La Verite Est Elle Une Ou Plurielle

d'attention et de sollicitude même si la Comtesse parle d'égale, Suzanne, elle, conserve le respect dû à la comtesse : terme : « Madame » vouvoiement => Suzanne ne profite pas de la situation et reste consciente de la différence sociale Suzanne dit la vérité à la Comtesse à propos du Comte, mais elle dédramatise pour ne pas la faire souffrir : elle change de verbe : « (la Comtesse) il voulait te séduire » « (Suzanne) il voulait m'acheter » => réduire l'attitude du Comte à un simple marchandage elle accompagne

l'importance des contraires comme stratégie argumentative et cela pour atteindre une « Vérité Totale ». Les destinataires semblent être les libertins qu'il veut amener à la fois. La seule vérité réside en Dieu. Introduction à l'œuvre Le Titre Le mot « penser » vient du mot réfléchir. Il amène une portée Universelle aux propos. Il met en avant la diversité des thèmes par le pluriel et il implique une lecture non linéaire. C'est une collection de fragments hétérogènes

Possibilité de mettre le temps en défaut 1. Lutter contre le temps grâce à l’Art (ici, la poésie) • Immortalité du poète : chp lexical musique, poésie ; accumulation de participes présents v2 et 3, d’où assonance en [an] -> équivalent présent de vérité générale (+/-) ; évocation de Ronsard par lui-même, répétition de son nom v. 4 et 7, positions remarquables, soit en début de vers puis à la césure ; célébrité jusqu’auprès de la servante, antithèse « sommeillant »/« réveillant », tournure en négation

pourrait croire que ce texte est un discours exhortant le peuple à se soulever contre un monarque absolu, dans le style des Lumières, qui n’arriveront que bien plus tard. A.   Un discours adressé au peuple -          Omniprésence du récepteur, 2e pers pluriel « vous » : « vous » collectif désignant le peuple, « vos »… A peine trois lignes u texte ne comportent pas ce pronom. -          Peuple apostrophé dès la première ligne, par trois périphrases : o   « pauvres gens misérables » : peuple caractérisé

être égocentrique a)L’égocentrisme Trait central du personnage : l’égocentrisme, marqué par la reprise anaphorique du pronom « il » dans la plupart des phrases. Cela est renforcé par l’opposition entre le terme singulier « il » et les termes pluriels comme « conviés », « autres », « tous les hommes ». Dans la première phrase, le début est marqué par l’unicité puis on bascule au contraire dans l’universalité « tous les hommes ». Cette opposition, marquée dès le début du texte, et renforcée par

1) Champ lexical du "baiser" + champ lexical de "l'alcool' ..........-> Le jeune homme cherche avant tout le plaisir : filles, alcool.     .....2) Majuscule ("vos sonnets La font rire") + pronom personnel sujet "elle" + opposition singulier/pluriel ("tous vos amis" vs "l'adorée") ..........-> L'être aimé devient tout, elle porte la majuscule divine (cf. majuscule à "Dieu"), et surpasse les amis. La fille est le plus important.     .....3) Champ lexical de "l'odorat" et de 'l'ouïe" + ponctuation

les dieux parlent  ». Métaphore qui présente la ville comme grandiose. D’emblée l’intention de glorification, de célébration est visible. Elle est comme une ville élue par tous les dieux, elle résonne de divinités, comme le montre le pluriel des groupes nominaux. D’emblée le spectateur est introduit dans la lumière de Tipasa. Le texte s’ouvre avec le complément circonstanciel de temps «  Au printemps  » indiquant le moment de la découverte

directif. Cela se justifie par son omniscience en ce qui concerne l'art poétique, comme le souligne le verbe de savoir "j'en sais", l'emploi du pluriel, qui dénote l'ampleur de sa connaissance. L'utilisation du présent de vérité général, de groupes nominaux globalisant "les grands poètes" apparente ses conseils à des dogmes. L'emploi de la première personne du pluriel "nous rend" ainsi que la démonstration poétique de son art à laquelle elle se livre grâce au récit enchâssé en alexandrins, prouve qu'il

Ils ont chacun leur chance. Chacun est un pronom indéfini qui n’a JAMAIS de pluriel. Comme aucun également. Mais, on pourra dire pourtant : Sans aucuns frais. C’est une tournure exceptionnelle. Je leurs ai dit leurs quatres vérités. Je leur ai dit leurs quatre vérités. Quatre est invariable donc pas de S. Pour leur, il n’y a pas de S non plus car son orthographe est fixe. Le pronom personnel est déjà au pluriel, même sans le S. J’ai été à Paris. Je suis allée à Paris. On préfère car

féminisation qui est un moyen de lutter contre l’invisibilisation historique.II. Article 1 et 2 Rétablir la présence « de la femme » qui s’oublie derrière le pluriel « les hommes » avec le singulier + la majuscule (l.104) « Nait libre et demeure égale » (l.104) rythme binaire, liberté et égalité qui sont des verbes d’état, un présent de vérité générale c’est une valeur de négation exceptée avec « ne…. Que » Initialement = concession = il y a des distinctions sociales mais juste.Ici glissement : abolition