La Vérité nue

conventions : la femme nue n’est pas une divinité, c’est une femme en tant que telle, or toute femme nue dans un tableau devait être une divinité. Ce qui est également nouveau c’est que la femme fixe le spectateur, il y a comme un échange entre la peinture et celui qui l’observe. Cette œuvre a un rôle majeur, elle relève d’une expérience issue de la sensation. C’est une représentation illusionniste (=monde tel qu’on le perçoit nous-mêmes) avec un détachement. Ce n’est pas nier la vérité, c’est la présenter

C'est le grec Ésope (fabuliste du VIIe-VIe siècle av. J.-C.) qui est considéré comme le fondateur du genre. « Une morale nue apporte l’ennui, le conte fais passer le précepte aveclui » affirme La Fontaine. L’apologue serait-elle la meilleure façon de faire adhérer autrui à des thèses ? Une histoire fictive exprimerait donc une vérité générale, ainsi le mensonge exprimeraitune vérité ? Nous verrons dans un premier temps en quoi l’apologue nous fait adhérer autrui aux thèses des auteurs, dans un second

Sujet : « Une morale nue apporte l’ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui. » Jean de La Fontaine (1621/1695). Vous expliquerez et discuterez cette définition de l’apologue (fable ou conte) en vous appuyant sur les textes du corpus et d’autres apologues que vous connaissez. Au XVII siècle se développe un mouvement d’auteurs français qui transmettent les morales qu’ils veulent faire entendre au lecteur à travers des contes ou des fables. Ils s’appuient donc sur des situations détournées

le grec Ésope (fabuliste du VIIe-VIe siècle av. J.-C.) qui est considéré comme le fondateur du genre. « Une morale nue apporte l’ennui, le conte fais passer le précepte avec lui » affirme La Fontaine. L’apologue serait-elle la meilleure façon de faire adhérer autrui à des thèses ? Une histoire fictive exprimerait donc une vérité générale, ainsi le mensonge exprimerait une vérité ? Nous verrons dans un premier temps en quoi l’apologue nous fait adhérer autrui aux thèses des auteurs, dans un second

dans une deuxième partie, nous procèderons à l'interpretation. La toile représente une femme nue allongée sur un divan turquoise recouvert de draps blancs. Son visage angélique dénué d’expression est à la fois de face et de profil et est tourné vers le spectateur. Pour recrée la beauté et la sensualité, Ingres a peint un nu aux lignes allongées telle une arabesque sans tenir compte de la vérité anatomique: on remarque en effet son cou qui se tourne vers nous dans un 180° improbable tandis que

Odalisque Le mot Odalisque, désigne une femme de harem: sont donc présents des éléments et objets divers évoquant cette dimension orientale, comme un éventail, des bijoux ou un turban. Ingres peint une femme nue vue de dos selon l'archétype de l'époque. C'est-à-dire sous la forme d'une femme nue offerte aux regards se prélassant de façon lascive. On remarque au premier abord le dos particulièrement long (trois vertèbres supplémentaires sont présentes) et l'angle peu naturel formé par la jambe gauche

LIBERTE Poésie et Vérité, 1942 - Paul Eluard INTRODUCTION Pendant la guerre, engagé dans la Résistance, Paul Eluard participe au grand mouvement qui entraîne la poésie française, et le poème Liberté ouvre le recueilPoésie et Vérité paru en 1942. Les textes qui forment ce recueil sont tous des poèmes de lutte. Ils doivent entrer dans la mémoire des combattants et soutenir l'espérance de la victoire : comme on le faisait pour les armes et les munitions, le poème Liberté à été, à l'époque, parachuté

Question : A quoi servent les fables ? Ce corpus est constitué de deux textes, qui sont, plus particulièrement, des fables. Ces deux textes sont «La fable et la Vérité» écrite par Florian en 1792 et «Les grenouilles qui demandent un roi» (Livre III, Fable 4) écrite par Jean de La Fontaine en 1668. Il s'agira ici de montrer quelle est l'utilité des fables. Dans un premier temps, nous montrerons leur pouvoir divertissant. Puis, dans un second temps, nous étudierons leur fonction didactique

et la beauté de ce texte résident sans doute dans ce subtil mélange entre douceur et conviction, et la voix de Desnos prend pour nous un aspect d'autant plus fort et pathétique que l'on sait comment il paya très cher cet acte de courage. Sur la vérité physique
 J'écris ton nom 

Sur les sentiers éveillés
 Sur les routes déployées
 Sur les places qui débordent 
J'écris ton nom 

Sur la lampe qui s'allume 
Sur la lampe qui s'éteint
 Sur mes raisons réunies
 J'écris ton nom

 Sur le fruit

plus attrayants, et donc mieux retenus par les enfants, que ne le seraient des manuels de savoir-vivre tels qu'en lisaient les bourgeois au XIXème siècle. La Fontaine l'a par ailleurs clairement exprimé dans la préface de ses Fables : « Une morale nue apporte de l'ennui. Le conte fait passer le précepte avec lui ; En ces sortes de feintes il faut instruire et plaire Et conter pour conter me semble peu d'affaire. » Dans un autre registre, mais dans un but semblable, les paraboles bibliques, en