La Vie Des Poilu

blessures béantes, la tête fracassée, les entrailles pendantes, les blessés avec leurs attitudes suppliantes, leurs appels suprêmes… Ils doivent décrire la vie horrible du poilu dans la tranchée, dans la boue, dans la fiente, souligner la promiscuité infâme de cette existence souterraine parmi les rats, les poux… Il faut dépeindre aussi la vie du blessé à l’hôpital… la jambe d’un camarade dans un panier derrière un rideau qu’on a oublié de tirer… raconter les souffrances morales de l’homme enlevé

soldats avec une reprise en main des questions militaires par le gouvernement. Chanson de Craonne : Le ressentiment et le désespoir des poilus s'exprime dans la Chanson de Craonne, sur un air de bal-musette. Soulignons que cette chanson a été écrite et popularisée dans les milieux pacifistes après la Grande Guerre et n'a jamais été entonnée par les poilus. Quand au bout d'huit jours, le r'pos terminé, On va r'prendre les tranchées, Notre place est si utile Que sans nous on prend la pile.

Le passé c’est retour Aujourd’hui 11 Novembre jour de commémoration en France. Plus de poilus en vie pour témoigner. Le premier volet de la saga « guerre mondiale » est près d’un siècle derrière nous et bien d’autres conflits nous ont atteints depuis. Alors au 12.45 de M6 on entend à nouveau la question « faut-il continuer les cérémonies du souvenir ce jour là ? » Et là j’entends mon voisin un homme respectable de 70 ballets, il vocifère, et clame à plein poumon « comment peut-on seulement y songer 

Julien ZENNER 3°2 - Année 2013 SOMMAIRE 1. La Guerre ; Otto Dix 2. Verdun ; Félix Vallotton 3. Parole de Poilus ; Lettres de soldats 4. C’était la guerre des tranchées ; Tardi Casterman 5. Capitaine Conan ; B. Tavernier 1. La guerre ; Otto dix La guerre, Otto dix 1. Identité de l’œuvre : * Le tableau a été peint par Otto Dix entre 1929 et 1932. * Cette œuvre n’a été exposée qu’une seule fois à Berlin en 1938. * Considérée comme « dégénérée

l'horreur déjà représentée dans son oeuvre. DESCRIPTION I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

à l'horreur déjà représentée dans son œuvre. DESCRIPTION I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

Renaissance: La retable d’Issenheim de Mathias Grünewald. La couleur : Dans cette œuvre Otto Dix utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnements quotidien des poilus. Le rouge est utilisé pour représenter tour à tour le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front(panneau de gauche, pleins d’organes éparpillés(panneau central) et le feu du champ de bataille(panneau de droite). L’artiste choisit le rouge

terribles souffrances apportées par la guerre. DESCRIPTION Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

derniers ont évolué de manières différentes comportant de nombreuses injustices, de mensonge, et des difficultés de l’occupation ds la vie quotidienne des français aussi on peut dire que la France posséde une mémoire particuliére par rapport aux autres pays européens et contrairement aprés la premiére guerre mondiale qui eu qu'une seule mémoire, celle des poilus. Ainsi dans cette réponse organisée, nous étudierons la période d'occultation, ensuite le tourment dans l'éducation des mémoires et enfin

mais elle est plus vive sur le visage du soldat. Cet éclairage puissant guide notre regard de spectateur vers cette partie importante de l’image, peut-être la plus importante pour l’artiste car elle est la seule à présenter une part d’espérance et de vie. La lumière est artificielle même si les scènes se déroulent en extérieur et que sa courbe peut rappeler celle du soleil car les points lumineux sont différents. On peut mettre cette « désorganisation » de la lumière en relation avec