La Vie Est Un éclair

-Comparaison 1 : Des divans profonds comme des tombeaux ( Vers 2 ) Comparé : des divans Comparant : des tombeaux Terme de comparaison : comme Point de comparaison : la profondeur -Comparaison 2 : un éclair unique comme un long sanglot , tout chargé d'adieux (Vers 10-11) Comparé : un éclair unique Comparant : un long sanglot , tout chargé d'adieux Terme de comparaison : comme Point de comparaison : la puissance , la force , la brièveté -Métaphore 1 : Nos deux coeurs seront deux vastes

comme un extravagant » comparaison (celui qui s’isole) -réaction très forte et irrationnelle : « crispé » = réaction physique / « extravagant » = réaction émotionnelle -v9 : « un éclair…puis la nuit » coup de foudre = topos (cliché) fugacité appuyée par la ponctuation « ! » + champ lex. fugacité : « fugitive » « éclair » « soudainement » = côté éphémère 1. II. Un amour moderne A) La conception particulière de la femme et de l’amour -conception de la beauté chez Baudelaire= beauté esthétique

te faisais souffrir, Demander à Dieu de pouvoir me nourrir, Je t’ai vu dans mes bras toi le vrai sens de ma vie, Je t’ai vu cacher tes larmes, pour me voir sourire, Décharger mon arme pour m’empêcher de mourir, M’enlevez ces lames beaucoup trop prés de mes veines, Si le soleil ne te sourit plus et que la vie ne t’offre que la pluie, Je serai là, Je serai là. Yeah ! Si les éclairs te font trembler ! Et que la nuit tu ne trouve pas la paix, Je serai là, Je serai là. Bien sûr, je sais pertinemment

A une passante, Les fleurs du mal, Baudelaire, 1861 Baudelaire : - Grand poète du XIXe siècle - Connu pour sa vie de bohème 1 seule œuvre : Les Fleurs du Mal (condamnée et censuré) INTRO : « A une passante » est un sonnet de la partie des tableaux parisiens des F du mal. Ce poème parle d’une rencontre entre le poète et une majestueuse dans les rues de Paris. Quels sont les nouveaux enjeux poétiques ? I. Le choc de la rencontre Cadre non romantique, rencontre inattendue

Nous étions heureux…Mais la vie peut changer en une fraction de secondes ! Oui, l’instant d’après, j’avais tout perdu…Un moment d’inattention et tout s’était effondré ! C’était certainement comme ça que je devais finir ma vie ! On se rend compte que finalement on est un peu comme un funambule sur un fil, un moment de déséquilibre et on tombe, de haut, de très haut ! J’aurais voulu que ça se passe autrement, j’aurais voulu éviter cet accident ! Soudain un éclair me transperça le cœur, j’entendis

haut-parleur). 2 . Méthode de détermination par analyse stroboscopique de la fréquence d'un mouvement circulaire uniforme. a . Principe. Le stroboscope émet des éclairs à intervalles de temps réguliers. La période des éclairs Te est la durée séparant l'émission de deux éclairs successifs. Cette durée est réglable. La fréquence des éclairs est . Etudions le mouvement d'un disque, marqué d'un repère, qui tourne régulièrement. La période de rotation T du disque est la durée que met le repère pour

La différence de potentiel électrique entre les deux points peut aller jusqu'à 100 millions de volts et produit un plasma lors de la décharge, causant une expansion explosive de l'air par dégagement de chaleur. En se dissipant, ce plasma crée un éclair de lumière et le tonnerre .La foudre apparait pour la plus part des cas sous forme de lignes brisées dans le ciel. Par ailleurs nous avons le cas de La foudre en boule, ou foudre globulaire, qui est un phénomène se produisant parfois à l'impact (dans

types d’établissements, un établissement éclair, c’est-à-dire là où se concentre un taux élevé d’élèves en difficultés scolaires et issus de milieux défavorisés situé en Zone d’éducation prioritaire, et un établissement rural hors éclair. Ce sont au sein de ces établissements que ce déroule deux climats scolaires totalement différents, d’un côté sur 100 collégiens en rural hors éclair, 83 disant qu’il n’y a que peu de violence alors que sur 100 collégiens en éclair, seulement 61 disent avoir peu de violence

fastueuse Soulevant, balançant le feston et l’ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l’ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair… puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô

A une passante. Sonnet sect° des 18 poèmes (Tableaux parisien). Fleurs du mal, 1857. (symbolisme). 1ère édition 1860 dans l'Artiste. Sect°= scène de la vie quotidienne, scène pris sur le vif. ----> x spectacle et personne, excite l’imagination. A une passante = rencontre d'une femme belle et mystérieuse. Aperçue de manière éphémère. 2 quatrains = Vision de la rue puis l'inconnu vu de loin puis un gros plan sur son visage et ses yeux.2 tercets = Poète s'adressant à cette femme, s'interrogeant