La Verité Exclut Elle Toute Croyance

L’Histoire Une science humaine L’histoire, du grec istoria : enquête, dans son sens usuel rassemble toutes les connaissances relatives au passé de l’humanité. Cette discipline s’apparente à une science par sa rigueur et son exigence de vérité. Mais si l’histoire est une science, ce n’est pas une science exacte mais une « science humaine », c’est-à-dire une science dont l’objet est l’homme. Or le comportement des hommes ne peut être étudié ni rapporté comme ceux d’une planète ou d’une molécule de

Marquait par la vie conventuelle jusque dans ses habitudes, elle sera toujours une « déplacée ». On observe dans ce roman que Suzanne a été une bonne religieuse, mais l’univers claustral le rendait folle. Selon Suzanne l’être humain pouvait garder sa croyance sans entrer au couvent, car l’homme est né pour être libre : « L’homme est né pour la société, séparez-le, isolez-le, ses idées se désuniront, son caractère se tournera, mille affections ridicules s’élèveront dans son coeur, des pensées extravagantes

animisme). La religion ou les religions ? Non seulement il y a de nombreuses formes de religiosité, mais encore il existe des approches multiples du « fait religieux ». D’un point de vue sociologique, on nomme « religion » l’ensemble des croyances et des pratiques relatives à un domaine sacré séparé du profane, liant en une même communauté morale tous ceux qui y adhèrent, et manifestant sous des formes très diversifiées les rapports des hommes à Dieu, au divin ou au sacré. Quant à la philosophie

prises dans La doctrine de Port-Royal La morale (d’après Arnauld) de Jean Laporte 1/ La loi de Dieu Le janséniste doit rigoureusement respecter la Loi de Dieu, celui qui ne la respecte pas ne pourra pas être sauvé. Celui qui viole un précepte viole toute la Loi. Le christ est venu accomplir la Loi et c’est lui qui donne le secours nécessaire pour que l’homme puisse l’accomplir. Une action pour être morale doit être en accord avec la loi naturelle et à la conscience. Il faut toujours suivre la voie

de l’absurde. Un raisonnement absurde renferme une contradiction interne, alors qu’un raisonnement faux n’est pas nécessairement contradictoire. 6 Pour l’existentialisme, l’absurde est un concept central. Il caractérise l’existence qui échappe à toute tentative de justification et à laquelle il est impossible de donner un sens ; (Le mythe de Sisyphe d’Albert Camus) 7 La démonstration par l’absurde consiste à prouver de manière indirecte qu’une proposition est vraie en montrant que sa négation

serait dès lors la limite ? Elle ne résiderait plus que dans le fait que chaque acte définit l’homme et que celui-ci aurait pour seule notion de valeur de ses actes que l’idée de ce qui se passerait si tout le monde faisait comme lui. Une question toute personnelle : est-ce que ce n’est pas là la raison d’être essentielle de la morale ? 2. Le contexte Sartre donne cette conférence au lendemain de la guerre en pleine époque où la bourgeoisie et les gens « biens pensants » utilisaient le terme d’existentialiste

Formulation qui fait de l'idée une idée très catégorique avec l'emploi de (l.1) « aucun » ; (l.1-2) « droit » répétition du mot qui accentue le fait que l'autorité n'est pas naturelle puisqu'elle vient d'un droit ; (l.2) « chaque individu » ; (l.6) « Toute autre autorité » Il y a ici une double formulation du postulat : • Une réfutation :(l.1) « aucun homme n'a reçu de la nature le droit de commander aux autres » • une affirmation : (l.2-3) « la liberté est un présent du ciel, et chaque individu

Formulation qui fait de l'idée une idée très catégorique avec l'emploi de (l.1) « aucun » ; (l.1-2) « droit » répétition du mot qui accentue le fait que l'autorité n'est pas naturelle puisqu'elle vient d'un droit ; (l.2) « chaque individu » ; (l.6) « Toute autre autorité » Il y a ici une double formulation du postulat : Une réfutation :(l.1) « aucun homme n'a reçu de la nature le droit de commander aux autres » une affirmation : (l.2-3) « la liberté est un présent du ciel, et chaque individu de

l'expérience, la voir, percevoir toute son atmosphère. Quand vous voyez sa beauté et sa fraîcheur, vous éprouvez un renouvellement, une intensification de joie. La plupart des personnes qui pensent chercher la vérité ont déjà préparé leurs esprits à la recevoir en étudiant des descriptions de ce qu'elles sont en train de chercher. Quand vous examinez les religions et les philosophies, vous voyez qu'elles ont toutes essayé de découvrir la vérité ; elles ont essayé de décrire la vérité afin de vous guider. Je

du problème du désir se joue toute une conception de l’homme, de son rapport au monde dans lequel il vit, du sens même de son existence. Maîtriser ses désirs, est-ce pour l’homme la seule voie vers la liberté, ou y a-t-il d’autres voies vers la liberté ? Après nous être interrogé sur les conséquences d’une définition du désir comme manque et aspiration vers l’objet capable de le combler, nous chercherons à savoir si cette conception du désir comme privation épuise toute la réalité du désir, ou si