La Vie en rose

poème « » de Ronsard ,"Comme on voit sur la branche au mois de mai la rose..." - Second livre des Amours, IV, 1578 Le second livre des Amours se termine par des poèmes consacrés à la mort de Marie. Quelle que soit l’identité de la jeune femme à qui Ronsard adresse ses vers, le poète trouve des accents d’une harmonieuse gravité pour éloigner du tombeau de la jeune femme Comme on voit sur la branche au mois de Mai la rose En sa belle jeunesse, en sa première fleur Rendre le ciel jaloux de sa

La nuit était tombée. Rose avait le cœur serré et pour s’assurer que Pierrot était toujours en vie, elle ressortit discrètement. Plus elle s’approchait de la marinière, plus son battement semblaitembellir. Elle avait sur elle un fin voile qui ne la protégeait peu de la fraicheur et grelotant de peur et de froid, se courbait en deux et trottait pour se réchauffer. Elle arrivait bientôt au puis.La luminosité de la lune l’avait guide jusqu’à destination mais ayant fait se voyage plus d’une fois, elle

Oscar se repli sur lui-même. Il refuse tout contact avec le monde des adultes. Seule Mamie Rose, la Dame Rose avec qui il lie un très fort lien d’amour, vient lui rendrevisite tous les jours à l’hôpital. Pour le distraire Mamie Rose propose un jeu à Oscar: faire comme si chaque journée comptait désormais 10 ans, elle lui offre ainsi une vie entière en quelques jours.Pour qu’il se confie davantage, Mamie Rose lui suggère d’écrire à Dieu. Dans ses lettres Oscar avoue ses douleurs, inquiétudes, joies

La mort des amants : * Un monde idéal qui serait l'inverse du monde réel : la fidélité, la fusion, le luxe y règnerait. * La mort est positive, même plus belle que la vie ("divans profonds comme des tombeaux") * couleurs de la mort ' bleu et rose. L'adjectif mystique, illuminé apaise le noir traditionnel de la mort. ( Clarté ) * idée de remplissage ("plein d'odeurs") opposée à celle du néant, du vide * La mort pour le poète est la victoire. * C’est cette idée que la mort

couleur est le rose tendre, clin d'œil ironique de Zola semblant optimiste, mais montrant le thème de l’endettement progressif. IIè axe : une description à valeur symbolique Symbolique des couleurs : « au bal du Grand-Balcon, dont les dix fenêtres flambantes éclairaient d’une nappe d’incendie la coulée noire des boulevards extérieurs » → Opposition rouge # noir (sang, passion, enfer, lie de vin # deuil, mort, inconnu). « il y avait un paquet de reconnaissances du mont-de-piété, d’un rose tendre » →

sept espèces à partir des distinctions principales entre miroir plan, concave ou convexe, expliquant pour chacun, en termes scientifiques et géométriques, les déformations spécifiques qu’ils produisent 2. Déjà, Jean de Meun, dans le Roman de la Rose, avait énuméré les pouvoirs d’illusion des différentes sortes de miroirs 3. Ces approches optiques et techniques ne sont pas sans lien avec la symbolique du miroir : il faut en effet se souvenir de la matérialité de l’objet au Moyen Âge pour mieux

poème de QUENEAU reprend un ancien thème lyrique de Ronsard(« mignonne allons voir si la rose… ») est très vite devenu célèbre dans sa version chantée, interprétée par Juliette Gréo. Nous pouvons nous poser la question suivante : Comment QUENEAU écrit-il et quel est son but ? Nous allons répondre a cette question en deux étape dans un premier temps la forme du poème et dans un deuxième temps les étapes de notre vie d’écrit par l’auteur. Raymond QUENEAU écrit un poème en musique, pour cela nous allons

Anthologie : poèmes de la renaissance • Louise Labé : Née en 1524, Louise Labé a vécu l'essentiel de sa vie à Lyon. Surnommée «la belle cordière», pour avoir épousé un cordier, elle parlait plusieurs langues. D'une grande beauté, elle était douée pour la musique et l'art de l'équitation. Elle fut reconnue par tous dès son époque, notamment par ses amis de la Pléiade, qui lui dédièrent de nombreux vers et qui chantèrent sa beauté. L'œuvre de Louise Labé, publiée intégralement en 1555, est composée

laisser place à la vieillesse qui va l’enlaidir (« la ride véloce »), mais le passage du temps est aussi illustré par les roses qui sont évoquées à plusieurs reprises. La rose est éphémère, la jeunesse, « roses de la vie », lui est assimilée. Queneau se réfère à la rose qui est éphémère, tout comme le teint de sa muse - « ton teint de rose ». Le poète veut ramener la jeune fille à la réalité et veut lui faire comprendre qu’elle est naïve - « ce que tu te goures ». La répétition de ce vers vise à choquer

Pierrot problématique : L'argent est-il plus important que la vie d'un animal ? Pierrot est initialement publiée dans la revue Le Gaulois du 1er octobre 1882, puis dans le recueil Contes de la bécasse en 18831(page 73-79 dans le recueil : Larousse / Petits Classiques) La nouvelle est dédiée à Henry Roujon, romancier et haut fonctionnaire à qui l’auteur était redevable d’avoir été affecté au ministère de l’instruction en 18782. Cette nouvelle particulièrement sombre dépeint la sécheresse de l’âme