La Vie à une

Sur un plan personnel, suis-je prêt dans ma vie à vivre l’expérience du pardon ? Pardonner aux autres et pardonner aussi à moi-même. Nous pouvons donc vivre l’expérience du pardon en pardonnant, en étant pardonné ou en se pardonnant à soi-même. Mais qu’est-ce que pardonner et est-il légitime de ne pas tout pardonner ? Ne faut-il pas refuser de pardonner pour réveiller le sens de la responsabilité chez l’autre ? Qui sommes-nous pour pardonner ? Qui sommes-nous pour ne pas le faire ? Pardonner serait

pouvant servir à l‟alimentation du bétail. A revenu mensuel, l‟hévéa concerne aujourd‟hui 30 millions de personnes et en fait vivre quatre fois plus. La consommation de son produit est en plein essor. Des facteurs jouent en faveur d‟une croissance de la demande dans les années à venir, aussi le caoutchouc naturel résiste très bien à la concurrence du caoutchouc synthétique Eu égard à ce qui précède, des cadres et des paysans de Tiassalé se sont unis pour créer la coopérative Vie en vue de sensibiliser

indiens l'achat de leurs terres. "Nous savons au moins ceci : la terre n'appartient pas à l'homme ; l'homme appartient à la terre. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. Ce n'est pas l'homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil. Tout ce qu'il fait à la trame, il le fait à lui même." Il est important de replacer cette phrase dans son contexte. Elle a été prononcé au moment d'un choc de culture entre les indiens d’Amérique qui avaient une culture

Dans quelles mesures l’organisation et la vie publique de la France actuelle sont elles conformes à l’idéal démocratique ? Intro : Idéal démocratique : Suivant la définition classique d’Abraham Lincoln : «  La démocratie est le gouvernement du peuple, par le peule et pour le peuple », selon W. Churchill elle est « le pire des régimes à l’exception de tous les autres ». C’est un régime ou ni un individu ni un groupe ne s’approprie le pouvoir mais l’idéal démocratique vise plus encore : un peuple

que le personnage d’Alexandre du livre Carnet de Naufrage cherche un sens à sa vie pour deux raisons : ses nombreux voyages, ses nombreuses conquêtes amoureuses. Du côté des voyages, il y a premièrement la façon dont le personnage traite le trajet. En effet, le personnage montre à plusieurs reprises qu’il aime la route : « Toujours aimé la route. […]Il y a une plénitude dans cela ; pendant le trajet, l’existence se résume à deux compteurs, trois jauges et quelques geste élémentaires » (page 34). Dans

ferait-elle office de seconde vie ? Malgré quelques contradictions, la lecture bien utilisée permet une évasion, une liberté, une délivrance éphémère sur les problèmes quotidiens de la vie. Un jour, Marcel Proust a dit : «la lecture est au seuil de la vie spirituelle, elle peut nous y introduire : elle ne la constitue pas». Pour entrevoir la lecture comme étant une seconde vie, nous nous mettons à la place d’un des personnages de l’histoire que nous lisons. Nous vivons à sa place, nous ressentons

Dissertation : Un roman doit-il, selon vous, refléter la vie ou bien au contraire permettre d’échapper à la réalité ? Le roman est un genre littéraire écrit sous la forme d’un récit en prose. Il se définit d’abord comme un récit devant être fictionnel, mais les auteurs ont très vite compris l’intérêt de rattacher leur histoire à la réalité. Le roman est très souvent imaginé par son auteur qui cherche à susciter l’attention de son lecteur par l’originalité ou par la peinture de la société de son

DISSERTATION En quoi le fait d’évoquer la vie des peuples « barbares » nous amène-t-il à réfléchir sur nous, peuples « civilisés » ? La notion de barbarie est fréquemment associée à celle de civilisation. Le barbare est le non civilisé tout comme le civilisé est le non barbare. Mais alors, qu’est-ce qu’être barbare ? Et qu’est-ce qu’être civilisé ? « Il n’est pas un signe ou un acte de civilisation qui ne soit en même temps un acte de barbarie » disait Edgar Morin. Les termes de « barbare » et

Le Joueur d’échecs (en allemand Schachnovelle) est une nouvelle de Stefan Zweig publiée à titre posthume en 1943. L'auteur l'écrivit durant les quatre derniers mois de sa vie, de septembre 1941 à son suicide, le 22 février 19421. La traduction française parut en Suisse en 1944 et fut révisée en 1981 sans nom d'auteur2. Sur un paquebot s’opposent deux champions d’échecs que tout sépare : le champion du monde en titre, d’une origine modeste mais tacticien redoutable, et un aristocrate qui n’a pu pratiquer

Dissertation Sujet : Si l’image, de nos jours, supplante le texte, c’est que la vie sensorielle tend à prendre la place qu’occupait la vie intellectuelle. R. HUYGHE Problèmatique : Les hommes ont ils, à l’heure actuelle, plus tendance à se divertir via leurs sens, leurs émotions et leurs ressentis physiques que via la réflexion et l’intellect dont ils sont capables ? Les hommes ont toujours cherché à se divertir. Les activités servant au divertissement prennent différentes formes en