BLOCH — La société féodale 4 DEUXIÈME PARTIE : LES LIENS D’HOMME À HOMME Livre premier : Les liens du sang. CHAPITRE PREMIER — La solidarité du lignage : I. Les « amis charnels ». — II. La vendetta. — III. La solidarité économique. CHAPITRE II. – Caractère et vicissitudes du lien de parenté : I. Les réalités de la vie familiale. – II. La structure du lignage. — III. Liens du sang et féodalité. Livre deuxième : La vassalité et le fief. CHAPITRE

abandonnait, c'était moins son tempérament que son destin qui l'y forçait ; - “Don Juan et Faust”, pièce de l’Allemand Dietrich Christian Grabbe (1822) dont les héros deviennent deux Titans assoiffés d'infini ; - “L’élixir de longue vie”, nouvelle de Balzac (1830), dont le personnage, Don Juan Belviderio, représente la tentation satanique du détachement absolu dans la toute-puissance ; - “Le convive de pierre”, pièce de Pouchkine (1830) ; - “Namouna”, conte en vers de Musset (1832) où Don Juan est

abandonnait, c'était moins son tempérament que son destin qui l'y forçait ; - “Don Juan et Faust”, pièce de l’Allemand Dietrich Christian Grabbe (1822) dont les héros deviennent deux Titans assoiffés d'infini ; - “L’élixir de longue vie”, nouvelle de Balzac (1830), dont le personnage, Don Juan Belviderio, représente la tentation satanique du détachement absolu dans la toute-puissance ; - “Le convive de pierre”, pièce de Pouchkine (1830) ; - “Namouna”, conte en vers de Musset (1832) où Don Juan est

(Dieu) ce qui donnerait à l'oeuvre un côté métaphysique. Les personnages attendraient l'arrivée d'un "deus ex machina" qui ne vient jamais. Becket a totalement marqué son désaccord sur cette explication. D'autres ont pensé à  Balzac . Dans "Le Faiseur", les personnages attendant l'arrivée d'un  Monsieur Godeau  pour les sauver de la ruine. Mais Becket a affirmé n'avoir lu cette oeuvre qu'après avoir écrit sa pièce. En 1952

s’accompagne de l’hospitalité généreuse de ses habitants, qui, en suivant les lois antiques de leurs ancêtres, considèrent les hôtes comme des envoyés des dieux. Cette générosité contraste cependant avec quelques traditions plus rudes comme la « vendetta », les sens exacerbé de l’honneur et de la nécessaire vengeance et enfin la passion pour les armes. Maupassant, qui avait visité la Corse lors de la rédaction de cette œuvre, a fait de cette île le centre lumineux de tout le roman, il en a crée

c’est-à-dire que l’on s’ajuste selon le feedback, selon les réponses des autres. Il y a un jeu d’action et de rétroaction. C’est l’implication mutuelle. Rétroaction positive : celle qui accentue le dynamisme communicatif. Exemple : disputes, vendettas… Elle accentue les phénomènes, accélère les changements, facteur positif qui permet au système d’évoluer. Elle ne s’intéresse pas à la sécurité et peut causer la perte du système, facteur à la fois positif et négatif. Rétroaction négative : elle

aisément d'un rythme de lecture à un autre sans que le degré de compréhension en souffre. Un bon lecteur rapide, avons-nous déjà dit, non seulement lit plusieurs dizaines de signes à la fois mais arrive à les saisir tous. Il ressemble à ce personnage de Balzac, Louis Lambert, qui, d'un seul coup d’œil, pouvait appréhender de trois à quatre phrases en même temps et les assimiler. Sans doute l'auteur de La Comédie humaine exagérait-il les performances visuelles et intellectuelles de son héros (qui était à

petit avantage supplémentaire : la dernière phrase du texte suit le point de vue interne : on peut ainsi faire comprendre la différence des deux points de vue par contraste, et annoncer l’étude du texte suivant dans le manuel, extrait du roman de Balzac, Le Père Goriot. Le texte donné en écho, de Jean Echenoz, date de la même année que celui de Jean Vautrin. Il utilise les mêmes ressources (point de vue majoritairement externe) pour relater une situation similaire : le lecteur est cependant moins