La Verrière

(page 11) l’intérêt documentaire (page 17) l’intérêt psychologique (page 27) l’intérêt philosophique (page 45) la destinée de l’œuvre (page 48) l’étude d’un passage (page 50). Bonne lecture ! Résumé Première partie Chapitre 1 : Présentation de Verrières, petite ville de Franche-Comté. Chapitre 2 : En 1830, son maire est l’ultraroyaliste M. de Rênal. Chapitre 3 : Le curé est le vieil abbé Chélan. M. de Rênal décide d'engager comme précepteur de ses enfants Julien Sorel, le fils d’un charpentier

marquise : 173 mètres
Longueur y compris marquise : 188 mètres
Largeur : 75 mètres Le hall sous la nef : Longueur : 138 mètres
Largeur : 40 mètres
Hauteur : 32 mètres Les matériaux : 12 000 tonnes de structures métalliques
35 000 m2 de verrières et de parois vitrées
30 000 m2 de pierres de Buxy (Bourgogne) pour le revêtement des sols et des murs
1 600 caissons à rosaces en staff Le musée : Surface utile : 57 400 m2
Salles de présentation des œuvres : 16 853 m2, soit 80 salles ou galeries

charpente constituant le bâti d’une construction) de Verrières, dans le Jura. Il est battu par ses frères et son père qui lui reprochent son inaptitude au travail physique et son désir de s’instruire. Frustré, Julien rêve de faire une carrière dans l’armée, mais son origine sociale trop humble en ces temps de réaction (Stendhal situe l’histoire de son héros sous la Restauration) l’oblige à opter pour la carrière ecclésiastique. Le maire de Verrières, M. de Rênal, fait entrer Julien à son service comme

espaces du musée afin de pouvoir accueillir les œuvres. Le musée fait donc au total approximativement 17 000 m2 d’espace d’exposition et dispose d’un éclairage naturel dû à sa grande verrière, véritable chef-d’œuvre. Ce n’est qu’en décembre 1986 que le Musée d’Orsay ouvre ses portes au public. La Grande Verrière du Musée d’Orsay Entrée du Musée d’Orsay C’est donc une période spécifique qui à été choisie dans un seul lieu au lieu que ces mêmes œuvres soient dispersées dans

Explication linéaire extrait 1 de Stendhal Stendhal, Le Rouge et le Noir (1830) Livre premier, chapitre VI Situation : Julien est engagé par M. de Rênal, le maire de Verrières, comme précepteur de ses enfants. Après une visite à l’église de Verrières à la fin du chapitre V, Julien se présente à la porte de ses futurs employeurs. C’est ainsi qu’il va faire la connaissance de Mme de Rênal. Avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles quand elle était loin des regards des hommes,

(via le Grand Projet de Ville GPV et le Programme de Rénovation Urbaine PRU) a permis de modifier l’image du quartier en proposant une offre diversifiée d’habitat ainsi que de nouveaux équipements publics, le réaménagement du centre commercial La Verrière, l’installation de la vidéo-protection et l’aménagement de la Rue René Bazin. Cependant certains espaces publics pourraient faire l’objet d’une attention particulière notamment en s’appuyant sur l’étude de l’usage de ceux-ci par les habitants

les premiers Grands Magasins en introduisant de nouvelles pratiques commerciales remettant en cause les usages traditionnels. Les Grands Magasins sont des foyers de perpétuelle innovation. Outre leur audace architecturale (poutrelles métalliques, verrières, béton armé), ils modifient profondément les relations entre les clients et les fournisseurs. On y trouve des prix fixes. On y entre et circule librement. On peut même y échanger une marchandise. Et pour séduire le client, il s'y passe « tous les

prépare des structures d'aluminium ou autres, façonne des verres puis assemble et pose l'ensemble sur place. Verrières Poser du verre en toiture nécessite des échaffaudages conséquents et des techniques particulières. Les verres sont toujours des produits de sécurité (verres trempés ou feuilletés) avec la prise en compte de l'effet thermique (protection contre la chaleur ou le froid). La verrière doit répondre à des exigences spécifiques en terme d'étanchéïté, d'écoulement des eaux de pluie, etc. Façades

paysan ambitieux et arriviste. 
II - Résumé de l’œuvre 
Julien Sorel est un charpentier de 19 ans parlant couramment le latin et connaissant la bible par cœur grâce au curé Chélan. Il entre comme précepteur chez M. de Rênal, maire de la ville de Verrières. Il fait son éducation sentimentale en séduisant Mme de Rênal. Leur relation secrète dévoilée, il part faire ses études au séminaire de Besançon pour devenir prêtre. Le directeur du séminaire, l’abbé Pirard, le protège et lui propose d’être le secrétaire

Stendhal multiplie les petits événements à Verrières, chez les Rênal, ou à Paris, à l’hôtel de La Mole. Ils n’ont d’autre intérêt que de mettre en lumière les variations dans la conduite du héros Julien Sorel, affrontant la haute société. Stendhal sait aussi construire une « aventure » émouvante dans les derniers chapi- tres du roman, à partir du coup de feu tiré par Julien sur Mme de Rênal. Mais ce qui importe, c’est moins le procès de Julien à Verrières, les démarches de Mathilde de La Mole pour