La Vie claire

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Paul VERLAINE (France) (1844-1916) 730/09/Sep/200712:27 [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Clair de lune’’, ‘’Il pleure dans mon cœur’’, ‘’Art poétique’’). Bonne lecture ! Il est né à Metz, le 30 mars 1844, du capitaine Nicolas-Auguste Verlaine et d’Élisa Dehée. Enfant, il ne souffrit pas des fréquents changements de garnison de son père, car il était aimé

l’étude du monachisme féminin, c’est qu’elle fournit une image fiable de la condition féminine de l’époque3. Il est clair que les sources traitant de la condition des femmes ont été rédigées par des hommes4. Ces ouvrages sont le plus souvent des récits hagiographiques, ou des récits de vie considérés comme « utiles », dignes d’être pris comme modèles5. Il n’y a que peu de références à la vie des religieuses dans les chroniques ou autres textes d’historiens6, mais le peu de textes qui en parlent s’arrête

Analyse publicité Hermes. La vie comme un conte. Phase 1: Description des formes/ couleurs/ luminosité et texte. Les formes Formes en arrondis et en angles. Le fond de l'image est opaque nous voyons juste la présence d'une lune dont la forme est en demi cercle et qui se termine par des pointes. Le modèle est une femme masquée, elle occupe l'espace central de la publicité. Son visage est anguleux, fin et creusé, ses yeux sont en amande accentués par les ouvertures du masque qu'elle porte

mystique aliment qui ferait leur vigueur? - Ô douleur! ô douleur! Le temps mange la vie, Et l'obscur ennemi qui nous ronge le coeur Du sang que nous perdons croît et se fortifie! Dans ce sonnet, on voit combien Baudelaire annonce le symbolisme: symbole: la jeunesse est un "orage", on remarquera l'abondance des images (métaphores et comparaisons) rêve "fleurs nouvelles", "mystique": refus de la banalité de la vie S'ajoute la notion essentielle de Baudelaire, en opposition à l'Idéal: le Spleen

symbolisent l’éternel printemps identifié à l’Amour. Les quatre éléments sont représentés : l’Air du souffle de Zéphyr, qui attise le Feu de l’amour ; l’Eau de la mer, lieu des transformations, des renaissances et de la vie, la Terre, symbole de la fonction maternelle, qui donne et reprend la Vie, emblème de Fécondité. Lecture du réalisme Les habits sont peints avec énormément de détails, on peut voir énormément de plis. La Vénus est parfaite, son visage n’a aucune imperfection, aucune ride. Botticelli

synonymes dans la vie de tous les jours, deux actions que certains de nous qualifient même d’équivalentes : « Exister » et « Vivre ». Exister*: Être actuellement en vie, vivre. Existence*: C’est le fait d’être, d’exister. Vivre*: Être vivant, en vie. Avoir ou se procurer les moyens de se nourrir, de subsister. Exister durablement. Le problème dans la question « Exister est- ce simplement vivre ? », est de savoir si l’on peut réduire la notion d’existence à simplement celle de la vie ou si au contraire

(1811-1872) 5) Paul Verlaine (1844-1896) 6) Charles Baudelaire (1821-1867) 7) Léon Pamphile Le May (1837-1918) III/. Les œuvres : 1) Claire de lune, de Victor Hugo- Les Orientales. 2) La lune, de Théodore de Banville. 3) Ballade à la lune, d’Alfred De Musset. 4) La Lune, de Théophile Gautier. 5) Claire de lune, de Paul Verlaine- Fêtes galantes. 6) Tristesse de la lune, de Charles Baudelaire. 7) A la lune, de Léon Pamphile Le may. II/.Biographies

Observateur nostalgique, il se situe au niveau des plus hautes montagnes que l’on voit poindre à l’horizon, au travers d’une atmosphère embrumée qui même si elle semble légère, est pourtant tellement présente. Point de végétation, encore moins de vie animale : nous voilà seuls avec nous-mêmes, face à ce monde difficile, où la faiblesse se révèle soudainement perceptible en toute chose. « Le voyageur contemplant une mer de nuages » n’en reste pas moins une œuvre au paysage éthéré, à la nudité étonnante

mon plus clair jour. Tant que mes yeux pourront larme épandre est un sonnet lyrique en décasyllabes écrit par Louise Labé, l’une des plus grandes femmes de lettre de la Renaissance française. Il fut publié en 1555. Fruit d’une éducation humaniste, Louise Labé est la première féministe de l’histoire et en tant que tel, elle revendiqua pour les femmes le droit à l’éducation et à l’indépendance de pensée. Elle fréquenta les cercles mondains de Lyon où elle mena une vie libre.

Ce poème sert à exprimer l’énergie qui restait en lui avant de mourir. Le premier thème abordé est la fuite du temps. Le début de son poème décrit une fin de journée ( «  Quel couchant douloureux nous avons eu ce soir » Ligne 1) comme une fin de vie marquée par l’adjectif «  douloureux ». Il nous fait aussi ressentir les saisons en commençant par l’hiver, une période froide, déprimante dans laquelle il se trouve ( «un vent de désespoir » ligne 2) , évoquant la mort avant la renaissance du printemps