La Vie Des Soldat Dans Les Tranchées

mondiaux qui se sont déroulés de 1914 jusqu’à 1918 puis de 1939 à 1945, la vie quotidienne de la population a été perturbée. En effet les civils qui sont à l’arrière ainsi que les combattants qui eux, sont sur le front, ont vu leurs journées fortement changer avec de nouvelles conditions de vie, des violences insoutenables et tant d’autres choses. Nous pouvons donc nous demander quel était le quotidien des civils ainsi que des soldats, combattants lors des deux guerres mondiales ? Nous nous concentrerons

frontière Suisse) et creusent tranchées ( 10 département français a l'est sont occupés) 1915-1916 : guerre de position avec offensives inutiles et meurtrière ( ex : Verdun ( Pétain) fev_dec1916 300 000 morts) 1917 : le tournant car : - retrait Russe conflit après Révolutions d'octobre 1917 - entrée USA guerre 2 avril 1917 - lassitude soldats = mutinerie et mutilation volontaire. A l’arrière → multiplient les gréves → Clemenceau = président du conseil redonne confiance pop et soldats 1918 : reprise guerre

pour transporter de nouveaux soldats. Grâce à ces soldats qui ont peu combattu la France gagne cette bataille vitale. Le front se stabilise de la mer du nord jusqu’à la Suisse pour plusieurs années : c’est la guerre de position qui va durer 3 ans et demi. La Guerre de Position I. Les tranchées Depuis Novembre 1914, les fronts de l’ouest et du nord (chaque côté de l’empire Allemand) se stabilisent et les soldats s’enterrent : ce sont les tranchée. Ces tranchées sont plus ou moins bien organisées

La 1WW fut surnommé la « grande guerre » en raison de la violence subit par les soldats lors des combats. Les soldats sont des hommes conscrit en France, des volontaire en Angleterre, et toutes les troupes colonial où se n'est pas un choix mais un devoirs de combattre. 70 milliards de personne vont prendre part au combat que se soit de front Ouest ou d'autre front. Il s'agit ici de comprendre le ressentit des soldats face à l’horreur de ces batailles (Comment ? Grâce à quoi ? .. ) A) La bataille

des tranchées » Surnommée la « Grande guerre » En quoi la première guerre mondial bouleverse-t-elle les sociétés et les États ? Réviser : I – Les grandes phases de la guerre : - connaître les grandes phases de la guerre, savoir les dater et donner des faits pour chacun d'elles. II – Les caractéristiques de la première guerre industrielles : une guerre totale marquée par la violence de masse : - Savoir décrire et expliquer les difficultés et la vie de la guerre des tranchées pour

conflit mondial. Ce conflit s'achève le 11 novembre 1918 par l'armistice suite à la capitulation allemande. Les soldats français de cette guerre sont nommés « les poilus ». On les surnomme ainsi car ils n'avaient pas le temps de se raser. Dans cette composition, nous traiterons donc des « poilus », ces soldats français, acteurs de cette guerre. Nous allons essayer de prouver en quoi ces soldats ont vécus l'enfer, sont de véritables héros. Pour cela, nous traiterons des « poilus » avant, pendant et après

Guerres et conflits en Europe au 20 siècle Situation : Problématique : Pourquoi la bataille de Verdun reste-t-elle ancrée dans la mémoire européenne ? Sommaire : Doc n °1 : La bataille de Verdun Doc n °2 : Les conditions de vie des poilus dans les tranchées pendant la bataille de Verdun Doc n °3 : La mémoire de Verdun Doc n°1 Titre : La bataille de verdun Source :http://aujourdhui.over-blog.fr/article-21-fevrier-1916-la-bataille-de-verdun-commence-67678163.html Commentaire :

Identification de l’œuvre Titre : La Chanson de Craonne Artiste : Populaire Date : 1915/1917 Nature : Chanson contestataire Diffusion : La Chanson de Craonne (du nom de la commune de Craonne) est une chanson contestataire, chantée par des soldats français durant la Première Guerre mondiale, entre 1915 et 1917. Elle est d'abord interdite par le commandement puis autorisé en 1974 par Valéry Giscard d'Estaing. L'artiste : Paul Charles Couturier, connu sous le pseudonyme de Paul Vaillant-Couturier

Les Croix de bois de Roland Dorgelès Et c’est fini…On parlait de sa vie comme d’une chose morte, la certitude de ne plus revenir nous en séparait comme une mer sans limites, et l’espoir même semblait s’apetisser[1], bornant tout notre désir à vivre jusqu’à la relève[2]. Il y avait trop d’obus, trop de morts, trop de croix ; tôt ou tard notre tour devait venir. Et pourtant c’est fini. La vie va reprendre son cours heureux. Les souvenirs atroces qui nous tourmentent encore s’apaiseront, on

par un soldat français. Le document tiré du livre « Paroles de Poilus » est un témoignage d'un soldat français nommé Gaston Biron – il s'agit d'une lettre qu'il envoie à sa mère le 25 mars 1916 soit près d'un mois après le début de l'offensive allemande. Il évoque les souffrances et la douleur d'être au front et témoigne en cela de l'esprit des combattants sans toutefois donner de détails précis sur les combats, sur les réelles conditions de vies des soldats dans les tranchées pour permettre