La Vie Des Poilu

inférieur 204 x 60cm. Les personnages sont donc représentés à taille réelle ce qui intensifie la for ce de l'oeuvre.*D é crire l ’œ uvre * Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marche nt dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. * Panneau central : l'arrière plan du panneau

l'aider. B) Autant qu'une reflexion plus large sur les travers du passé Les témoignages de guerres notamment permettent de montrer les violentes actions de l'Homme et sa condition à cette époque. Ex. Jorge Semprun, L'ecriture ou la vie : Longtemps après sa sortie des camps Semprun raconte son aventure en tant que prisonnier du camp de Buchenwald, il nous décrit avec exactitude l'animal humain en lequel les nazis essayaient de transformer les prisonniers. Ex. Robert Antelme, L'espèce

énemies : no man ‘ s land couvert de barbelés, mines….. Vie dans les tranchées par mots clés : savoir se servir des lettres de poilus pour reparler de la peur, du froid, de la boue, des rats et du manque d’hygiène, de la faim, de la soif, du bruit et de la peur. Livre et textes à connaître : Erich Maria Remarque : à l’ouest rien de nouveau (soldat allemand dans les tranchées, livre profondémment pacifiste, il sera condamné par les nazis). Lettre de poilus. Edition librio : recueil de lettres. Plusieurs

désespérément de l’aide dans un monde où l’humanité a visiblement disparue. A l’arrière-plan, on remarque un reste de maisons détruites et calcinées par les bombardements, cela inspire un paysage déserté et abandonné par la vie. La forme de ce tryptique inspire le cycle éternel de la vie. En effet, en commençant par le panneau de gauche, la foule de soldats part vers le front brumeux puis arrive vers le panneau central où la plupart des combattants vont périr. Les couleurs sont très sombres, tantôt froides

choix d’un nombre limité de couleurs renforce encore l’aspect désolé de la scène représentée, en accentuant le dramatisme de l’image. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le rouge est utilisé pour représenter tour à tour le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit

immédiate avec les partis frères socialistes des autres pays. » Extrait du programme spartakiste, 9 novembre 1918. 6) Quels sont les objectifs des spartakistes ? travail maison N°4 Un assaut Médecin auxiliaire, le poilu Martin-Laval allait avec les brancardiers ramasser les blessés sur le champ de bataille. Il écrit cette lettre à sa soeur. « À ce moment la fusée signal est lancée par le commandant de l'attaque. Aussitôt les lieutenants s'élancent hors de la

ECHEC 2ième : GUERRE DE POSITION (Décembre 1914...) durant 3 ans  3ième : GUERRE DE MOUVEMENT LE RETOUR (Mars à 11 Novembre 1918) La tranchée est le quotidien des soldats FR pendant 3 ans. Un soldat FR = un poilu Quelles sont les conditions d'existence/vie quotidienne du poilu dans les tranchées ? Front occidental = principal front pendant la WW1 → il s'étend de ma Mer du Nord à la Suisse, il est situé en France et en Belgique , il s'étend sur 800 km de long pour quelques km de large

soutenir les pays en guerre (Exemple : l'engagement volontaires des dominions britanniques). De plus, des soldats des colonies partaient aussi pour le front. Tous ces évènements prouvent que cette guerre 1914-1918 fut bien une guerre mondiale. II- La vie au front. A – Une guerre de tranchées. C'est en 1914 que les premières tranchées ont été construites. Ces tranchées sont l'image gravée de cette première guerre mondiale. Le front est constitué de plusieurs lignes de défense creusées dans la terre

brûlée ». Tout ce qui pourrait être utile à l’ennemi est détruit systématiquement. 2)La vie quotidienne dans les tranchées : « les croix de bois » de Roland Dorgelès ou le « journal d'une escouade » de Henry Barbusse témoignent et nous renseignent sur «  l' enfer des tranchées » en effet pendant la guerre de position entre 1915 et début 1918, les soldats français, plus connus sous le nom de poilus, s'enterrent dans les tranchées où ils se reposaient, attendaient ou préparaient un assaut,

témoignages mêlent fiction et autobiographie pour les écrivains, recourent à des formes esthétiques nouvelles pour les artistes : ils manifestent leurs difficultés à exprimer l’horreur de l’indicible. Dans les années quatre-vingts, à la mort des derniers poilus, de nombreux écrivains (A. Ferney, L. Gaudé, C. Michelet), dessinateurs (Baroux, J. Tardi…), et cinéastes (B. Tavernier, F. Dupeyron, J.-P. Jeunet) français évoquèrent à leur tour ce qui aurait dû être la « der des ders ». Activité 1 : Repérer les