La Vie Dans Les Tranchées 14 18

elle paraît éclairer en priorité le cadavre pourrissant et accueille les soldats montant au front. Dans cette œuvre, Otto Dix utilise principalement des nuances de brun et de rouge. La couleur dominante est le brun, brun de la terre, des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le peintre choisit le rouge car c'est une couleur organique, celle du sang, mais aussi pour sa valeur symbolique. En effet, dans notre culture, le rouge symbolise la violence et la mort.

Guerre mondiale s'élèvent à environ 18,6 millions de morts. Ce nombre inclut 9,7 millions de morts pour les militaires et 8,9 millions pour les civils. Avec 1 700 000 victimes, la France sort moralement terrassée de la Première Guerre mondiale. Le 14 juillet 1919, c'est une armée victorieuse mais éclopée qui défile sur les Champs Elysées. Quant aux morts, on s'interroge sur leur sort: faut-il rendre les corps aux familles? Doit-on plutôt les rassembler dans des cimetières militaires, là où ils sont

A- L'experience du combat La 1er GM : une rupture ds la maniere de combattre : -une experience de masse : 70 millions de soldats mobilisé, certaine classe d'ages st mobilisé à 90% les limites d'ages sous le drapeau st repoussé vers le bas (18 ans et 17 ans pr les volontaires -l'uniforme change : au 19e s et en 1914 l'uniforme du soldat doit etre esthetique avc d couleur, d parti brillante, cet uniforme laisse place à un uniforme plus discret ''bleu horizon'' = le soldat doit etre invisible

circonstances s’est produit l’accident qui a laissé Mathilde handicapée ? 8. Mathilde a deux passions dans la vie (hormis Manech) : lesquelles ? 9. Pourquoi Aristide Pommier n’a-t-il pas tout de suite raconté l’histoire de Manech, lorsqu’il est rentré de la guerre ? 10. Quel est l’espoir auquel se raccroche Mathilde, qui lui laisse tellement penser que Manech est peut-être encore en vie ? 11. Quel est l’ « endroit secret » de Mathilde et Manech ? 12. Au cimetière d’Herdelin, que remarquent

tard au cinéma.PRESENTATION DE L’HISTOIRE ET DES PERSONNAGESDès les premières lignes du livre on découvre que l’on va avoir affaire à une histoire étrange : un soldat qui a vécu la guerre sans la faire vraiment : « La Guerre de 14, je ne l’ai pas connue. Je veux dire, la tranchée boueuse, l’humidité qui transperce les os, les gros rats noirs en pelage d’hiver qui se faufilent entre les détritus informes, les odeurs mélangées de tabac gris et d’excréments mal enterrés… ».En effet, Adrien Fournier, 24

1916 pour son roman, Le Feu. Il s’engage volontairement dans la guerre, à 41 ans et combat en première ligne pendant deux ans. Il assure le poste de soldat puis celui de brancardier. Dans son roman d’inspiration autobiographique Le Feu il raconte la vie quotidienne d’une escouade de fantassins, deux ans après le début de la guerre. L’auteur met en scène un personnage ayant vécu plus ou moins la même histoire que lui. Dans quelle mesure ce texte dénonce-t-il la guerre ? Dans une première partie, nous

La première Guerre Mondiale a débuté par une histoire de crime. L’héritier d’Autriche-Hongrie est assassiné à Sarajevo par un Serbe le 28 juin 1914. Par le jeu des Alliances, l’Europe entre en guerre jusqu’au 11 novembre 1918. Cette guerre coûte la vie à dix millions de soldats. La seconde Guerre Mondiale a débuté par un conflit idéologique. Ce conflit oppose l’Axe (Allemagne, Italie et Japon) aux Alliés (France, Royaume-Uni, URSS et Etats-Unis). Il prend fin en Europe le 8 mai 1945, puis s’achève

allemands doivent se battre sur 2 fronts. La guerre se stabilise et les plans échouent. B. L’enlisement du conflit. 1. La guerre de position (1915-1916) Quoi qu’il arrive il faut tenir. Et sur 700km on va creuser des tranchées où les soldats s’enterrent. Les tranchées sont en zig zag pour se protéger des obus et des mitraillettes. Les troupes vivaient dans ces trous dans des conditions lamentables (rats, boue, inconfort, gaz asphyxiants…) Les périodes d’assaut sont particulièrement craintes

style ensorcelant de l'auteur apparaît comme un décalque de cette fuite en avant du désespoir. Christian Lacroix nous raconte la vie d'un Portugais, Bernardino ; une existence raturée par les coutumes religieuses d'une communauté portugaise expatriée , hachurée par une mentalité ancestrale qui a cessé de jouer son rôle de trompe l'œil des traîne-misère. Bref, une vie faite de ratés. Un récit encadré. Les bornes de l'œuvre, émaillés d'une comptine, pudiquement, vitrifient l'image de ces deux

les empereurs ont la totalité et la réalité du pouvoir. En Russie le tsar est un empereur ayant concédé l'élection d'une assemblée : la douma. Celle-ci n'a aucun pouvoir réel. L'empire Ottoman est dirigé par un sultan au pouvoir absolu. Mais avant 14, cet empire est déliquescent. Les relations diplomatiques entre les puissances européennes. Les familles régnantes ont le plus souvent des liens de sang entre elles. Ces relations dynastiques furent néanmoins insuffisantes pour faire face